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L’investissement direct étranger ou IDE
Les entreprise privée, quelle que soit les catégories à la quelles elles appartiennent, depuis la micro-entreprise jusqu’aux usines manufacturières locaux et aux multinationales, sont au cœur du processus de développement.
L’IDE représenterait d’ailleurs une source de capitaux plus intéressante pour favoriser le développement, en comparaison avec la plupart des autres formes d’apports privés étrangers. En autre, l’IDE est au cœur du développement, ils apportent de solution sur le problème de fonds ou problème de déboucher dans l’économie. En plus, « IDE est un « paquet» composé de nombreux éléments et, par conséquent, il a un effet multi facette sur le développement» selon Agosin (1996). En faite, l’IDE apporte de changement sur la vie économique du pays d’accueil comme la libéralisation des échanges entre les partis prenante, transfert de savoirs et compétence, augmentation de capitaux, imitations technologiques. Alors, c’est le bénéfice que les pays en développement procurent par l’IDE. En plus, elle ouvre des chemins positifs sur les domaines macroéconomiques en stimulant le variable du taux de chômage, le taux d’épargne et les niveaux des productions. Par conséquent, Les IDE favorisent également la création d’emplois, à travers des recrutements directs dans les filiales des multinationales et dans les entreprises servant de fournisseur, de sous-traitants ou de prestataires de services, en raison des effets multiplicateurs sur l’emploi national. En effet, l’IDE affect sur le niveau d’emplois lors de ses offres d’emplois dans le pays d’accueil. Cela contribue un effet sur le taux de chômage, l’accroissement de production et distribution de revenu.
Le climat des affaires du pays en voie de développement doivent améliorer pour avoir réussir que l’IDE vienne, quelque condition doit être placé, elles comprennent notamment la qualité des infrastructures socio-économiques, la taille du marchés, le niveau de développement humain, la distance entre le pays et les principaux marchés internationaux, le coût du travail, l’ouverture au commerce international, la politique de change, les incitations fiscales et non fiscales, la stabilité politique, la politique monétaire et le degré de libéralisation financière.
(D’après la théorie du « pull-factor ») à cause de ces conditions, le continent Africaine n’a pas pu obtenir plus de fonds du développement que d’autres continents.
D’après la base de données du CNUCED, le continents Afrique n’atteigne pas le 10 première sur les rangs des climats des affaires mondiales, de la part du pays d’accueil du fonds que du pays investisseurs mondiale. Cela nous confirme que la plus part du monde en voie du développement se trouve dans le continent Afrique. Alors pour rattraper le développement, l’Africaine devrait prendre de mesure plus pertinent en suivra le model du développement du nord et surtout le model du pays nouvellement indépendante qui puissent rattraper son retard de développement par l’IDE.
L’analyse d’Ajayi S. Ibi sur l’IDE et le développement en Afrique dit que « L’idée que l’IDE est la clé qui permettra de pallier au manque de ressources a été renforcée par l’expérience d’un petit nombre d’économies en pleine expansion et récemment industrialisées en Asie de l’Est »
Mais en cas de suraccumulation du capital que l’Hétérodoxe fait de soucis, parce que l’accélération de l’IDE entraine la naissance de nouvelle crise dans l’économie mondiale comme la crise financière, par exemple la crise du 1929 se basant sur la surproduction, l’inflation,…Précisément, dans la théorie marxiste, la suraccumulation désigne le phénomène d’alourdissement de la composition organique du capital.
En 1998, Lahsen A. parle dans son analyse que l’IDE est la cause de la privatisation dans des plusieurs secteurs industriels dans le pays sous développé, sa version est vers la tangibilité de privatisation en générale. En passant du marché oligopole, puis en concessions et en afin la privatisation total. En autre, les sources des fonds de l’IDE ne sont pas des fonds propres.
L’exploitation minière
Dans ces dernières décennies, l’exploitation minière a pris une place importante dans l’économie de développement. Les projets miniers proposés varient en fonction des types de métaux ou de matériaux à extraire de la terre. La majorité des projets miniers proposés concerne l’extraction de minerais tels que: Cuivre, Nickel, Cobalt, Or, Argent, Plomb, Zinc, Molybdène et Platine.
