La spectrophotomรฉtrie percutanรฉe et la composante pulsatile :
ย Le principe de base de lโoxymรฉtrie de pouls relรจve de la spectrophotomรฉtrie percutanรฉe et de la loi de Beer-Lambert, c’est-ร -dire que lโon utilise les propriรฉtรฉs de rรฉflexion de la lumiรจre de molรฉcules pour mesurer la concentration dโentitรฉs chimiques dans un environnement liquide ou gazeux [6]. La loi de Beer-Lambert relie la concentration dโun solutรฉ ร lโintensitรฉ de la lumiรจre transmise ร travers une solution. Elle est donnรฉe par la formule suivante :
A=-log (I/Io)=๏ฅ.C.l [6]
โข I/Io est la transmittance (sans unitรฉ).
โข A est lโabsorbance ou densitรฉ optique ร une longueur d’onde ฮป (sans unitรฉ).
โข ฮต est le coefficient d’extinction molaire, exprimรฉe en Lยทmol โ1ยทcmโ1.
โข โ est la longueur du trajet optique dans la solution traversรฉe, elle correspond ร l’รฉpaisseur de la cuvette utilisรฉe (en cm).
โข C est la concentration molaire de la solution (en mol.Lโ1)
La concentration dโune substance peut donc รชtre dรฉterminรฉe en mesurant lโabsorption dโune longueur dโonde spรฉcifique avec un coefficient dโextinction connu ร travers une รฉpaisseur connue. Lorsque lโon applique ce principe ร lโoxygรฉnation relative des molรฉcules dโHb, on parle dโoxymรฉtrie. Quand lโoxymรฉtrie est appliquรฉe ร du sang artรฉriel (pulsatile), on parle dโoxymรฉtrie de pouls. De maniรจre similaire, on parle de capnomรฉtrie quand ce principe est appliquรฉ ร la concentration de CO2 dans un gaz. Nous savons que lโHb absorbe la lumiรจre, ce qui nous permet dโenregistrer les variations de cette absorption. Ceci se matรฉrialise sous la forme dโune onde de plรฉthysmographie significative. Ceci va conduire ร la possibilitรฉ dโenvisager un calcul de la quantitรฉ dโhรฉmoglobine. [6] Les oxymรจtres non invasifs mesurent les quantitรฉs de lumiรจre transmises ร travers un tissu, ou rรฉflรฉchies par lui. Avec cette mรฉthode, lโestimation prรฉcise de la SaO2 implique plusieurs problรจmes techniques. De nombreux corps sont dโabord susceptibles dโabsorber la lumiรจre sur son trajet, autres que lโhรฉmoglobine artรฉrielle (peau, tissus mous, sang et capillaires). Lโoxymรจtre de pouls (voir figure 1.1) tient compte de lโabsorption de la lumiรจre par les tissus, et par le sang veineux, et par le sang artรฉriel non pulsatile (composante CC).ย Lโoxymรฉtrie de pouls utilise les propriรฉtรฉs de rรฉflexion de lโhรฉmoglobine au sein de la composante pulsatile du sang artรฉriel, (composante CA).
Monitorage de la circulation :
La pression artรฉrielle : La pression artรฉrielle systolique peut รชtre dรฉterminรฉe avec certitude par la rรฉapparition de lโonde pulsative. Ceci est du fait que la morphologie de lโonde pulsatile (photoplethysmogramme) est similaire ร lโenveloppe de lโimpulsion artรฉrielle.
Autre utilisations en monitorage de la circulation : Des utilisations comme citer ci-dessous sont enregistrรฉes.
๏ท Indication dโune compression artรฉrielle pendant lโarthroscopie de lโรฉpaule.
๏ท Vรฉrifier la viabilitรฉ de lโintestin.
๏ท Les tests cardio-pulmonaires, les รฉtudes de la rรฉponse ventilatoire ร lโhypoxie et des caractรจres anormaux pendant le rรชve sont faites en ce moment avec tranquillitรฉ et sรฉcuritรฉ grรขce ร lโoxymรจtre de pouls. Dโaprรจs les รฉtudes de Jense, le degrรฉ de diminution du SpO2 pendant lโapnรฉe, aprรจs une prรฉ oxygรฉnation de 5 min, รฉtait exactement le double dans les malades avec obรฉsitรฉ morbide.
