TERRAINS DE GENRES ET DYNAMIQUE ECONOMIQUE

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Disparités et inégalités sociales de genre

Cette forme de division sociale du travail crée et creuse des disparités, c’est-à-dire des différences publiques et insidieuses de possibilités de capacités et d’habilités à faire, « à faire faire » et choisir entre les hommes et les fe mmes. Ce mécanisme a été édifié sur de très longues périodes historiques et continuent de se perpétuer au travers de mille subtilités et courroies. Ces disparités engendrent des inégalités sociales de genre quant aux possibilités de produire, de développer ses connaissances, d’acquisition de savoir et de « savoir faire », d’accéder et de contrôler des richesses matérielles et immatérielles, d’avoir de la préséance sociale, d’occuper telles ou telles fonctions publiques ou privées et de décider de son devenir en toute latitude.
Les concepts de division sexuelle du travail, de disparités et d’inégalités sociales de genre se fondent sur les éléments et les traduisent. Le « rapport social du sexe » ou rapport social entre les hommes et les femmes se situe dans un rapport de hiérarchie et d’asymétrie, cet élément d’hiérarchie signifie que, dans les différentes sociétés, les rôles et les fonctions affectés aux sexes masculins sont considérés comme supérieurs, comme de plus de valeur que ceux affectés aux femmes.
Au-delà de cette idée de hiérarchie est posé alorsle problème du rapport au pouvoir, l’organisation sociale de genre aboutit à ce que ce soit le genre masculin qui bénéficie de l’accès aux ressources matérielles ou symboliques : temps, argent, pouvoir, espace, information, formation, travail, moyen de transport, mobilité et même les loisirs…… Selon le PNUD, « il n’existe pas de sociétés dans laquelle des femmes bénéficient des mêmes opportunités que les hommes »5 (PNUD, 1995). En effet, dans tous les domaines de la vie, les femmes subissent cette inégalité de genre.

Dans le domaine du travail

Dans toutes les sociétés, les hommes et les femmes ont des activités distinctes et ils assument des responsabilités différentes au sein du ménage. Pour les femmes, production et reproduction sont deux domaines étroitement imbriqués. Une grande partie de leur travail n’est pas rétribuée même s’il est reproductif. Les hommes ont toujours eu un rôle mineur dans les tâches domestiques : ils sont supposés avo ir un travail rémunéré à l’extérieur, tout au moins c’est la société qui le conçoit ainsi.
Les disparités d’accès aux ressources entre hommes et femmes ont un effet direct sur les potentialités d’autonomie économique assurant aux femmes et aux personnes qui en dépendent une meilleure qualité de vie. De plus, l’accès restreint des femmes aux facteurs de production agricole, en particulier pour les cultures vivrières, confère de sérieuses limitations à la productivité de leur travail.
Dans les secteurs non agricoles, l’emploi est le plus souvent discriminatoire à l’égard des femmes, que ce soit par la nature des travaux, la catégorie professionnelle ou les potentialités d’avancement professionnel. Depuis plus de vingt ans et dans toutes les régions du monde, les femmes ont de plus en plus investi sur le marché du travail. Pourtant, elles continuent à occuper des fonctions moindres, à percevoir des salaires plus bas et à avoir moins d’opportunités de promotion.6
En plus des apriorismes sexistes, les femmes sont également obligées de concilier leur rôle de femme au foyer avec celui d’agent économique productif. La durée et l’organisation de leur journée de travail, l’évolution de leur carrière professionnelle et le niveau de leur salaire s’en ressentent. En résumé, les possibilités et le champ de travail sont plus limités pour les femmes que pour les hommes, auxquels s’ajoute une rénumération inférieure à fonction égale. Mais il faut reconnaitre aussi que les femmes urbaines qui travaillent dans le public et dans le privé, perçoivent de l’argent qui les libère de la tutelle de leur père et des maris.

