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Incidence du diabรจte sucrรฉ
Les รฉtudes sur lโincidence du diabรจte sucrรฉ sont trรจs rares. On a dรฉcrit des taux dโincidence de 2,65 pour 100 personnes annรฉes chez les indiens Pima et de 1,6 pour 100 personnes annรฉes chez les autochtones de Nauru รขgรฉs de 20 ans et plus.
Dans lโรฎle-du-Prince-Edouard, Tan et ses collaborateurs ont signalรฉ un taux dโincidence de diabรจte sucrรฉ diagnostiquรฉ de 1,89 pour 1000 personnes en 1977 et un taux supรฉrieur sโรฉtablissant ร 9,26 pour 1000 chez des personnes รขgรฉs de 80 ร 89 ans.
Hammerstrand et ses collaborateurs ont รฉtudiรฉ lโincidence du diabรจte sucrรฉ chez des manitobains รขgรฉs de 25 ans et plus. Ils ont constatรฉ que lโincidence รฉtait passรฉe de 5,4 pour 1000 personnes en 1975-1976 ร 7,8 pour 1000 personnes en 1983-1984.
Chez les aรฎnรฉs รขgรฉs de 65 ans et plus, le taux dโincidence est passรฉ de 9,8 pour 1000 personnes en 1975-1976 ร 14,5 pour 1000 en 1983-1984.
A Cuba et aux Etats unis, ce sont les programmes de surveillance qui ont รฉtรฉ utilisรฉs pour recueillir les donnรฉes, tandis quโen Finlande, on sโest servi des registres de personnes des mรฉdicaments. Les taux de diabรจte sucrรฉ standardisรฉs pour lโรขge, les deux sexes confondus, รฉtaient semblables ร Cuba et aux Etats-Unis (5,5 et 5,0 pour 1000) mais รฉtaient plus รฉlevรฉs en Finlande (7,0 pour 1000). Il existe certaines diffรฉrences entre les taux par รขge et par sexe, et lโon constate une incidence plus รฉlevรฉe de la maladie chez les femmes cubaines et finlandaises et chez les hommes amรฉricains [7; 29].
Classification รฉtiologique du diabรจte sucrรฉ
Le diabรจte sucrรฉ est une situation dโhyperglycรฉmie dโรฉtiologies trรจs hรฉtรฉrogรจnes. Rรฉsultant des conclusions dโun comitรฉ dโexperts rรฉunis en 1997, la classification du diabรจte est รฉtablie selon le tableau II
Cette classification est รฉtablie sous la responsabilitรฉ de lโassociation amรฉricaine du diabรจte (ADA) et remplace celle รฉlaborรฉe en 1979 par ยซย National Diabetes Data Groupย ยป et entรฉrinรฉe en 1980 par lโOMS [21; 43; 80; 93] .
Alimentation
Dans plusieurs รฉtudes, les chercheurs ont signalรฉ lโassociation entre certains รฉlรฉments du rรฉgime alimentaire et un risque plus รฉlevรฉ de prรฉsenter un diabรจte de type II. Lโinfluence de lโalimentation sur le diabรจte peut รชtre quantitative ou qualitative. Un apport calorique important peut causer lโobรฉsitรฉ et mener ร lโintolรฉrance au glucose et au diabรจte. Dโautre part, la consommation de certains aliments (tout particuliรจrement les graisses et les sucres raffinรฉs) a รฉtรฉ associรฉe ร un risque plus รฉlevรฉ de prรฉsenter un diabรจte. Au contraire, une consommation rรฉguliรจre de lรฉgumineuses prรฉsente une association inverse avec le risque de souffrir du diabรจte. [95].
Statut socio-รฉconomique
Certaines รฉtudes ont montrรฉ un lien entre le diabรจte et le statut socio-รฉconomique. West et kalbfleisch ont constatรฉ que la prรฉvalence du diabรจte รฉtait plus รฉlevรฉe dans les classes supรฉrieures que dans les classes pauvres en Amรฉrique centrale. Cependant, aux Etats-Unis, la frรฉquence du diabรจte sucrรฉ serait plus รฉlevรฉe chez les gens pauvres et moins scolarisรฉs que chez les personnes riches et ayant un nouveau dโinstruction plus รฉlevรฉe. De maniรจre gรฉnรฉrale, les caractรฉristiques du diabรจte varient dโune sociรฉtรฉ ร lโautre [43; 95].
