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Condition de création d’une S.A.R.L
Suivant le DECRET N°2004-453 fixant les modalités d’application de la loi n°2003.036 du 30 janvier 2004 sur les sociétés commerciales, le capital social de la SARL prévu par l’article 327 de cette loi, il ne doit pas être inférieur à 10.000.000 Ariary si la société compte plusieurs associés. La valeur nominale des parts sociales est de 20000 Ariary.
Caractéristiques du projet
Le projet est caractérisé par la plantation de jatropha, l’extraction et la commercialisation de l’huile de jatropha et de ses dérivés.
Objectifs et buts du projet
Ici, nous apporterons des éléments de réponse à laquestion :
Pourquoi une entreprise d’exploitation du Jatropha Curcas ?
Buts
Le but est ce que l’on se propose d’atteindre sans préciser les conditions de réalisation.
Ainsi les buts de l’entreprise sont :
– Valoriser les richesses naturelles
– Promouvoir la filière agro-industrielle
– Présenter aux étrangers le savoir-faire et les produits malgaches
– Prouver que le secteur est porteur
– Développer la région concernée du point de vue social et économique
– Maximiser le nombre de clients satisfaits
– Acquérir une forte notoriété dans la région voiredans toute l’île
– Contribuer à la préservation de l’environnement et à la création d’espace vert.
Objectifs
Si l’objectif se définit comme l’accomplissement de résultat désiré avec mesure et cadre temporel, les nôtres seront les suivants :
– Acquérir 200 ha de terrain dans la région avant 7ans
– Détenir une savonnerie à Diégo Suarez dans 9 ans
– Créer une usine d’estérification dans la région’icid 15 ans
– Electrifier à 20 % le district d’Antsiranana I et à 5 % celui d’Antsiranana II d’ici 10 ans à partir du biocarburant produit.
– Obtenir l’exclusivité sur 750 000 pieds productifs au minimum dans la région avant la sixième année et 1 000 000 pieds productifs avant al huitième année.
– Réduire à 30 % l’utilisation d’engrais chimique en faveur du tourteau de Jatropha avant l’année 8 à travers l’île.
Analyse FFOM
L’analyse FFOM (Force, Faiblesse, Opportunité, Menace) permet d’effectuer un diagnostic stratégique de l’entreprise par l’analyse de son environnement interne et externe.
Planification opérationnelle
La planification opérationnelle est le passage de l’intention stratégique à la concrétisation. Nous allons utiliser le « Cadre Logique » (voir ANNEXES) pour cette planification.
Généralités
Le cadre logique est un élément essentiel d’un projet, il s’agit d’un outil utilisé dans sa planification, sa gestion, son suivi et son évaluation. Ainsi, le cadre logique du projet permet de faire un bilan synthétique des éléments qui leonditionnentc.
Un cadre logique est un tableau qui résume les informations essentielles relatives aux buts, aux objectifs du projet, aux résultats escomptés, aux activités, aux inputs, ainsi qu’aux critères et moyens de vérification des réalisationsdu projet et à l’hypothèse de base sur l’environnement de ce projet.
Contenu
Un cadre logique se présente sous forme matricielle (quatre colonnes et cinq rangées) et comporte une logique verticale et une logique horizontale.
Il se lit de bas en haut mais s’établit inversement.
Logique verticale
La logique verticale indique les composants fondamentaux du projet et décrit des conditions externes qui doivent être réalisés pouratteindre les niveaux d’objectifs du projet.
– Objectifs globaux: Ce sont des objectifs auxquels contribuent le projet.
– Objectif spécifique : c’est l’objectif du projet qui doit être réalisé pendant l’intervention.
– Résultats : Ce sont les produits des activités del’entreprise.
– Activités : Ce sont les travaux que l’intervention doit exécuter pour atteindre les résultats escomptés .
– Moyens : Ce sont les facteurs de production qui sont exigés pour exécuter les activités
Logique horizontale
La logique horizontale fournit les instruments de vérification et de suivi de l’évolution dans l’avancement et la réalisation de chaque composante verticale.
Logique d’intervention : Elle explique et relie les éléments de la logique verticale.