Capteurs : LED rouge et LED infrarouge :
ย ย Lโรฉmission de la lumiรจre par une jonction a รฉtรฉ observรฉe en 1923 sur le carbure de silicium, mais il a fallu attendre 1953 pour avoir lโexplication du phรฉnomรจne avec la thรฉorie des semi-conducteurs. Cโest enfin vers 1963 que les premiรจres diodes รฉlectroluminescentes LED ont รฉtรฉ commercialisรฉes. Pour la rรฉalisation du circuit dโรฉmission, des diodes รฉlectroluminescentes sont utilisรฉes pour lโรฉmission des lumiรจres rouge et infrarouge qui traverseront le site de mesure (doigt ou orteil) afin de caractรฉriser lโonde de pouls sanguine. Ces lumiรจres seront captรฉs par une photodiode ou un phototransistor qui constitue lโรฉlรฉment principal du circuit de rรฉception.
Principe de fonctionnement de la LED: Le mot LED est l’acronyme de Light Emitting Diode (Diode Electroluminescente en franรงais). Le symbole de la LED ressemble ร celui de la diode mais on y a ajoutรฉ deux flรจches sortantes pour reprรฉsenter le rayonnement lumineux รฉmis.
a- Jonction P.N. Ce phรฉnomรจne d’รฉlectroluminescence sera obtenu ร la condition de crรฉer une forte quantitรฉ d’รฉlectrons dans la bande de conduction. On l’obtient par injection de porteuses polarisant dans le sens direct, une jonction PN ร semiconducteur. Le mรชme rรฉsultat aurait pu รชtre obtenu en irradiant le cristal avec une source lumineuse d’รฉnergie importante (photoluminescence) ou par bombardement รฉlectronique (cathodoluminescence). Selon la fabrication, la lumiรจre peut รชtre รฉmise soit latรฉralement, soit perpendiculairement ร travers la mince couche N ou P.
Caractรฉristiques optiques :
a- Longueur d’onde du pic d’รฉmission Cette valeur nous indique la longueur d’onde (lambda p), en nanomรจtre, ร laquelle est รฉmis la plus importante partie du rayonnement (wavelength). La valeur est donnรฉe pour une intensitรฉ de courant (IF).
b- Spectre ou largeur spectrale ร mi-intensitรฉ Le spectre d’รฉmission d’une diode LED est relativement รฉtroit. Il existe actuellement plusieurs types de LED donnant chacun des spectres diffรฉrents. Cela est obtenu par la variรฉtรฉ des semi-conducteurs utilisรฉs pour fabriquer les jonctions PN.
c- Correspondance couleurs, longueurs d’onde et รฉnergie des photons Couleur Longueur d’onde (nm) Energie des photons (eV)
UltraViolet < 390 > 3,18
Violet 390-455 2,72-3,18
Bleu 455-490 2,53-2,72
Cyan 490-515 2,41-2,53
Vert 515-570 2,18-2,41
Jaune 570-600 2,06-2,18
Orange 600-625 1,98-2,06
Rouge 625-720 1,72-1,98
InfraRouge > 720 < 1,72
d- Diagramme de rayonnement Le flux lumineux n’est pas homogรจne tout autour de la LED. La rรฉpartition spatiale de la puissance รฉmise dรฉpend de la forme de la diode LED :
๏ท forme de la partie รฉmissive (point, trait…),
๏ท avec lentille de concentration ou sans,
๏ท diffusante ou non. Cette rรฉpartition est dรฉfinie par le diagramme de rayonnement qui reprรฉsente la rรฉpartition angulaire de l’intensitรฉ relative รฉmise .
e- Angle d’รฉmission ร mi- intensitรฉ Les fabricants prรฉcisent souvent l’angle pour lequel l’intensitรฉ lumineuse a รฉtรฉ rรฉduite de moitiรฉ. Sur le diagramme figure 2.5 ci-dessus, le point rouge indique un angle de 10 degrรฉs et le point vert un angle de 50ยฐ pour une intensitรฉ relative รฉmise de 50%.
f- Intensitรฉ lumineuse
L’intensitรฉ lumineuse (mesurรฉe en candelas) est la quantitรฉ de lumiรจre รฉmise dans une certaine direction ร 1 mรจtre de distance. Dans les caractรฉristiques optiques des LEDs nous l’exprimons aussi en micro-candela (mcd) et se note IV.