Autres facteurs de risque
Lโoccidentalisation ou la modernisation a รฉtรฉ invoquรฉe pour expliquer, du moins en partie, les tendances rรฉcentes de la frรฉquence du diabรจte dans certains groupes ethniques. La modernisation se caractรฉrise par une augmentation de lโapport calorique, une diminution de la consommation de fibres, un manque dโactivitรฉ physique et lโapparition de lโobรฉsitรฉ. OโDea a montrรฉ que la tolรฉrance au glucose sโamรฉliorait dans un groupe dโaborigรจnes australiens lorsquโils retournaient dans leur environnement traditionnel par une brรจve pรฉriode.
On a constatรฉ que la prise de certains mรฉdicaments et lโutilisation de certains agents chimiques a un effet nocif sur le mรฉtabolisme du glucose. Les mรฉdicaments qui interfรจrent avec le mรฉtabolisme du glucose sont constituรฉ surtout par les corticoรฏdes, les diurรฉtiques (furosรฉmide, mรฉtalazone, thiazide ), les contraceptifs oraux , la prolactine, les inhibiteurs des rรฉcepteurs adrรฉnergiques et la phรฉnytoine [7].
Il faut noter que dans le diabรจte de type I, la carence complรจte ou presque complรจte en insuline est responsable, avec lโaugmentation des hormones hyperglycรฉmiantes (glucagon, hormone de croissance, catรฉcholamine, cortisol) des anomalies mรฉtaboliques comme lโhyperglycรฉmie, lโaugmentation de la lipolyse et la diminution de la lipogenรจse, lโaugmentation de la cรฉtogenรจse hรฉpatique, la diminution de lโanabolisme et lโaugmentation du catabolisme musculaire [47; 43: 9]. N.B. En ce qui concerne spรฉcifiquement le diabรจte de type II, la physiopathologie est complexe. Lโinterrelation entre le dรฉficit de lโinsulinosรฉcrรฉtion pancrรฉatique et lโinsulinorรฉsistance pรฉriphรฉrique apparaรฎt capitale sans que lโon puisse jusquโร prรฉsent affirmer oรน se situe la lรฉsion primitive.
โข Lโinsulinorรฉsistance
Le diabรฉtique type II souvent sโaccompagne dโune quantitรฉ normale, voire excessive dโinsuline mais celle-ci est dรฉpourvue de son efficacitรฉ habituelle et les glycรฉmies demeurent รฉlevรฉes. Lโinsulinorรฉsistance perturbe la pรฉnรฉtration de glucose dans les cellules de lโorganisme. Elle constitue le mรฉcanisme essentiel du diabรจte de type II.
La diminution de lโaction de lโinsuline existe avant tout au niveau musculaire et semble directement liรฉe ร lโobรฉsitรฉ (entraรฎnant une diminution de nombre de rรฉcepteurs) et aggravรฉe par lโhyperglycรฉmie chronique (perturbant les phรฉnomรจnes biochimiques) [47; 43; 9; 60; 18].
โข La sรฉcrรฉtion dโinsuline et le pic prรฉcoce dโinsuline
Lors dโun repas, avant mรชme dโavoir introduit dans la bouche la moindre parcelle dโaliments, le pancrรฉas libรจre une certaine quantitรฉ dโinsuline. Ce pic appartient ร la phase cรฉphalique de la sรฉcrรฉtion de lโinsuline. Au mรชme titre que le rรฉflexe conditionnรฉ ร la vue ou ร lโodeur des aliments, il anticipe donc la prise des aliments et empรชche la glycรฉmie de monter trop haut.
Dans le cas du diabรจte de type II, le pic prรฉcoce dโinsuline nโexiste pas, lโanticipation sur le repas nโa pas lieu et la glycรฉmie dรฉpasse 2 g/l pendant environ une heure.
Les cellules bรชta submergรฉes par une quantitรฉ excessive de glucose, rรฉpondent par une forte fabrication dโinsuline, si forte que la glycรฉmie descend au dessous de 0,8 g /l deux ร quatre heures aprรจs le repas.
Lโalternance dโhyperglycรฉmie liรฉe au repas suivie dโhypoglycรฉmie quelques heures aprรจs le repas, puis dโhyperglycรฉmie rรฉactionnelle ร lโhypoglycรฉmie contribue ร lโaggravation du diabรจte.