Dans le domaine de la pauvreté

La pauvreté se caractérise par la précarité des revenus, voire l’absence de revenus, associée à un accès très restreint aux ressources productives indispensables pour garantir des conditions de vie durables. Elle est synonyme de faim, de malnutrition, de mauvaise santé, de mortalité et de morbidité élevée, d’instruction insuffisante, d’habitat précaire et malsain.
Les études ont démontré que la pauvreté se féminise : au cours de la décennie 1970-1980, le nombre de femmes qui vivaient au-dessous du seuil de pauvreté a augmenté davantage que celui des hommes. En 1988, il était estimé que 60% des pauvres étaient des femmes 7.En plus des discriminations sexistes dans le secteur de l’emploi, d’autres facteurs sont à l’origine de ce phénomène : restructuration économique mise en œuvre dans les pays en développement, réductions budgétaires effectuées par les gouvernements et autres mesures liées à l’adoption des modèles économiques néolibéraux. Les femmes ont subi, beaucoup plus cruellement que les hommes, la réduction des postes de travail de la fonction publique et des services et avantages sociaux. Les soins aux enfants, aux personnes âgées, aux malades et aux handicapés, sont attribués d’office aux femmes.
La pauvreté est plus aiguë dans la zone rurale où l a disponibilité des services et les opportunités de travail sont plus restreintes qu’en milieu urbain. Elle est plus probable chez les femmes que chez les hommes étant donné le moindre accès de celles-ci aux ressources et aux facteurs de production et leur plus grand isolement. Le crédit, la terre, l’héritage, l’instruction, la formation, l’information, la vulgarisation, la technologie, les intrants agricoles sont plus aléatoires pour elles, sans compter leur pouvoir inégalitaire de décision sur leur propre production et celle du ménage. En outre, la vulnérabilité des femmes prend certaines de ses racines au sein même de la famille : par exemple, pour l’inscription des enfants à l’école, dans les ménages pauvres, les parents préféreront investir sur les garçons et garderont les filles à la maison où elles assureront une partie du travail domestique et de production.

Dans le domaine de la vie familiale

Dans toutes les sociétés, les femmes assument la majeure partie du travail domestique et sont les principales responsables de l’éducation des enfants et des soins aux personnes âgées et aux malades. La vie des femmes e st énormément marquée par la reproduction qui a une influence directe et évidente sur leur état de santé et sur les opportunités d’accès à l’instruction, à l’emploi, aux revenus. Dans les sociétés où les femmes se marient très jeunes et beaucoup plus précocement que les hommes, la subordination au mari sera plus forte, comme le cas des femmes à Madagascar, qui est différent des familles occidentales actuelles.
Par exemple, dans les pays en développement, il est estimé que les femmes réalisent entre deux tiers et trois quarts des tâch es domestiques.8

Dans le domaine de la santé

Les femmes et les hommes ont des demandes de santé distinctes, à cause des différences biologiques, mais aussi à cause de leur mode de vie lié aux rôles spécifiques que la société leur a assignés. La santé masculine est plus fragilisée par les maladies professionnelles, les accidents de travail, de la route et le tabagisme, l’alcoolisme, la toxicomanie, etc. L’incidence du cancer, des maladies et lésions cardio-vasculaires, principales causes de la mortalité, est plus élevée chez les hommes. Le style de vie (comportement culturels et sociaux) et les caractéristiques biologiques en sont les principales causes. Les risques de maladies encourus par les femmes sont souvent liés à la reproduction. Leur santé est plus fragile au cours des grossesses : risques d’anémie, de malnutrition, de diabète, etc.
Toutefois, les femmes ont une espérance de vie supérieure à celle des hommes. Parallèlement, le manque de ressources, les contraintes sociales et les coutumes induisent des disparités entre filles et garçons en termes desanté et de mortalité. Dans certains pays, la valeur accordée aux enfants de sexe masculin est supérieure à celle des enfants de sexe féminin parce que les garçons ont le plus besoin d’entretien que les filles pour le cas des pays sous-développés pour qu’ils deviennent un meilleur chef de famille tandis que les filles ne sont faites que pour les travaux domestiques et l’élévation des enfants.
Les parents recourront alors plus facilement aux services sanitaires pour les garçons et leur fourniront une nourriture plus abondante et de meilleure qualité.
Dans certaines sociétés, la répartition des aliments au sein du ménage peut être également inéquitable entre adultes, les femmes servent d’abord la famille et ne mangent que ce qui reste, comme le cas de la situation africaine.