Caractรฉristiques รฉlectriques
a- Point de fonctionnement et tension direct Une LED se comporte รฉlectriquement comme une diode. Pour รฉmettre elle doit รชtre polarisรฉe en direct. La caractรฉristique IF(VF)ย montre que la tension de conduction de la diode LED (forward voltage) est environ 1,5 Volts ร 2 V. Le courant IF vaut environ E-2V/R. En pratique, le constructeur prรฉconise 10 ร 20 mA.Le courant traversant la LED dรฉtermine l’intensitรฉ lumineuse รฉmise. Tension inverse (VR) Dans certains cas, on peut avoir besoin de polariser en inverse la LED. La diode est alors รฉteinte : elle n’รฉmet plus d’intensitรฉ lumineuse. Mais attention, la diode LED ne peut pas supporter des tensions inverses trop importantes comme une diode de redressement par exemple. Les valeurs courantes se situent telles que VR max = ยฑ 3V ร 5V (reverse voltage) ; au-delร de ces valeurs il y a endommagement ou destruction du composant. En cas de besoin nous plaรงons une diode normale en sรฉrie avec la LED. Il est alors extrรชmement intรฉressant d’alimenter la LED en courant pulsรฉ au lieu du courant continu. La valeur crรชte du courant permet alors d’obtenir des intensitรฉs lumineuses importantes. De ce fait nous pouvons :
๏ท augmenter l’intensitรฉ lumineuse รฉmise ร consommation รฉlectrique moyenne รฉgale,
๏ท diminuer la consommation รฉlectrique tout en obtenant une intensitรฉ lumineuse รฉgale,
๏ท rรฉduire l’รฉchauffement de la jonction.
La photodiode :
Une photodiode est un composant semi-conducteur ayant la capacitรฉ de dรฉtecter un rayonnement du domaine optique et de le transformer en signalย รฉlectrique.
a/ Principe de fonctionnement : Quand un semi-conducteur est exposรฉ ร un flux lumineux, les photons sont absorbรฉs ร condition que lโรฉnergie du photon (E{ph}) soit supรฉrieure ร la largeur de la bande interdite (Eg) . Ceci correspond ร l’รฉnergie nรฉcessaire que doit absorber l’รฉlectron afin qu’il puisse quitter la bande de valence (oรน il sert ร assurer la cohรฉsion de la structure) vers la bande de conduction, le rendant ainsi mobile et capable de gรฉnรฉrer un courant รฉlectrique. Lโexistence de la bande interdite entraรฎne lโexistence dโun seuil dโabsorption tel que E (ph) = Eg. Lors de lโabsorption dโun photon, deux phรฉnomรจnes peuvent se produire :
La photoรฉmission : c’est la sortie de lโรฉlectron hors du matรฉriau photosensible. Lโรฉlectron ne peut sortir que s’il est excitรฉ prรจs de la surface.
La photoconductivitรฉ : lโรฉlectron est libรฉrรฉ ร lโintรฉrieur du matรฉriau. Les รฉlectrons ainsi libรฉrรฉs contribuent ร la conductivitรฉ รฉlectrique du matรฉriau. Lorsque les photons pรฉnรจtrent dans le semi-conducteur munis dโune รฉnergie suffisante, ils peuvent crรฉer des photos porteuses (รฉlectrons et trous d’รฉlectrons) en excรจs dans le matรฉriau. On observe alors une augmentation du courant. Deux mรฉcanismes interviennent simultanรฉment : Il y a crรฉation de porteurs minoritaires, c’est-ร -dire des รฉlectrons dans la rรฉgion P et des trous dans la rรฉgion N. Ceux-ci sont susceptibles dโatteindre la ZCE par diffusion et dโรชtre ensuite propulsรฉs vers des zones oรน ils sont majoritaires. En effet, une fois dans la ZCE, la polarisation รฉtant inverse, on favorise le passage des minoritaires vers leur zone de prรฉdilection. Ces porteurs contribuent ainsi ร crรฉer le courant de diffusion. Il y a gรฉnรฉration de pairs รฉlectrons trou dans la ZCE, qui se dissocient sous lโaction du champ รฉlectrique ; lโรฉlectron rejoignant la zone N, le trou la zone P. Ce courant sโappelle le courant de transit ou photo courant de gรฉnรฉration.[8]Ces deux contributions sโajoutent pour crรฉer le photo courant Iph qui sโadditionne au courant inverse de la jonction.