โข Les rythmes sรฉcrรฉtoires de lโinsuline
Chaque cellule bรชta normale fabrique et accumule une certaine quantitรฉ dโinsuline puis la libรจre dans les capillaires qui les entourent. Le but est de maintenir la glycรฉmie entre 0,8 g/l et 1g /l.
Cette libรฉration nโest pas continue, mais se fait par petits pics sรฉparรฉs par un intervalle de quelques minutes. Chez le diabรฉtique type II , lโabsence de pic prรฉcoce oblige la cellule bรชta ร travailler encore plus ร chaque repas provoquant lโhyperinsulinisme ou lโexcรจs dโinsuline [47; 43; 9; 60; 34; 82].
N.B. Il arrive que le diagnostic du diabรจte soit posรฉ par hasard ร lโoccasion dโun examen systรฉmatique. Habituellement, cโest plutรดt lโapparition des signes bien connus de la maladie. Pour le dรฉpistage et le diagnostic du diabรจte, on utilise plusieurs mรฉthodes furfuralique, rรฉductimรฉtrique, ou enzymatique qui diffรจrent les unes des autres.
Actuellement la mรฉthode enzymatique ร la glucose oxydase est la mรฉthode de rรฉfรฉrence.
Complications du diabรจte
Les patients diabรฉtiques, sont exposรฉs, au bout de plusieurs annรฉes dโรฉvolution ร la survenue de complications spรฉcifiques regroupรฉes habituellement sous le terme de micro angiopathie. Ce sont :
– Des complications ophtalmologiques : rรฉtinopathie.
– Des complications rรฉnales : glomรฉrulonรฉphrite.
De plus le diabรจte constitue un facteur de risque vasculaire majeur : lโinsuffisance coronarienne est la premiรจre cause de mortalitรฉ chez le diabรฉtique.
La neuropathie et lโartรฉriopathie des membres infรฉrieurs souvent associรฉes ร une infection, concourent ร provoquer des lรฉsions du pied regroupรฉ sous le nom du pied diabรฉtique.
Le diabรจte figure parmi les premiรจres causes de la cรฉcitรฉ acquise de lโadulte, dโinsuffisance rรฉnale terminale et dโamputation non traumatique [61; 94; 73].
Complications ophtalmologiques du diabรจte
La rรฉtinopathie diabรฉtique est primitivement une lรฉsion des capillaires rรฉtiniens. Les altรฉrations pariรฉtales conduisent ร une hyperpermรฉabilitรฉ et ร des occlusions. La rรฉtinopathie diabรฉtique demeure longtemps asymptomatique, ce qui justifie la nรฉcessitรฉ de son dรฉpistage systรฉmatique. Son รฉvolution naturelle se fait vers des lรฉsions qui menacent la vision, atteintes maculaires et rรฉtinopathie prolifรฉrante avec risque dโhรฉmorragie du vitrรฉ.
Le diabรจte est la premiรจre cause de cรฉcitรฉ de lโadulte avant 60 ans. Pour le dรฉpistage et la surveillance du diabรจte, un examen ophtalmologique doit รชtre effectuรฉ au moins une fois par an. Le temps essentiel est lโexamen du fond de lโลil ร pupille dilatรฉe, ร la recherche dโune rรฉtinopathie [3; 54; 91].
Complications rรฉnales du diabรจte
Lโatteinte rรฉnale spรฉcifique du diabรจte est une glomรฉrulopathie qui est une complication plus tardive et moins frรฉquente que la rรฉtinopathie. La glomรฉrulopathie passe par plusieurs stades :
– Microalbuminurie, protรฉinurie non dรฉcelable en pratique clinique โค 300 mg /24h
– Protรฉinurie dรฉcelable aux bandelettes soit plus de 300 mg /24h
– Insuffisance rรฉnale terminale qui conduit ร lโรฉpuration extra rรฉnale ou ร la greffe rรฉnale [13; 22; 65].
Existence ou non des effets indรฉsirables avec les plantes
Quelques effets indรฉsirables ont รฉtรฉ observรฉs chez 44 patients soit environ 20 %. Quatorze personnes ont prรฉsentรฉ des troubles gastriques, 1 personne des troubles veineux, 2 cas dโhypoglycรฉmie ont รฉtรฉ notรฉs et 1 cas de coma.
