Circuits d’approvisionnement des intrants pour la lutte contre le paludisme

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Répartition géographique du paludisme à Madagascar

Quatre faciès épidémiologiques sont décrits à Madagascar en lien direct avec les différents types climatiques :
• paludisme stable à forte transmission toute l’année sur la côte Est (faciès équatorial),
• paludisme stable mais avec forte transmission en saison des pluies (Novembre à Mars) sur la côte Ouest et le Nord (faciès tropical),
• paludisme instable à transmission liée aux précipitations dans le Sud (faciès sahélien),
• paludisme instable et saisonnier (Novembre à Avril) sur les Hautes Terres
Centrales jusqu’à 1500mètres d’altitude (faciès montagnard).2

Symptomatologie

Paludisme simple

C’est la manifestation classique de la maladie. La phase d’invasion est caractérisée par des signes fonctionnels tels qu’une fièvre pouvant aller jusqu’à 40° C, due à la libération du pigment malarique suite aux éclatements des rosaces provoquant la sécrétion de pyrogènes endogènes qui, à leur tour, agissent au niveau de l’hypothalamus et entrainent une augmentation de la température [15],des céphalées, des courbatures, des myalgies et une malaise générale associés à des signes digestifs comme une anorexie, des nausées, des vomissements, des diarrhées24.Correctement traitée, l’évolution est favorable en quelques jours sinon elle peut évoluer vers un accès pernicieux.

Paludisme grave

C’est le drame du paludisme et reste responsable, en dépit des traitements, d’un grand nombre de décès. L’accès pernicieux, au sens strict, est défini par l’existence de signes neurologiques aigus au cours d’un paludisme à P. falciparum25. Il est dû à l’accumulation des hématies parasitées dans les capillaires cérébraux. Associée à des phénomènes inflammatoires, cette accumulation des hématies parasitées entraine l’anoxie cérébrale26.

Différence entre paludisme simple et paludisme grave

Le paludisme simple se présente sous un ensemble de signes fonctionnels polymorphes, pouvant simuler n’importe quelle maladie infectieuse, comme la fièvre associée à un frisson, des courbatures, une asthénie et des céphalées, mais sa particularité est l’absence de signes physiques [27].C’est pour cela que son diagnostic nécessite l’association des critères cliniques avec la détection des parasites ou antigènes dans le sang, afin de réduire l’utilisation abusive des antipaludiques et de traiter les causes de la fièvre [28].
Le paludisme grave survient suite à un retard de diagnostic et/ou à un retard de prise en charge du paludisme simple et se présente comme un syndrome de dysfonction(s) d’organe(s) et/ou de dysfonction(s) métabolique(s), secondaires à la présence intra érythrocytaire de Plasmodium sp. [29]. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, le diagnostic de paludisme grave repose sur la mise en évidence chez un patient des formes asexuées de Plasmodium falciparum associé à la présence d’une ou de plusieurs signes de gravité (critère de gravité de l’OMS révisé en 2015) (ANNEXE 1)30.

Méthodes de diagnostic du paludisme

Depuis le début de l’année 2010, devant tous les cas suspects de paludisme, l’OMS a recommandé une confirmation parasitologique rapide par un examen microscopique ou par un test de diagnostic rapide (TDR), moins de 2 heures après l’arrivée en consultation et avant tout traitement, et il est indispensable d’associer les critères cliniques avec un examen biologique qui consiste à détecter les parasites ou antigènes dans le sang [31]. Pour cela, différentes méthodes sont actuellement disponibles, à savoir :
– Diagnostic microscopique direct par frottis sanguin et goutte épaisse ;
– Test de diagnostic rapide (TDR) ;
– Autres techniques biologiques, tels que la QBC® (Quantity Buffy Coat), la PCR
– (Polymerase Chain Reaction), l’ELISA, et l’IFC.

Diagnostic microscopique direct par frottis sanguin et goutte épaisse

 Goutte épaisse
Elle consiste à examiner au microscope optique quelque µl de sang après hémolyse des globules rouges et coloration selon la méthode de Giemsa. Correctement réalisée, elle permet de faciliter la détection des parasites et leur quantification. [32]
 Frottis mince
Cette technique consiste à observer au microscope, après fixation à l’alcool, une lame de sang non hémolysée coloré selon May-Grunwald-Giemsa ou Giemsa. Complémentaire de la goutte épaisse, le frottis permet le diagnostic de l’espèce du plasmodium infestant, l’étude de la morphologie du parasite et de l’hématie parasitée.

Cette méthode demeure la méthode de référence en termes de sensibilité et de spécificité, car elle permet de confirmer la maladie, d’identifier l’espèce plasmodiale en cause et d’évaluer la parasitémie, ce qui conditionne à la fois le pronostic et la conduite thérapeutique [33]. À Madagascar, elle n’est accessible qu’au niveau des grands établissements de soins et hôpitaux équipés en laboratoire de biologie.

Test de diagnostic rapide (TDR)

Ces TDR sont réalisés grâce à une goutte de sang déposée sur une bandelette et ne nécessitent aucun appareillage. Il repose sur le principe de l’immuno-chromatographie, utilisant des bandelettes sensibilisées par des anticorps monoclonaux spécifiques [34], détectant des antigènes comme l’Histidin Rich protein (pHRP2), une glycoprotéine spécifique de Plasmodium falciparum exposée à la surface du globule rouge parasité [35] et les Lactate déshydrogénase du plasmodium (pLDH) qui sont des enzymes glycolytiques communes aux 4 espèces plasmodiales détectées à tous les stades sexués et asexués du parasite [36]. Il existe actuellement des formes combinées « HRP2 combo », comportant des anticorps dirigés contre les antigènes HRP2 et Aldolase ou l’HRP2 et le pLDH pan spécifique [7], qui sont utilisées à Madagascar, et sont capables de détecter à la fois deux antigènes.