Nicholas T.A, Clement G, Stephen K définie le minerais comme « un matériau solide naturel qui contient une substance utile dont l’extraction génère des profits. Il y a plusieurs éléments clés dans cette définition. On entend par « substance utile »l’idée que la matière doit être utile voire essentielle à la société, comme le sont par exemple les métaux, les ressources énergétiques, ou certains minéraux présentant des propriétés particulières. »
En autre, le secteur minier est classé en activité primaire selon la classification des activités économiques. Cet auteur considère comme « … comme primaire les activités agricoles, minières, forestières et maritimes, … » Fisher I. (1934) En faite, le secteur primaire qui regroupe l’ensemble des activités économiques productrices de matière premières, notamment l’agriculture, l’exploitation de forêt et les mines.
En suite, la composition du classe sociale en trois parties d’après l’analyse du Ricardo D. sur la théorie de la rente différentielle :
– Les propriétaires fonciers, qui perçoivent la rente
– Les entrepreneurs, qui perçoivent les profits
– Les travailleurs, qui perçoivent le salaire
En effet, le produit global est partagé entre les trois classes. Le salaire est un salaire naturel, la rente est la fraction du produit qui est payée au propriétaire foncier pour avoir le droit d’exploiter sa terre. La rente ne rémunère pas un facteur de production, mais elle nait de la différence de rendement des terres exploitées.
A propos de l’exploitation minière et l’asymétrie d’information qui rends cette politique comme fatale au processus de la croissance durable, quelque méthode doit être maitrisé avant de procéder un contrat optimal dans l’exploitation en grande échelle.
L’incertitude face au risque amène l’acteur économique de prendre une décision plus sophistique par rapport au risque parce que la situation de la neutralité au risque est la situation que les deux partie sont aucun gagnant. Alors la décision se prise si les bénéfices soit supérieur au coût, évidement que les contractants ont toujours l’objectifs de maximiser son profits.
Au finale, le développement se définie comme un changement d’ordre économique, d’ordre sociale et d’ordre environnementales. Et l’objectifs commun du monde actuelle sont de soutenir le monde pour que la prochaine génération resteras sur le même état de la nature qu’au jour d’hui. Malgré le modèle de théorie de rattrapage que le pays en voie du développement fasse pour rattraper le retard à l’ère du développement en se basant sur la théorie d’industrialisation. En plus, le flux mondiaux des capitaux l’encouragent sur son combat et on trouve la situation du pays nouvellement indépendante (NPI) ayant du succès par l’aide de l’IDE. En autre, le secteur minier est le secteur plus attirant des investisseurs en Afrique que d’autres secteurs. Et ces secteurs produisent des externalités positives sur l’environnement macroéconomique du pays d’accueil. Donc, pour que l’IDE apporte de croissance économique, plusieurs contrôle doivent être placé avant, durant et après la réalisation d’un projet.
Pour ce premier chapitre, on vient de vérifier la relation qui existe entre le développement et l’exploitation minière ; dans cette prochaine chapitre, on analysera les mesures de la croissance économique à travers de quelque pays.
DEBATS THEORIQUES
Quant on parle du développement, c’est l’illustration des différences mondiales entre les pays industrialisés et les pays pauvres. Ces différences amènes les pays envoie de développement de rattraper son retards d’après les théories de rattrapage que le pays nouvellement indépendant prends comme politique de développement suit à l’ère de décolonisation des années 60.
Pour atteindre les changements de production et de consommation en situation optimale que Perroux F. dit, il faut faire le maximum d’externalités positives dans toutes branches des différents secteurs. En effet, chaque branches d’activité ont besoin plus des fonds afin d’accélérer vers les situations le plus performante et de participer à la concurrence internationale. En plus, le besoin de financement du pays à faible revenu et les préférences de rentabiliser l’épargne du pays à revenu élevé développent les flux des capitaux mondiaux dans ces dernières décennies.