Perception des utilisateurs sur lโefficacitรฉ des plantes
Soixante cinq pour cent de patients pensent que les plantes sont efficaces pour le traitement du diabรจte, alors que 35 % ne pensent pas quโelles sont efficaces. Les รฉlรฉments qui ont permis aux malades de dire que les plantes sont efficaces sont : la diminution de la glycรฉmie, la rรฉduction ou disparition de signes classiques du diabรจte comme la polyurie, la polyphagie, ou la polydipsie (Tableau VI).
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITE SUR LE DIABETE ET SON TRAITEMENT
I. DEFINITIONS
I.1. DEFINITION SELON LโOMS
I.2. DEFINITION SELON LES CRITERES ACTUELS
II. PREVALENCE ET INCIDENCE DU DIABETE
II.1. PREVALENCE DU DIABETE SUCRE
II.2. INCIDENCE DU DIABETE SUCRE
III. CLASSIFICATION ETIOLOGIQUE DU DIABETE SUCRE
III.1. DIABETE DE TYPE I
III.2. DIABETE DE TYPE II
IV. PHYSIOPATHOLOGIE
IV.1. SEXE
IV.2. AGE
IV.3. FACTEURS GENETIQUES
IV.4. OBESITE
IV.5. ACTIVITE PHYSIQUE
IV.6. ALIMENTATION
IV.7. STATUT SOCIO-ECONOMIQUE
IV.8. AUTRES FACTEURS DE RISQUE
V. COMPLICATIONS DU DIABETE
V.1. COMPLICATIONS OPHTALMOLOGIQUES DU DIABETE
V.2. COMPLICATIONS RENALES DU DIABETE
V.3. NEUROPATHIE DIABETIQUE
V.4. LE PIED DIABETIQUE
V.5. COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES
V.6. COMPLICATIONS CUTANEES
VI. TRAITEMENT DU DIABETE
1VI.1. MESURES HYGIENO-DIETETIQUES
VI.1.1. Diรฉtรฉtique antidiabรฉtique
VI.1.1.1. Cas du diabรจte type I
VI.1.1.2. Cas du diabรจte type II
VI.1.2. Lโexcercice physique
VI.2. MEDICATIONS ANTIDIABETIQUES ORALES
VI.2.1. les sulfamides hypoglycรฉmiants (SH)
VI.2.1.1. Nature chimique
VI.2.1.2. Mรฉcanisme dโaction
VI.2.1.3. Pharmacocinรฉtique
VI.2.1.4. Indications des SH
VI.2.1.5. Effets indรฉsirables
VI.2.1.6. Contre indications des SH
VI.2.1.7. Interactions mรฉdicamenteuses
VI.2.2. Les anti hyperglycรฉmiants
VI.2.2.1. Les biguanides
VI.2.2.1.1. Nature chimique
VI.2.2.2. Mรฉcanisme dโaction
VI.2.2.2.1. Pharmacocinรฉtique
VI.2.2.2.2. Indication
VI.2.2.2.3. Effets indรฉsirables
VI.2.2.2.4. Contre-indications
VI.2.2.3. Les inhibiteurs des ฮฑ glucosidases
VI.2.2.4. Les thiazolidines diones
VI.2.2.5. Les glinides
VI.3. MEDICATIONS ANTIDIABETIQUES INJECTABLES
VI.3.1. Structure
VI.3.2. Biosynthรจse de lโinsuline
VI.3.3. Mรฉcanisme dโaction
VI.3.4. Indications thรฉrapeutiques
VI.3.5. Classification des insulines :
VI.3.5.1. Les insulines ordinaires ร action rapide
2VI.3.5.2. Les insulines ร action intermรฉdiaire
VI.3.5.3. les insulines dโ action prolongรฉe dite ยซlentes ยป
VI.3.6. Pharmacocinรฉtique de lโinsuline
VI.3.7. Schรฉma dโinsulinothรฉrapie
VI.3.8. Incidents et accidents de lโinsulinothรฉrapie
VII. UTILISATION DES PLANTES PAR LES DIABETIQUES
VII.1. LโOIGNON
VII.1.1. Dรฉnominations
VII.1.2. Famille et partie utilisรฉe
VII.1.3. Habitat et origine
VII.1.4. Principes actifs
VII.1.5. Effets antidiabรฉtiques
VII.1.6. Recherche
VII.1.7. Effets indรฉsirables
VII.1.8. Prรฉcautions
VII.2. LโAIL
VII.2.1. Dรฉnominations