Dans le domaine de l’éducation

Ici, nous entendrons par éducation le sens instruction scolaire du mot. Cette précision paraît nécessaire car l’éducation recouvre des domaines qui vont bien au-delà de la scolarité et de l’instruction proprement dite.
Le marché du travail, de plus en plus concurrentiel, exige, chaque jour davantage, un niveau d’instruction de plus en plus élevé. Les personnes sans bagage éducatif se trouvent incontestablement dans une position de désavantage. Par ailleurs, il est reconnu que dans un processus de changement, l’instruction permet de passer de l’exclusion et la marginalisation à une insertion active. Pourtant, dans beaucoup de sociétés subsistent encore des barrières et des préjugés qui restreignent l’accès des filles et des femmes à l’instruction.
Les femmes analphabètes sont plus nombreuses que les hommes et plus le taux d’alphabétisation d’un pays est faible, plus les disparités sont en défaveur des femmes. L’UNESCO estime que dans les pays en développement, 41% des femmes sont analphabètes contre 20% d’hommes. Dans les zones rurales de certains pays, le taux d’analphabétisme des femmes, âgées de 15 à 24 ans, est deux à trois fois supérieur à celui des zones urbaines.9 Les filles abandonnent plus tôt l’école, particulièrement en milieu rural où leur aide est requise pour les tâches domestique s et productives. L’absence de services scolaires, comme le transport de proximité, creuse cet écart en ayant un effet direct sur le taux de fréquentation scolaire des filles. Lorsque la distance à parcourir pour se rendre à l’école est longue, les parents craignent pour la sécurité de leurs filles et préfèrent les garder à la maison.
Au niveau des études supérieures, dans certaines régions, le nombre de filles augmente et est parfois même supérieur à celui des garçons. Mais, de réelles différences existent quant à la nature des études embrassées.
Les préjugés, les réticences des familles, les habitudes sociales donnent la belle part aux garçons dans les domaines scientifiques et techniques. Les filles, celles qui peuvent accéder à l’éducation supérieure, sont quant à elles incitées à opter pour des carrières dites féminines, qui ont le plus souvent peu de débouchées et mal rétribuées. Les processus éducationnels portent en eux une logique de ségrégation des femmes par rapport à l’emploi.

Dans le domaine de la vie publique et des instances de décision

L’inégalité entre hommes et femmes persiste dans al vie publique et dans les instances décisionnelles. Les femmes sont toujours sous représentées dans les gouvernements, les assemblées législatives et dans beaucoup d’autres secteurs cruciaux influant sur l’opinion publique tels que l’art, la culture, les médias, la religion. Dans seulement 16 pays, les femmes occupent plus de 15% des charges ministériels et 59 autres, elles ne sont titulaires d’aucun poste ministériel. 10  Pratiquement dans tous les pays, les femmes ont acquis le droit de vote. Pourtant, leur nombre dans les parlements est toujours très faible.
Les inégalités dans la vie publique trouvent leur premier ancrage dans la vie quotidienne familiale : la distribution inégalitaire des responsabilités et de la division sexuelle du travail qui circonscrit fortement l’espace des femmes et entrave leur participation à la vie publique.
Ainsi les femmes occupent rarement des fonctions de direction dans les grandes entreprises.
Il est toujours exceptionnel de trouver une femme à la tête de l’une d’entre elles ou à un autre poste de responsabilité. Les charges ministérielles du budget et des finances ainsi que les postes de direction des banques centrales sont le plus souvent aux mains des hommes et seul un faible pourcentage des postes de gestion ou d’administration est accordé aux femmes. 11

Facteurs de différences et inégalités entreesl hommes et les femmes

Nombreux sont les facteurs et causes qui déterminent ces inégalités entre les hommes et les femmes, et c’est ce que nous essayerons de voir ci-dessous.