Alors, le contrat s’effectue entre les deux parties, c’est les pays ayants les capacités de financement vers les pays ont besoin de financement. Et le pays qui vient avec ses compétences, qui transmettre ses technologies, qui apportent de nouveau capital,… s’appelle les pays sources d’Investissements Directs Etrangers. Alors, on vérifie le pouvoir de la technologie dans le monde entier que Kennedy P. dit dans son article qui s’intitule « Preparing for the twenty-first century » en 1993. Et la différence entre le flux mondiale du terme réel que monétaire indique la domination du pays du Nord vers les pays du Sud. En plus, l’émergence économique du pays nouvellement industrialisé Asiatique comme « dragons de l’est » favorisent la place d’investissements directs étrangers dans le processus de progrès économique dont la définition de développement que Perroux F. parle. L’IDE est considéré comme « moteur clé de la croissance économique et du développement. L’IDE stimule non seulement la formation de capital, mais améliore la qualité du capital national »
En plus, l’IDE est considérer comme moteur de la croissance économique, de nombreux pays font des efforts pour attirer les investisseurs étrangers car les contrats entre les deux parties exigent quelque condition sur le plan économique, sur le plan politique et plan sociale. De toute façon, l’IDE réduire les taux de chômage, augmente le niveau de production et le niveau de consommation, améliore la recette fiscal et l’infrastructure que la théorie néoclassique sur la croissance équilibré dans toute les branches macroéconomique vient de montrer.
En autre, chaque pas vers l’industrialisation que Rostow (19960) proposent doit être respecté du moindre partie jusqu’au grand. En effet, chaque activité quelques soit leur forme doit être servir au développement donc il faut chercher les politiques le plus pertinent dans toute les domaines. Alors, le choix de Lewis A. sur les branches d’activité à forte externalité positive vient de déterminer. Donc, Il faut faire attention sur le choix du secteur qu’on investit plus des fonds. Ces secteurs doit être au cœur de développement et capable à combattre le concurrence internationale si on envie de réussir le domaine d’importation, c’est la croissance déséquilibré du Perroux F. Une économie en développement qui réussit à accroître en permanence son taux d’épargne (ou d’investissement) dégagera un produit plus élevé qu’auparavant et croîtra donc plus vite pendant un certain temps. Mais elle n’atteindra pas un niveau permanent plus élevé dans le taux de croissance du produit.
Un économiste russe montre qu’il est possible de suivre d’autre voie de développement que les seules étapes de Rostow. Il indique aussi que des étapes peuvent être sautées du fait que l’emploi de nouvelles technologies dans le développement actuel permet de venir concurrencer bien plus rapidement les pays développés.
En d’autre terme, l’Hétérodoxe parle la théorie de la dépendance. C’est-à-dire, les deux pôles mondiaux ont une liaison différente, l’un les pays du Nord qui apporte de fonds, a le pouvoir politique et économique, consomme le plus de matière primaire, produire plus de production, domine le commerce internationale et l’innovation technologique. Cette relation de dépendance assure le transfert des richesses du Sud vers les pays du Nord, permettant le processus d’accumulation capitaliste des pays développés. Le capitalisme interdit donc par sa nature l’intégration économique de la périphérie. Et l’autre, les pays du Sud ont du pôle négative du Nord, on dirait que le complémentaire du Nord. En effet, l’’un dépends de l’autre, il y a une vision différente entre le centre riche et la périphérie pauvre.
A près, l’ouverture envers le monde entier est l’une de technique qui favorise le domaine de commerce internationale, régionale. Le flux mondiaux ne doit pas fermer en flux monétaire seulement mais il faut faciliter l’échange de savoir faire, savoir être, savoir vivre… Prebisch R. adopte le model d’industrialisation par substitution aux importations, c’est-à-dire, au lieu d’importé pourquoi pas produire le besoin primaire à l’extérieur. Il faut former les petits producteurs locaux afin de répondre les besoin locaux.
Et la suraccumulation du capital que Marx parle invite les pays ont besoin du fonds de faire attention sur la nouvelle crise comme l’endettement. A l’ère actuelle, combien de pays sous développer ont subi des conséquences d’endettements malgré l’objectif de rattrapage le développement. En outre, le problème de suraccumulation du capital n’ont pas seulement du problème du fonds mais du problème de surproduction et surexploitation.