Les indicateurs objectivement vérifiables (IOV) : Ce sont les éléments descriptifs qui traduisent en terme opérationnel (en quantité, groupe cible, temps, lieu) des objectifs et le résultat de l’intervention. Projet d’exploitation du Jatropha Curcas dans la région DIANA
Source de vérification (SV) :Les moyens de vérification sont les supports d’information qui permettent de faire le suivi de la réalisation des objectifs, des résultats et des activités en fonction des IOV.
Hypothèse critique: Ce sont les facteurs externes qui pourront faire obstacle aux IOV.
Conditions préalables :Elles représentent les conditions sine qua non du projet.
Implantation géographique
Le projet sera établi dans la ville de Diégo Suarez, district d’Antsiranana I et plus précisément dans la commune rurale d’Antanamitarana(PK+12 vers Ambilobé).
Le terrain est une plaine de basse altitude qui se distingue par la faible présence de roches basaltiques éparpillées sur un secteur défi,n de buissons, d’arbustes et autres végétations sauvages.
En outre, on y cultive des cultures vivrières, maraîchères et saisonnières.
A première vue le terrain est comparable à d’autre s mais ses forces résident dans sa proximité par rapport à la fois à la ville et aux communes rurales, la présence d’une rivière (point d’eau), sa fertilité et le fait qu’il soit facilement accessible (par automobile ou à pied).
En outre, il se peut également que parallèlement à l’exploitation du Jatropha Curcas, le promoteur mette en place une culture d’ananas, entre deux plants.
Par ailleurs, un sommaire présentation édaphique te pédologique de la région de DIANA (Source : monographie de la région DIANA / Ministère De L’agriculture, De L’Elevage et De La Pêche / Unité De Politique PourLe Développement Rural / (UPDR) ; 2003) démontrera les qualités des sols.
Différents types de sols sont à distinguer à savoi r :
– Les sols à quioxydes constitués par les sols ferralitiques et sols ferrugineux.
Projet d’exploitation du Jatropha Curcas dans la région DIANA
Les sols ferralitiques d’origine volcaniques basiques (basaltes) se rencontrent surtout dans les massifs, les flancs et les plateaux d’Ambre et aussi sur les îles de Nosy-Be, Nosy Komba, la presqu’île d’Ampasindava. Ce sont des sol s riches ayant plusieurs vocations dont la plupart sont destinés actuellement à la culture de légumes, fruits, riziculture, cultures industrielles et de rente.
Les sols ferrugineux (cas du projet) se localisent sur le pourtour de la Montagne d’Ambre et sur la basse altitude d’Antsiranana, sur les grès des plateaux de Sahafary et sur le sable dunaire de l’Est. Ces sols ne sont pas propices à la riziculture irriguée et souvent réservés au boisement et aux cultures fruitières.
– Les sols peu évolués localisés dans les valléest les deltas des rivières : Mahavavy, Mananjeba, Ifasy, Sambirano, etc. …Ces sols alluviaux de constitutions différentes (sablo-limoneux, limono sableux, limono argileux) forment des zones sédimentaires très riches, exploitées pour les cultures industrielles (canne à sucre, tabac, coton, riz, cacao, café, etc. …).
– Les sols hydromorphes situés dans les zones marécageuses, les dépressions et les cuvettes sont surtout exploités pour la riziculture de deuxième saison et la culture de tabac.
– Les sols halomorphes, à cause de la haute teneur de sodium se prêtent aux cultures de cocotiers
Les ministères et leurs rattachements
Les ministères de l’Agriculture ou de l’Energie jouent les rôles de facilitateurs dans la réalisation du projet.
ADER (Agence de Développement de l’Electrification Rurale)
Cet organisme ayant pour vocation l’électrification rurale s’intéresse au Jatropha pour ses qualités d’énergies renouvelables.
Organisations de développement et organisations non gouvernementales
ERI (Eco Regional Initiative)
C’est un programme de développement rural de l’USAID (Coopération Américaine). Ce projet s’occupe surtout de la reforestation et de la protection du corridor (bande de forêt primaire du coté est de l’île). Pour ce but, le programme envisage la production de l’huile de Jatropha décentralisée pour créer de nouveaux revenus pour les paysans, pour qu’ils ne soient pas forcés de percer les forêts protégées pour faire de l’agriculture. L’ERI a créé beaucoup de pépinières pour fournir des plants de Jatropha aux paysans. Aussi, l’ERI diffuse la vulgarisation de la plantation de Jatropha dans la province de Fianarantsoa, l’appui à la production de presses à huile et l’appui technique des groupements des paysans (KOLOHARENA).