Culture et tradition

La culture c’est tout ce qui est ou a été créé pardes individus partageant les mêmes valeurs, intérêts, projets de société. La culture est composée des idées, idéologies, religions, valeurs et les pratiques qui en découlent, la politique, l’économie, les arts, l’éducation, la langue, les alliances, l’habillement.
Par exemple, selon BOURDIEU12, une femme ayant la même gestuelle qu’un homme comme mettre les pieds sur une table, se balancer sur une chaise sera qualifiée de « peu féminine » ou « vulgaire ». Il note également que l ’habillement féminin sert d’appui à cette pression sociale, la jupe permettant par exemple un éventail moins important de mouvement que le pantalon.
La tradition désigne la transmission continue d’un contenu culturel à travers l’histoire. Cet héritage immatériel peut constituer le vecteur d’identité d’une communauté humaine. Dans son sens absolu, la tradition est une mémoire et un projet ; en un mot une conscience collective : le souvenir de ce qui a été, avec le devoir de le transmettre et de l’enrichir.
Une tradition est donc, en sociologie, une coutume ou une habitude qui est mémorisée et transmise de génération en génération,à l’origine, sans besoin d’un système écrit. Les outils pour aider à ce processus incluent des éléments de poésie comme la rime et l’allitération. Des histoires sont bâties pour une ritualisation de la pensée autour d’une manière de faire et de ses accessoires, désormais fortement relayées par la publicité et les lois.
A Madagascar, par exemple, la tradition veut que les femmes n’aient pas le droit aux paroles dans une assemblée. Seuls les hommes peuvent émettre leur opinion au public. Au cas où une femme oserait prendre la parole devant s on mari ou autre membre masculin de la famille, elle sera vue et traitée de « akoho vavy maneno » (lit. Une femme qui n’est pas à sa place) qui veut dominer son mari. Elle deviendra la risée de la société, notamment dans la société traditionnaliste tandis que dans la sociétémoderne, du moins en milieu urbain, cette tradition tend à être dépassée grâce à l’évolution, par exemple l’émergence des femmes « mpikabary ».