Maintenant, on parle de l’exploitation de la ressource minérale, une économie en développement qui réussit à accroître en permanence son taux d’épargne (ou d’investissement) dégagera un produit plus élevé qu’auparavant et croîtra donc plus vite pendant un certain temps. Mais elle n’atteindra pas un niveau permanent plus élevé dans le taux de croissance du produit; une forte proportion des investissements directs étrangers en Afrique concerne le secteur des industries extractives. Le lien entre la lutte contre la pauvreté et la gestion raisonnée des ressources naturelles devient de plus en plus évident pour de nombreux acteurs du développement international. Plusieurs pays sont persuadés que l’exploitation de ressource naturelle fait partir des outils de développement. Une exploitation s’effectue suite au contrat du deux partie, les pays donateur et le pays qui ont la matérielle d’exploitation.
En outre, l’Idée d’Arthur Lewis vient de se propage car l’exploitation minière apporte une externalité positive sur l’économie du pays d’accueil comme la création d’emploi pour la population active, la contribution du secteur minière sur la recette fiscale et la production intérieur bruit et en fin la construction d’infrastructure pour le développement du zone minière, par exemple : une borne fontaine, source d’électricité, école, route…en faite, nous arriverons à comprendre si cet impact peut-elle vraiment compatible à la théorie de la rente différentielle que D. Ricardo est adopté.
On a coutume de mettre en évidence une rente de rareté (ou royaltie) qui s’appliquerait à l’ensemble des ressources épuisables. Cette rente de rareté dépend des stocks anticipés, des fonctions de préférence et des taux d’actualisation du futur. Elle n’a de sens que lorsque l’on définit l’horizon économique à très long terme. Plus la ressource semble rare, ou plus les individus souhaitent la préserver pour le futur, plus la rente de rareté perçue est élevée pour le producteur.
D’autre façon, le flux monétaire comme les capitaux ; les devises, les recettes fiscales que le secteur apporte, entraine une amélioration sur la vie économique du pays d’accueil. Et chaque flux ou contrat doivent être étudié pour réduire l’asymétrie d’information entre les contractants. Car plusieurs contrats qui existent dans le domaine du secteur minier se convergent vers la privatisation totale que Lahsen A. qui vient de le confirmer. Ce que au début se commence par la concession mais au finale se transforme en privatisation. Alors, il faut bien connaitre chaque circonstance dans le contrat minière pour avoir un accord plus optimal entre les contractants, pour que le bénéfice se partage équitable entre eux et accepte le terme de la théorie de rente différentielle d’après Ricardo D.
En plus, le plus remarquable sur la distribution des avantages entre les deux partis ne sont pas égales, voyant toujours au moment de l’exportation du produit. De toute façon, le gouvernement du sud n’a pas des moyens pour assurer le control sur le niveau de production obtenue, ainsi l’existence de la corruption dans ce domaine qui ralentit la pauvreté.
L’investissement minier étranger véhicule, de par la nature même des activités extractives, tout un lot de conséquences sociales et environnementales pour le moins singulières. Ces conséquences demeurent souvent fortement ressenties au niveau des localités directement touchées par l’implantation d’une mine, sans que les bénéfices tirés de l’activité minière ne fassent nécessairement l’objet d’une redistribution ou d’une décentralisation conséquente. L’exploitation minière étrangère a ainsi donné lieu, depuis les quinze dernières années, à de multiples conflits opposant les intérêts de communautés locales de pays du Sud à ceux de plusieurs investisseurs étrangers.