VII.2.2. Famille et partie utilisรฉe
VII.2.3. Habitat et origine
VII.2.4. Principes actifs
VII.2.5. Effets antidiabรฉtiques
VII.2.6. Recherches
VII.3. MOMORDIQUE
VII.3.1. Dรฉnominations
VII.3.2. Partie utilisรฉe
VII.3.3. Habitat et origine
VII.3.4. Effet antidiabรฉtique
VII.3.5. Principes actifs
VII.3.6. Recherches
VII.3.7. Effets indรฉsirables
VII.3.8. Prรฉcautions
3VII.4. NOPAL
VII.4.1. Dรฉnomination
VII.4.2. Famille partie utilisรฉe
VII.4.3. Habitat et origines
VII.4.4. Principe actif
VII.4.5. Effets anti-diabรฉtiques
VII.4.6. Recherches
VII.4.7. Effets indรฉsirables
VII.4.8. Prรฉcautions
VII.5. ALOES
VII.5.1. Dรฉnomination
VII.5.2. Famille – partie utilisรฉe
VII.5.3. Habitat et origines
VII.5.4. Principe actif
VII.5.5. Recherches
VII.5.6. Effets indรฉsirables
VII.5.7. Prรฉcautions
VII.6. GINSENG
VII.6.1. Dรฉnomination
VII.6.2. Famille – partie utilisรฉe
VII.6.3. Habitat et origines
VII.6.4. Principe actif
VII.6.5. Effets anti-diabรฉtiques
VII.6.6. Recherches
VII.6.7. Effets Indรฉsirables
VII.6.8. Prรฉcautions
VII.7. GYMNEMA
VII.7.1. Dรฉnomination
VII.7.2. Famille – partie utilisรฉe
VII.7.3. Habitat et origines
VII.7.4. Principe actif
VII.7.5. Effets anti-diabรฉtiques
4VII.7.6. Recherches
VII.7.7. Effets indรฉsirables
VII.7.8. Prรฉcautions
VII.8. AUTRES PLANTES ANTIDIABETIQUES
VII.8.1. Basilic sacrรฉ
VII.8.2. Sclerocanja birrea
VII.8.3. Pervenche de Madagascar
VII.8.4. Galega officinalis
VII.8.5. Haricot vert
VII.8.6. Never die
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
I. INTRODUCTION
II. MATERIEL ET METHODE
II.1. CADRE DโETUDE
II.2. MATERIEL
II.3. METHODE DโETUDE
III. RESULTATS
III.1. LES CIRCONSTANCES DE DECOUVERTE DU DIABETE
III.2. TYPE DE DIABETE
III.3. CONNAISSANCE OU PAS DES NOMS DE PLANTES UTILISEES COMME ANTIDIABETIQUE
III.4. NOMS DES PRINCIPALES PLANTES MEDICINALES UTILISEES PAR LES MALADES ET LEUR FREQUENCE
III.5. NOMBRE DE PERSONNES AYANT CONTINUE OU NโAYANT PAS CONTINUE LโUSAGE DES PLANTES
III.6. SOURCES DโINFORMATIONS SUR LโEXISTENCE DES PLANTES ANTIDIABETIQUES
III.7. DEGRES DโINFLUENCE DโUNE AUTRE PERSONNE DANS LE RECOURS AUX PLANTES
III.8. FOURNISSEURS DE PLANTES MEDICINALES :
III.9. DETERMINANTS DE RECOURS AUX PLANTES MEDICINALES
III.10. EXISTENCE OU NON DES EFFETS INDESIRABLES AVEC LES PLANTES
III.11. PERCEPTION DES UTILISATEURS SUR LโEFFICACITE DES PLANTES
III.12. LโEXISTENCE OU NON DโUN TRAITEMENT MODERNE EN PARALLELE AVEC LโUTILISATION DES PLANTES
III.13. LโEXISTENCE OU NON DโUN REGIME EN PARALLELE AVEC LโUTILISATION DES PLANTES
II.14. LE MOYEN LE PLUS EFFICACE POUR LE TRAITEMENT DU DIABETE SELON LES MALADES ENQUETES
III.15. LโEXISTENCE OU NON DโUNE DOSE PRECISE DE LA PLANTE A UTILISER
III.16. POURCENTAGE DES PERSONNES INFLUENCEES DโARRETER LES MEDICAMENTS MODERNES EN FAVEUR DES PLANTES
III.17. AVIS GENERAL DES MALADES ENQUETES SUR LโUTILISATION DES PLANTES
IV. DISCUSSION
CONCLUSION GENERALE
REFERENCE
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