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : GENRE ET COURANTS DE POSITIONS
CHAPITRE I : LE RAPPORT DE GENRE DANS L’ECONOMIE
I.1 LE GENRE : UN CONCEPT ET UNE METHODE
I.1 1 Le concept de genre
I.1 1 1 Le constructivisme social
I.1 1 2 La définition de la situation
I.1 1 3 L’étiquetage
I.1 2 Disparités et inégalités sociales de genre
I.1 2 1 Dans le domaine du travail
I.1 2 2 Dans le domaine de la pauvreté
I.1 2 3 Dans le domaine de la vie familiale
I.1 2 4 Dans le domaine de la santé
I.1 2 5 Dans le domaine de l’éducation
I.1 2 6 Dans le domaine de la vie publique et des instances de décision
I.1 3 Facteurs de différences et inégalités entre les hommes et les femmes
I.1 3 1 Culture et tradition
I.1 3 2 Education et socialisation
I.2 L’ECONOMIE
I. 2 1 Les principales notions économiques se rapportant aux acteurs économiques
I. 2 1 1 Les agents économiques
I. 2 1 1 1 Les ménages
I. 2 1 1 2 Les sociétés non financières (SNF)
I. 2 1 1 3 Les sociétés financières
I. 2 1 1 4 Les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM)
I. 2 1 1 5 Les administrations publiques (APU)
I. 2 1 1 6 Le reste du monde
I. 2 1 2 Le facteur capital
I. 2 1 2 1 Le capital : une notion polysémique
I. 2 1 2 2 Les formes du capital technique
I. 2 1 2 3 Le capital un stock variable
I. 2 1 3 Les revenus
I. 2 1 4 L’épargne
I. 2 1 4 1 La thésaurisation
I. 2 1 4 2 Les placements financiers
I. 2 1 5 La monnaie
I. 2 1 5 1 Fonctions spécifiques
I. 2 1 5 2 Rôle social
I. 2 1 5 3 Le double aspect de la monnaie
I. 2 1 6 La consommation
I. 2 2 La sociologie économique
I. 2 2 1 Culture et économie à Madagascar
I. 2 2 1 1 Conception du monde du malgache contribuant aux résultats économiques à travers les attitudes et les modes de comportement
I. 2 2 1 2 L’influence de l’économie sur la culture
CHAPITRE II : COURANTS ET REALITES MALGACHES
II.1 Théorie de la division du travail par Emile Durkheim
II.1 1 « De la division du travail social » : une thèse
II.1 2 La démarche scientifique
II.1 3 L’analyse sociologique de Durkheim
II.2 Le capitalisme
II.2 1 Les définitions
II.2 1 1 Le capitalisme défini par la propriété privée des moyens de production
II.2 1 2 La définition marxiste
II.2 1 3 Les caractéristiques définissant le capitalisme
II.2 2 Le mécanisme du capitalisme
II.3 Le courant marxiste
II.4 Socialisme
II.5 L’inégalité des chances
PARTIE II : TERRAINS DE GENRES ET DYNAMIQUE ECONOMIQUE
CHAPITRE III : LES GENRES DANS LEUR ENVIRONNEMENT
III.1 Cadre géographique
III.1 1 Présentation du troisième arrondissement de la Commune Urbaine d’Antananarivo
III.1 1 1 Localisation du troisième arrondissement de la CUA
III.1 1 2 Les infrastructures
III.1 2 Localisation des fokontany par rapport aux arrondissements
III.1 3 Localisation par rapport aux fokontany
III.2 Cadre démographique
III.2 1 Situation démographique du fokontany d’Ankorondrano Andranomahery
III.2 2 Situation démographique du fokontany d’Antanimena Ambihibary
III.2 3 Situation démographique du fokontany de Tsaramasay
III.3 Habitat
III.4 Infrastructures
III. 4 1 Les infrastructures culturelles
III. 4 1 1 Les établissements scolaires
III. 4 1 2 Les institutions religieuses
III. 4 2 Les infrastructures sanitaires
III. 4 3 Les infrastructures économiques
III. 4 4 Les infrastructures sociales
CHAPITRE IV : LOGIQUE ET RAPPORT DE FORCES DE GENRES
IV.1 Les revenus
IV.1 1 Représentation des enquêtés actifs
IV.1 1 1 Les cadres
IV.1 1 2 Les ouvriers
IV.1 1 3 Les couches défavorisées
IV.1 2 L’interdépendance entre revenus, sexes et secteurs des fokontany
IV.1 3 Les dépenses et consommations
IV.1 4 La sécurité alimentaire au niveau des ménages
IV.1 5 Impacts de la crise politico-économique sur les ménages
IV.2 L’accès des femmes aux ressources par rapport aux hommes