ANALYSE EMPIRIQUE : Cas de Madagascar
Généralité sur le secteur minière malgache
Si Madagascar a une longue histoire d’exploitation minière à petite échelle de l’or et de pierres précieuses, le secteur est entré dans une nouvelle ère avec le lancement de deux projets miniers de grande envergure dans les années 2000. Il s’agit d’abord du projet d’Ambatovy, le plus important investissement privé jamais vu sur l’île, avec un total de 7,2 milliards d’USD investis à partir de 2013. Le deuxième projet, QMM, rapporte avoir investi 930 millions d’USD à Madagascar jusqu’en 2008. Un certain nombre d’autres indicateurs témoignent de la taille du secteur minier à Madagascar.2
Le Projet Ambatovy produit du nickel, du cobalt et du sulfate d’ammoniaque (comme un sous-produit du raffinage), à partir d’une mine près de Moramanga, et une usine de traitement à Toamasina, à l’Est de Madagascar. Le projet a été lancé à la fin 2012 par un consortium regroupant Sherritt International Corporation du Canada (40 pour cent), SumitomCorp du Japon (27,5 pour cent), Korea Resources Corp. de la République de Corée (27,5 pour cent), et SNC-Lavalin Inc. du Canada (5 pour cent). La boue de minerai est acheminée vers l’usine de traitement à Toamasina à travers un pipeline long de 220 km. Le produit est expédié vers les marchés internationaux à partir du port de Toamasina. Avec un investissement cumulatif de 7,2 milliards de dollars en 2013, le projet a une capacité annuelle de 60 000 tonnes de nickel raffiné et 5 600 tonnes de cobalt.3
QIT Madagascar Minerals (QMM), une mine d’ilménite, de rutile et de zircon à Tolagnaro, dans le Sud-Est de Madagascar, a été lancé en 2009. L’entité est détenue à 80 pour cent par le géant minier anglo-australien Rio Tinto et à 20 pour cent par l’État. Le site minier comprend une mine, une usine de séparation flottante et des installations portuaires. L’ilménite extraite est exportée puis enrichie dans le complexe métallurgique de Sorel-Tracy de Rio Tinto au Canada. L’investissement total depuis 2008 s’élève à 1,1 milliard de dollars, y compris 930 millions de dollars à Madagascar. La pleine capacité potentielle de QMM est de 496 000 tonnes d’ilménite par an et de 26 710 tonnes de zirsill par an.4
L’exploitation minière à grande échelle s’est nettement développée dans les années 2005-2012 avec l’arrivée de ces deux grands projets miniers industriels qui sont maintenant dans leur phase d’exploitation.
Les retombées économique du secteur minière de Madagascar
L’exploitation minière à grande échelle a des impacts macroéconomiques grandissant à Madagascar, notamment avec un accroissement des flux monétaires et des flux réels dans l’économie.
les flux monétaires du secteur minier
Les projets miniers à grande échelle continuent d’injecter des flux monétaires importants dans l’économie par les dépenses intérieures, les salaires et les contributions fiscales. Les flux monétaires devraient augmenter étant donné que les trois principaux projets miniers atteignent actuellement leur pleine capacité et de nouveaux projets entrent en production.
Remarque :
Les scénarios incluent les activités minières suivantes :
Scénario 1 : QMM, Ambatovy et Kraoma
Scénario 2 : S1 + Toliara Sands et région Sakoa
Scénario 3 : S2 + WISCO
Les acquisitions nationales incluent les dépenses potentielles au niveau local ou national pendant les phases d’exploitation.
Les contributions fiscales incluent : les redevances, les impôts sur les bénéfices des sociétés (IBS), les impôts retenus à la source sur les dividendes, les droits de douane et les taxes d’importation, les taxes professionnelles, la TVA non remboursable, les taxes sur transferts à l’étranger, et l’impôt minimal sur les bénéfices des sociétés. Cette contribution fiscale n’inclut pas les effets indirects des taxes et des impôts sur le revenu des particuliers.
L’impact final, en termes de flux monétaires, dépendra du nombre de sociétés opérant à Madagascar, du niveau de production et du prix des matières premières. L’évolution du cours des matières premières sur le marché international pourrait avoir une incidence sur les contributions fiscales et réduire les salaires et les acquisitions nationales.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
Chapitre I : LE DEVELOPPEMENT ET L’EXPLOITATION MINIERE
Section 1 : Le développement
Section 2 : L’Industrialisation
Section 3 : L’investissement direct étranger ou IDE
Section 4 : L’exploitation minière
Chapitre II : DEBATS THEORIQUES
Chapitre III : ANALYSE EMPIRIQUE : Cas de Madagascar
Section 1 : Généralité sur le secteur minière malgache
Secteurs 2 : Les retombées économique du secteur minière de Madagascar
1 – Les flux monétaires du secteur minier
2 – La contribution de l’exploitation minière dans le PIB
4- Les recettes fiscales
5-Emploi
6-Acquisition locales et liens économiques
Section 3 : Le limite du secteur minière sur le développement de Madagascar
Chapitre IV : RECOMMANDATION
Section 1 : Amélioration sur l’accès à l’information publique
Section 2 : Reforme sur la législation
Section 3 : Reforme sur l’exploitation minière vers le développement soutenable
Section 4 : Bon gouvernance du secteur minière, outil de développement
CONCLUSION GENERALE
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