BAMEX (Business and Market Expansion)
C’est un programme de l’USAID. Il appuie la société D1 pour la production de l’huile de Jatropha à grande échelle.
D1
La société D1 est une firme britannique qui travaille sur la transformation de l’huile végétale en biodiesel dans beaucoup des pays tropicaux. A Madagascar elle a choisi 4 zones d’intervention : Mahajanga, Vakinankaratra, Ambatondrazaka et Fianarantsoa. Elle est en collaboration avec BAMEX, GREEN, ERI (tous les trois appuyés par USAID). L’approche de D1 est d’établir des contrats avec les paysans pour l’achat des graines de Jatropha en grandes quantités.
Elle prête aussi une assistance technique aux paysans et aide les paysans sur la mise en place des pépinières et des plantations du Jatropha. Dans les contrats, les paysans s’engagent à vendre des graines avec une quantité minimale à atteindre et de les vendre à un prix préétabli mais qui est susceptible d’être modifié suivant lescirconstances.
GEM (Green Energy Madagascar)
Le GEM est nouvellement créé (septembre 2005) et ’an pas encore commencé des activités techniques et commerciales. Pour le débutde ses activités, ils se sont limités à arrondir la zone d’intérêt, c’est à- dire d’établirdes contrats avec des communes au nord et au sud de Toliara.
GREEN (Groupement Énergie et Environnemen t National)
C’est une organisation du BCI (Business Center Ivoharena), à Mahajanga. Elle s’occupe entre autres activités, la préparation despépinières pour les plantations de Jatropha de D1.
GreenMad
C’est un projet de la Coopération Allemande qui s’occupe des énergies domestiques entres autres par la multiplication des réchauds à huile et des tests comparatifs.
PLAE (Programme de Lutte Anti-Érosive)
Implanté pour le moment dans la province de Mahajanga, ce programme vise l’introduction de la plante Jatropha dans la lutte anti-érosive et la sensibilisation de la population sur différentes possibilités de production et d´utilisation de l´huile.
C3
Le C3 est un organisme américain qui détient les êmes activités que D1 au nord de Madagascar.
Green Island Association
La Green Island Association a été fondée en mai 2004. L´association travaille pour la promotion de l´énergie renouvelable tout en tenant compte de la protection de, l´environnement et du développement rural. L´association est en collaboration avec l´université d´Hohenheim en Allemagne. Actuellement, l´association a 5 sites pour la plantation de Jatropha qui se trouvent à savoir : A nkazobe et Asambotsy (province d´Antananarivo); Fenoarivo, Ambalavao (province de Fianarantsoa) et Tsiroanomandidy.
L´objectif de cette première phase est de sélectionner les plantes qui s´adaptent le mieux à chaque site en procédant à la méthode de la sélection massive permettant d´assurer un bon rendement de la plantation lorsqu’on passe à l’exploitation à l’échelle semi industrielle ou industrielle.
ARTICOM
ARTICOM a fait des tests des presses à huile de Ja tropha en collaboration avec BAMEX, et aussi des tests des moteurs diesel avec de l‘huile.
PROTA
PROTA est une fondation internationale sans but lucratif très intéressée par la vulgarisation du Jatropha. Son objectif est de faire la synthèse de l’information dispersée sur environ 7 000 plantes utiles de l’Afrique tropicale et de fournir un large accès à cette information par le moyen de bases de données sur le web, de livres, de CD-Rom et de produits spéciaux.
Spécificités du produit
Généralités sur la plante:
La plante Jatropha fait partie de la famille des Euphorbiacées (comme le manioc). Il s’agit d’un petit arbre ou d’un grand arbuste peu e xigeant et résistant à la sécheresse et aux zones semi-arides qui est largement cultivé sous les tropiques et pouvant avoisiner une hauteur de cinq mètres.