IV.2 1 Accès aux crédits
IV.2 2 Propriété de lopins de terre et de maisons
IV.2 3 Liberté des femmes de disposer de leurs propres revenus
IV.3 Le budget temps et l’emploi
IV.3 1 Constat par rapport aux activités des femmes
IV.3 2 La gestion de temps
IV.3 2 1 Les femmes au service de la reproduction de la force de travail
IV.3 2 2 Les femmes productrices non rémunérées
IV.3 2 3 Les femmes intellectuelles et bureaucrates
IV.3 2 4 Les femmes ouvrières industrielles
IV.4 Niveau d’instruction et économie
V.1 Les facteurs, les conditions et les agents de changement et évolution sociale .
V.1 1 La femme en évolution
V.1 1 1 L’action collective
V.1 1 2 L’exode rural
V.1 1 3 L’urbanisation
V.1 2 La modernité
V.1 2 1 L’individualisme, un atout ou une menace pour la société
V.1 2 1 1 L’individualisme menace la cohésion sociale
V.1 2 1 2 L’individualisme est un atout pour le bien de la société
V.1 2 2 Le capitalisme
V.2 Nouveaux rôles de la femme
V.3 Le paradoxe d’Anderson
V.4 Les dimensions de l’exploitation et la domination au niveau économique et social
V.4 1 Le travail domestique et rapports sociaux dans la société contemporaine
V.4 1 1 Le capitalisme et le patriarcat
V.4 1 2 Les rapports sociaux des sexes et les rapports capitalistes
V.4 1 3 La simultanéité des rapports de sexage et des rapports du salariat
V.4 1 4 L’articulation entre travail domestique et travail salarié
V.4 1 5 L’hétérogénéité des rapports sociaux de production et de reproduction
PARTIE III : EPICENE
CHAPITRE VI : BILAN SUR L’EFFICIENCE ECONOMIQUE DU GENRE
VI.1 L’INTERDEPENDANCE ENTRE POUVOIRS
VI.1 1 L’importance de l’éducation et de la santé dans le développement économique du pays
VI.1 1 1 La santé et l’économie : une relation vitale
VI.1 1 2 Les rapports entre économie et éducation
VI.1 1 2 1 Les liens entre l’économie et l’éducation
VI.1 1 2 2 Lien entre la formation des travailleurs et la productivité
VI.2 L’AMELIORATION DE L’EFFICIENCE ECONOMIQUE DES FEMMES RALENTIE PAR LA CRISE POLOTICO-ECONOMIQUE
VI.2 1 Rétrospection et évaluation des réalisations du projet sur la promotion du pouvoir économique des femmes au niveau national
VI.2 1 1 Les parcours et efforts déployés pour la promotion de l’efficience des femmes
VI.2 1 1 1 Le Plan d’Action national Genre et Developpement (PANAGED)
VI.2 1 1 2 Historique du contexte économique
VI.2 1 1 3 Les justifications du PANAGED
VI.2 1 2 Evaluation de la mise en oeuvre des projets de développement depuis 2001
VI.2 1 2 1 Rapport final du COI élaboré en décembre en 2008 sur la promotion de l’efficience économique des femmes malgaches
VI.2 1 2 2 Rapport d’évaluation du PANAGED sur le « programme spécifique A » par le Ministère et le PNUD élaboré en février 2009
VI.2 2 La crise politico-économique interrompt l’ascension du développement des opportunités des femmes et perturbe sa progression
VI.2 3 L’Etat, principal intervenant et responsable du retour à la stabilisation politico-économique au niveau national
CHAPITRE VII : PERSPECTIVES SUR L’AMELIORATION DES RAPPORTS SOCIAUX ENTRE HOMMES ET FEMMES POUR UN DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE DURABLE
VII.1 Implantation du dynamisme entrepreneurial
VII.1 1 Amélioration de l’environnement socio-économique
VII.1 2 Adopter une meilleure psychologie
VII.1 3 Une culture entrepreneuriale
VII.2 Association approche genre / approche participative
VII.2 1 L’approche genre
VII.2 2 L’approche participative
VII.2 3 La mise en oeuvre de l’association approche participative/approche genre
VII.3 Adopter la théorie du capital humain
VII.3 1 La vulgarisation de la formation professionnelle
VII.3 2 Création d’emploi pour les chômeurs
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *