PFE & RAPPORT EVALUATION DE LA PRATIQUE TRANSFUSIONNELLE AU SERVICE DE REANIMATION CHIRURGICALE CHU AMPEFILOHA – ANTANANARIVO PDF
LA TRANSFUSION SANGUINE
GENERALITES
DEFINITION
La transfusion sanguine consiste à administrer le sang d’un ou de plusieurs sujets sains (donneurs) ou l’un de ses composants, cellulaire ou plasmatique, à un ou plusieurs sujets malades (receveurs) (2) Elle repose :
– biologiquement, sur l’immuno-hématologie ;
– cliniquement, sur l’appréciation clinico-biologique des besoins transfusionnels d’un malade ;
– Logistiquement , sur une organisation propre, faisant intervenir l’Hôpital et le Centre National de Transfusion Sanguine, contrôlée par l’Hémovigilance.
HISTORIQUE
La technologie transfusionnelle est passée en cinquante ans de l’empirisme à une technicité proche de celle en usage dans la préparation des médicaments.
1901: LAND STEINER avait découvert les groupes A B O (3)
1902: DECASTELLO et STURLI avait décrit les phénotypes A B
1907: HEKTOEN suggéra que les dangers de la transfusion puissent être évités en respectant les phénotypes érythrocytaires
1910: ère de la transfusion sanguine moderne respectant les règles de l’immunologie.
1940: LANDSTEINER et WIETNER découvrent le facteur Rhésus éclaircissant ainsi l’apparition de certains accidents inexpliqués de la transfusion sanguine /
Avec la seconde guerre mondiale, la transfusion sanguine a connu un développement considérable. La mise au point des conditions exactes d’utilisation du citrate de sodium (découvert en 1914) comme anti coagulant, permet l’utilisation de sang conservé. Le citrate de sodium, contrairement à l’héparine, a une demi-vie biologique très courte, ce qui le rend dénué d’effet anti-coagulant in vivo chez le receveur en dehors des transfusions massives.
Ensuite, on a vécu l’ère du flacon et des banques de sang qui naissent à travers le monde. On commence, alors, à dissocier le plasma des globules. Le plasma est lyophilisé et utilisé comme liquide de remplissage, en particulier, par les Américains au cours de la guerre de Corée. Des interventions chirurgicales jusque là irréalisables deviennent possibles : la transfusion et l’anesthésie ont permis les progrès chirurgicaux de l’après-guerre. Les poches plastiques à usage unique, permettant le recueil du sang à l’abri de l’air, sont mises au point aux USA à la fin des années cinquante.
Rapport PFE, mémoire et thèse avec la catégorie médecine
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Introduction générale
PREMIERE PARTIE
I. TRANSFUSION SANGUINE
I.1.GENERALITES
I.1.1 : Définition
I.1.2 : Historiques
I.2. TRACABILITE
I.3. PRODUITS SANGUINS
I.3.1 : Produits Sanguins Labiles (PSL)
I.3.2 : Médicaments Dérivés du Sang (MDS)
I.4. INDICATIONS TRANSFUSIONNELLES DES PRODUITS SANGUINS LABILES
I.4.1 : Utilisés en France
I.4.2 : Utilisés à Madagascar
I.5. REGLES DE SECURITE TRANSFUSIONNELLE DES PRODUITS SANGUINS LABILES (PSL)
I.5.1 : Règles immunologiques
I.5.2 : Règles transfusionnelles
a) Règles de compatibilité pour la transfusion de Globules Rouges
b) Transfusion de Plasma Frais Congelé
I.5.3 : Sang de Groupe O et la notion de «DONNEUR UNIVERSL»
I.5.4 : Cas particuliers
I.6. PRESCRIPTION ET DISTRIBUTION
I.7. ACTE TRANSFUSIONNELLE
I.8. TECHNIQUE DE LA TRANSFUSION
I.9. SIGNES, SYMPTOMES ET VALEURS SEMEIOLOGIQUE DES EFFETS SECONDAIRES ET RETARDES DES TRANSFUSIONS
DEUXIEME PARTIE
II : PATIENTS ET METHODES
II.1 : MATERIELS
II.2 : METHODES
II.3 : RECRUTEMENT
III : PARAMETRES ET LIMITE DE L’ETUDE
IV : RESULTATS
IV.1 : REPARTITION DES PATIENTS SELON L’AGE
IV.2 : REPARTITION DES PATIENTS SELON LE SEXE
IV.3: REPARTITION DES EFFECTIFS SELON LE GROUPAGE DES RECEVEURS
IV.4 : LES PRODUITS SANGUINS UTILISES
IV.5 : REPARTITIONS DES PATIENTS SELON LES INDICATIONS DE LA TRANSFUSION SANGUINE
IV.6 : REPARTITION DES PATIENTS SELON LES INCIDENTS OU LES ACCIDENTS TRANSFUSIONNELS
IV.7 : REPARTION DES PATIENTS SELON LES INCIDENTS INFECTIEUX ET PARASITAIRES
IV.8 : REPARTITION DES PATIENTS SELON LES INCIDENTS DE SURCHARGE
IV.9 : REPARTITION DES TRANSFUSES SELON LA GRAVITE DES INCIDENTS ET ACCIDENTS DEFINIE PAR L’OMS
TROISIEME PARTIE
V : DISCUSSION ET COMMENTAIRES
V.1 : LA POPULATION ETUDIEE
V.1.1 : Selon l’âge
V.1.2 : Selon le sexe
V.1.3 : Selon les groupages des receveurs
V.2 : LES TECHNIQUES DE TYRANSFUSION
V.2.1 : Selon les incidents ou accidents transfusionnels observés
V.2.2 : Selon les incidents infectieux et parasitaires
V.2.3 : Selon les incidents ou accidents de surcharge
V.3 : LA GRAVITE DES INCIDENTS OU ACCIDENTS SELON LA DEFINITION DEL’OMS
V.4 : LES INTERVENANTS EN TRANSFUSION SANGUINE
V.4.1 : La déclaration des incidents transfusionnels
V.4.2 : Les problèmes entre le banque de sang et les intervenants
VI : SUGGESTIONS ET RECOMMANDATIONS
VI.1 : CONDUITES A TENIR DEVANT LES INCIDENTS OU LES ACCIDENTS TRANSFUSIONNELS
VI.2 : CONDUITES A TENIR APRES LA TRANSFUSION SANGUINE
VI.3 : LE SUIVI POST-TRANSFUSIONNEL
VI.4 : LES CONSEQUENCES AU POINTDE VUE CHOIX DES DONNEURS
VI.5 : CREATION D’UNE SECTION DES INCIDENTS TRANSFUSIONNELS
VI.6 : LES TECHNIQUES D’ECONOMIE DE SANG
VI.6.1 : La transfusion autologue programmée
VI.6.2 : L’Erythropoïetine humaine recombinante
VI.6.3 : L’Hémodilution normovolémique
VI.6.4 : Transfusion autologue per- opératoire
VI.6.5 : Transfusion autologue post-opératoire
VI.7 : CREATION DU CENTRE NATIONAL DE L’HEMOVIGILANCE
VI.8 : CREATION DES FORMATIONS INITIALE ET CONTINUE
Conclusion générale