Circuit de mise en forme :
ย La partie mise en forme du signal est constituรฉe essentiellement dโamplification, filtrage et dโun circuit dโรฉchantillonnage pour la dรฉtection des lumiรจres rouge et infrarouge rรฉflรฉchies.
Amplification : Compte tenu que le signal dรฉtectรฉ par la photodiode est trรจs faible, de lโordre de quelques millivolts une amplification une amplification est nรฉcessaire. Souvent un amplificateur ร base dโamplificateur opรฉrationnel est utilisรฉ.
Filtrage : Dans la pratique, le filtrage se compose de deux modes :
๏ท Filtrage analogique
๏ท Filtrage numรฉrique
Le filtrage analogique consiste ร rรฉaliser un circuit de filtrage, qui nous permet dโรฉliminer le bruit qui sโajoute avec le signal utile, avec des composants soient actifs (gรฉnรฉralement les actifs sont les plus utilisรฉs) ou encore passifs.Il existe plusieurs genres de filtre selon le besoin dont on peut avoir. On trouve ainsi les filtres passe-bas, passe haut, passe bande, coupe bande, etc. Dans chaque cas diffรฉrentes configurations existent dรฉpendant des caractรฉristiques de rรฉponses en amplitude et en phase. Ainsi on trouve : des configurations de de Butterworth, Chebychev, bessel..Etc.Cependant en filtrage numรฉrique on nโa pas besoin de composants รฉlectroniques, cโest des รฉquations de rรฉcurrences qui permettent dโaboutir ร diffรฉrents rรฉponses de filtres et de configurations. Ils sont ainsi plus flexibles car cโest du logiciel. La structure gรฉnรฉrale cโest les RIF (rรฉponse Impulsionnelle Finie) ou les RII (Rรฉponse impulsionnelle infinie). Pour les structure ร rรฉponse impulsionnelle fini des rรฉponses en phase linรฉaire peuvent รชtre rรฉalisรฉs, par contre pour les RII cโest plutรดt des rรฉponses en amplitude diverses qui peuvent รชtre rรฉalisรฉs (c’est-ร -dire Butterworthchebeyshev Bessels etc)
circuit dโรฉchantillonnage pour la dรฉtection Pour sรฉparer les lumiรจres rรฉflรฉchies de la source dโรฉmission R et la source dโรฉmission IR ร partir du signal rรฉflรฉchie dรฉtectรฉ par le phototransistor, un circuit dโรฉchantillonnage est nรฉcessaire. Ce circuit doit รชtre constituรฉ dโun circuit permettant de gรฉnรฉrer des impulsions ร des instants spรฉcifiques en synchronisme avec le signal de pilotage des LEDs. Ces impulsions (dโรฉchantillonnage) commandent des รฉchantillonneurs Bloqueurs respectifs pour chaque voix (voix R et Voix IR) pour permettre de dรฉtecter le signal PPG respectif ร chaque lumiรจre.
Lโรฉchantillonneur bloqueur: Le rรดle dโun รฉchantillonneur bloqueur (E/B) est de maintenir constante lโamplitude de lโรฉchantillon prรฉlevรฉ tous les Te durant le temps nรฉcessaire ร sa conversion. Te reprรฉsente la pรฉriode dโรฉchantillonnage.[10] Rรฉaliser un รฉchantillonneur bloqueur consiste ร associer un interrupteur ร une capacitรฉ.La capacitรฉ joue le rรดle dโรฉlรฉment mรฉmoire, lโinterrupteur est lร pour rรฉactualiser la valeur mรฉmorisรฉe ou bien lโisoler vis ร vis de lโentrรฉe. Dans le cas idรฉal :
๏ท Interrupteur fermรฉ : Veb=Ve :La sortie Veb suit les variations de lโentrรฉe Ve. On transmet directement lโentrรฉe sur la sortie. On dit que lโon est en phase dโรฉchantillonnage (Sample).
๏ท Interrupteur ouvert : Veb=Cste :La sortie reste constante et รฉgale ร la derniรจre valeur transmise du signal dโentrรฉe. On dit que lโon est en phase de blocage (Hold). La figure suivante montre lโรฉvolution du signal de sortie durant les diffรฉrentes phases de fonctionnement.
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Table des matiรจres
Introduction gรฉnรฉrale
1. Chapitre I : Oxymรฉtrie de pouls
1.1.Introduction
1.2.Historique
1.3.Principe de lโoxymรฉtrie de pouls
1.3.1. La spectrophotomรฉtrie percutanรฉe et la composante pulsatile
1.3.2. Le systรจme ร deux longueurs dโonde
1.3.3. La mesure pratique de la saturation
1.4.Indication de lโoxymรฉtrie de pouls
1.4.1. Dรฉtection de lโhypoxie
1.4.2. Monitorage de la circulation
1.5.Limitation de lโoxymรฉtrie de pouls
1.5.1. Incidence du problรจme
1.5.2. Contre – facteur
1.5.2.1. Lumiรจre ambiante
1.5.2.2. La perfusion basse
1.5.3. Vasoconstriction et hypothermie
1.5.4. Hypothermie
1.5.5. Lโanรฉmie
1.5.6. Les brulures
1.5.7. Position de la sonde
1.5.8. Interfรฉrence par un respirateur artificiel
1.6.Conclusion
2. Chapitre II : Etude de lโoxymรฉtre de poulsย
2.1.Introduction
2.2.Source de lumiรจre
2.2.1. Capteur rouge et infrarouge
2.2.1.1. Principe de fonctionnement des LED
a- Junction P.N
2.2.1.2. Caractรฉristique optique
a- Longueur dโonde de pic dโรฉmission
b- Spectre ou longueur spectrale ร mi- intensitรฉ
c- Correspondance couleur, longueur dโonde et รฉnergie des photons
d- Diagramme des rayonnements
e- Angle dโรฉmission a mi- intensitรฉ
f- Intensitรฉ lumineuse
2.2.1.3. Caractรฉristique รฉlectrique
a- Point de fonctionnement et tension directe
b- Tension inverse(Vr)
2.2.2. Circuit associe aux LEDs
2.3.Circuit de dรฉtection
2.3.1. La photodiode
a- Principe de fonctionnement
2.3.2. Le phototransistor
a- Principe de fonctionnement
2.4.Circuit de mise en formeย
2.4.1. Amplification
2.4.2. Filtrage
2.4.3. Circuit dโรฉchantillonnage pour la dรฉtection
2.5.La carte dโacquisitionย
2.5.1. Le port parallรจle
2.5.2. Le port sรฉrie
2.5.3. Le port USB
2.6.Conclusionย
3. Chapitre III : Etude pratique du dispositif rรฉalisรฉ
3.1.Introduction
3.2.Description hardware
3.3.Circuit dโรฉmission de la lumiรจre, dรฉtection et de mise en forme
a- Circuit dโรฉmission
b- Lโastable
c- Pilotage des LED : circuit dโรฉmission
3.3.1. Dรฉtection de la lumiรจre : circuit de rรฉception
3.3.2. Amplification des signaux PPG
3.3.3. Echantillonneur bloqueur
3.4.La carte dโacquisition
3.4.1. Le port parallรจle
3.4.1.1. Brochage du port parallรจle
3.4.1.2. Registre de commande
3.4.2. Multiplexeur
3.4.3. Le convertisseur analogique-numรฉrique
3.5.Conclusion
4. Chapitre IV : Rรฉsultat et conclusion
4.1.Introduction
4.2.Mesures et interprรฉtations
4.2.1. La sortie de lโastable
4.2.2. La sortie des transistors montรฉs en commutation
4.2.3. La sortie de premier monostable U2
4.2.4. La sortie du deuxiรจme monostable U3
4.2.5. La sortie du premier monostable U4
4.2.6. La sortie du deuxiรจme monostable U5
4.2.7. La sortie du rรฉgulateur
4.2.8. La sortie de convertisseur lumiรจre tension
4.2.9. La sortie finale
4.3.Test hardware de la carte dโacquisition
4.3.1. Test de lโhorloge
4.3.2. Lโimpulsion de dรฉbut de conversion
4.3.3. Lโimpulsion de fin de conversion
4.4.Proposition dโune manipulation de travaux pratiques
4.4.1. Etude thรฉorique
4.4.1.1. Principe de lโoxymรฉtrie de pouls
4.4.1.2. La mesure pratique de la saturation
4.4.2. Manipulation travaux pratiques
4.4.3. Conclusion
4.5.Conclusion gรฉnรฉrale
Annexe
Bibliographies
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