C’est un arbuste donnant des graines dès la deuxième année de la plantation et dont la production d’étend sur environ 50 ans. Ses graines riches en huile sont toxiques pour les humains et pour beaucoup d’animaux.
À cause de ces propriétés, ils sont plantés en forme de haies de protection dans la plupart des pays. On dénombre environ 160 espèces de jatropha, originaires d’Amérique centrale ou du Sud, les plus connues étant :
– Jatropha gossypifolia dont l’huile est purgative et la racine utilisée contre la lèpre;
– Jatropha integerrima à la floraison rouge décorative ;
– Jatropha multifida (arbre corail) dont les feuilles sont consommées au Mexique;
– Jatropha podagrica, plante ornementale très prisée ;
– Jatropha phyllacantha, plante du Brésilaussi appelée favelaqui donna son nom aux quartiers déshérités de la plupart des villes du pays.
On trouve en outre, une autre variété de Jatropha qui est appelée Jatropha mahafaliensis (hatratra en langue locale); c’est une plante endémique dans le sud de Madagascar.
La plante Jatropha Curcas est largement répandue dans les régions tropicales aussi bien d’Asie, d’Amérique du Sud que d’Afrique.
Entre autres : le Burkina Faso, la Chine, les Îles des Comores, la Côte d’Ivoire, l’Egypte, l’Ethiopie, le Ghana, l’Inde, l’Indonésie, l’île de Madagascar, le Malawi, le Mali, le Namibie, le Népal, le Nicaragua, la Papouasie Nouvelle-Guinée, le Sénégal, l’Afrique du Sud, le Sri Lanka, le Soudan, la Tanzanie, la Tunisie, l’Ouganda, l’île de Zanzibar…
Toutefois, son utilisation ne diffère en rien à celle vécue à Madagascar et mis en valeur par le projet.
La plante Jatropha Curcas à Madagascar
Le Jatropha curcas est originaire de l’Amérique Centrale et a été introduit par des marins portugais via les Îles du Cap Vert aux différents pays d’Afrique et d’Asie.
Il semble que la plante a été introduite à Madagascar vers le 18ème siècle.
Le Jatropha de variété Curcas n’est pas une planteindigène à Madagascar, mais on la trouve en petites quantités partout dans le pays. Puisque la plante n’est pas broutée par des animaux, le Jatropha est utilisé par les fermiers pour protéger leurs jardins contre des animaux errants. Néanmoins, il est connu par les Malgaches mais rares sont ceux qui lui ont voué un avenir industriel.
A Madagascar, la plante jouit de plusieurs dénominations vernaculaires et ainsi parmi tant d’autres : Kinanafotsy, Kinopotsy, Kizika Savoa, Savoha (faisant allusion au savon), Tanatanambazaha, Tanatanankisoa, Tanatanampotsy, Voanongo (fruit ou graine pour la tête) Valavelo, Valavelona (haie ou barrière vivante ou qui pousse).
Egalement, en français il est connu sous le nom de : Médicini, Médicinier ; Pignon d’Inde, Purghère, Pougère.
Une forte densité de culture s’observe dans les régions Sud Est (de Manakara jusqu’à Mananjary), Haute Matsiatra et tout autour de Fianarantsoa ; dans ces régions, cette prolifération est due à l’appui de l’association Koloharena.
Dans le Nord, l’organisme C3 s’occupe de la région SAVA tandis que l’entreprise D1 Oils encadre les régions Boeny (492 ha), Alaotra (212 ha) et Vakinankaratra (342 ha) et le GEM au sud.
En outre, à part la province d’Antananarivo où le quota est le moins élevé, les autres provinces malgaches détiennent des plantations nonrépertoriées.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : IDENTIFICATION DU PROJET
Chapitre I : PRESENTATION DU PROJET
Section 1 : Historique du projet
Section 2 : JATRODIA S.A.R.L
2.1 : Description de l’entreprise
2.2 : Condition de création d’une S.A.R.L
Section 3 : Caractéristiques du projet
3.1 : Objectifs et buts du projet
3.2 : Analyse FFOM
3.3 : Planification opérationnelle
3.4 : Implantation géographique
3.5 : Institutions d’appui
Section 4 : Spécificité du produit
4.1 : Généralités sur la plante
4.2 : Ses utilisations possibles
Chapitre II : ETUDE DE MARCHE ET ASPECT MARKETING
Section 1 : Description du marché
1.1 : Généralités
1.2 : Caractéristiques
Section 2 : Analyse de la demande
2.1 : Typologie des consommateurs
2.2 : Dimensions
Section 3 : Analyse de l’offre
3.1 : Concurrents directs
3.2 : Concurrents indirects
Section 4 : Application du marketing mix
4.1 : Politique du Produit (Product)
4.2 : Politique de Prix (Price)
4.3 : Politique de Distribution (Place)
4.4 : Politique de Communication (Promotion)
4.5 : Orientation tactique
Chapitre III : THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION
Section 1 : Les outils d’évaluation
1.1 : La Valeur Actuelle Nette (VAN)
1.2 : Le Taux de Rentabilité Interne (TRI)
1.3 : Le Délai de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)
1.4 : L’Indice de Profitabilité (IP)
Section 2 : Les critères d’évaluation
2.1 : La pertinence
2.2. : L’efficacité
2.3 : L’efficience
2.4 : La durabilité du projet
2.5 : L’impact du projet
PARTIE II : CONDUITE DU PROJET
Chapitre I : PROCESSUS DE PRODUCTION
Section 1 : Technique de plantation
1.1 : Conditions agricoles
1.2 : Itinéraires Culturaux
Section 2 : Récolte et rendement
2.1 : Récolte
2.2 : Préparation des graines et conditionnement
2.3 : Stockage des graines
2.4 : Rendement
Section 3 : Méthode d’extraction envisagée
3.1 : Caractéristiques de l’huile de jatropha
3.2 : Méthodes d’extraction
3.3 : Purification de l’huile
3.4 : Procédé de production d’huile de jatropha
Section 4 : Contrôle, qualité et conditionnement des produits
Chapitre II : CAPACITE DE PRODUCTION
Section 1 : Facteurs d’exploitation
1.1 : Les ressources matérielles
1.2 : Les ressources humaines
1.3 : Les ressources financières
Section 2 : Capacité de production envisagée
2.1 : Coût de production
2.2 : Capacité de traitement de graines et production envisagée
Section 3 : Evolution des chiffres d’affaires
Chapitre III : ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1 : Chronogramme d’activité
1.1 : Ordonnancement
1.2 : Calendrier des activités
Section 2 : Structure organisationnelle
2.1 : Application des théories sur l’organisation
2.2 : Organigramme
Section 3 : Gestion des ressources humaines
3.1 : Politique générale
3.2 : Description des ressources humaines
3.3 : Rémunération du personnel
PARTIE III : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
Chapitre I : LES INVESTISSEMENTS
Section 1 : Coût des investissements
1.1 : Immobilisations incorporelles
1.2 : Immobilisations corporelles
Section 2 : Détermination du Fond de Roulement Initial
Section 3 : Plan de financement
Section 4 : Plan de remboursement des emprunts
Section 5 : Tableau des amortissements
Chapitre II : ETUDE DE FAISABILITE ET ANALYSE DE RENTABILITE
Section 1 : Compte de gestion
1.1 : Comptes de charges
1.2 : Comptes de produits
Section 2 : Compte de résultat prévisionnel
Section 3 : Plan de trésorerie prévisionnel
Section 4 : Bilan prévisionnel
Chapitre III : EVALUATIONS ET IMPACTS DU PROJET
Section 1 : Evaluation économico financière
1.1 : La valeur actuelle nette (VAN)
1.2 : Le Taux de Rentabilité Interne (TRI)
1.3 : L’indice de profitabilité (IP)
1.4 : Délai de récupération des capitaux investis (DRCI)
Section 2 : Mesure de performance
2.1 : Ratio de rentabilité commerciale (RRC)
2.2 : Ratio de rentabilité d’autonomie financière (RRAF)
2.3 : Ratio d’endettement à terme (RET)
2.4 : Taux de rentabilité (TR)
2.5 : Analyse des ratios
Section 3 : Impacts socio-économique
3.1 : Description brève du “Système Jatropha”
3.2 : Développement régional
3.3 : Contribution à la lutte contre la pauvreté malgache
Section 4 : Impacts environnementaux
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
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