Ce type de test présente une bonne spécificité, simple et rapide à exécuter et à interpréter. Il est indiqué particulièrement pour les structures sanitaires non spécialisées, lorsque l’examen microscopique n’est pas disponible [37].
D’autres techniques biologiques sont disponibles, mais présentent peu d’intérêt pour le diagnostic du paludisme, du fait que leurs utilisations sont limitées, soit par leur exigence en matériel et réactif coûteux pour le cas du « QBC® (Quantity Buffy Coat) » [38], soit en raison du temps de réalisation relativement long et incompatible
avec l’urgence du diagnostic du paludisme, pour le cas de l’amplification génique par « Polymerase Chain Reaction (PCR) », de même pour les autres méthodes sérologiques, telles que l’ELISA et l’Immunofluorescence Indirecte (IFC) [33].

Traitement du paludisme 

Les antipaludiques

Il existe trois grandes classes d’antipaludiques :
• les antipaludiques naturels ou d’hémisynthèse comme la quinine, l’artémisinine et ses dérivés ;
• les antipaludiques de synthèse :
 les amino 4 quinoléines dont la choloroquine, l’amodiaquine, la pipéraquine;
 les amino 8 quinoléines dont la primaquine et la tafénoquine ;
 les amino alcools dont l’halofantrine, la luméfantrine, la méfloquine ;
 les sulfonamides dont la sulfadoxine et la dapsone ;
 les diaminopyrimidines et les biguanides comme la pyriméthamine et le proguanil ;
 les hydroxynaphtoquinones comme l’atovaquone ;
• les antibiotiques :
 Les cyclines comme la tétracycline et la doxycycline ;
 Les macrolides tels la clindamycine, la spiramycine, l’azithromycine.[39]

Prise en charge d’un accès paludisme simple

Après analyse de la situation et confirmation du diagnostic, la thérapeutique mise en place doit être conforme aux recommandations de la politique nationale de lutte contre le paludisme.
Voici les principales directives de la PNLP pour la prise en charge d’un accès palustre simple :
1. Tout d’abord, tous les médicaments administrés aux patients doivent être pris par voie orale. En cas d’impossibilité ; il faudra alors traiter le patient comme s’il présentait un cas de paludisme grave.
2. La combinaison thérapeutique à base d’artémisinine utilisée en première intention dans l’accès palustre simple est l’association artésunate amodiaquine. Cette association sera utilisée sous sa forme combo c’est -à- dire une forme constituée d’une seule comprimé. Les avantages de cette association mis en avant par l’OMS sont : une réponse plus rapide, une protection contre la résistance aux antipaludiques, une réduction de la transmission et donc une réduction de la morbidité et de la mortalité.

3. Ce traitement sera administré pendant trois jours et le dosage prescrit varie en fonction du poids et de l’âge du patient (tableau I). Il est important de noter que la première prise du traitement doit être faite sous le contrôle du professionnel de santé et qu’à la fin des trois jours de traitement, le patient doit revenir afin d’évaluer l’efficacité de la thérapeutique qui a été instaurée.
4. Devant un échec thérapeutique, un traitement de deuxième intention sera instauré. Celui- ci se compose d’une combinaison thérapeutique à base d’artémisinine constituée d’artéméther et luméfantrine. Celui-ci est également pris sur trois jours et les dosages varient en fonction du poids et de l’âge du patient (tableau II).
5. En parallèle du traitement mis en place, il est recommandé d’instaurer un traitement symptomatique avec antipyrétique et d’autres moyens permettant de faire baisser la fièvre qui peut atteindre 40°C dans une crise de paludisme. Les principaux conseils énoncés dans la PNLP sont l’application d’un linge humide sur le front, l’administration d’ un antipyrétique plusieurs fois par jour et surtout le conseil aux patients de boire beaucoup et de manger des repas supplémentaires afin de pallier aux faiblesses musculaires et physiques que peut engendrer la maladie. Le patient doit se reposer et bien prendre la totalité de son traitement pendant les trois jours [40,41].

Politique Nationale de Lutte contre le paludisme à Madagascar

Depuis l’année 1998, Madagascar dispose d’un Programme National de Lutte contre le Paludisme dans le but de réduire la morbidité et la mortalité imputable au paludisme. Dans la perspective d’une élimination du paludisme vers l’année 2018, le plan stratégique national a subi une refonte en 2005 notamment en termes de prise en charge diagnostique et thérapeutique du paludisme. Cette stratégie d’élimination comporte quatre étapes s’étalant sur 10 ans comprenant une phase préparatoire (2007-2008), une phase d’attaque (2008-2012), une phase de consolidation (2013-2017) et une phase de maintien à partir de 2018. [43]

Objectifs

Objectifs généraux

La Politique Nationale de Lutte contre le Paludisme vise à mettre en place, promouvoir, coordonner un programme de lutte contre le paludisme au niveau national axé sur les activités de prévention, de diagnostic et de traitement afin d’interrompre la chaine de transmission et d’éliminer le paludisme qui constitue un frein au développement socio-économique de Madagascar

Objectifs spécifiques

En accord avec les objectifs du sommet d’Abuja, la PNLP s’attelle à:
– réduire la mortalité et la morbidité liées au paludisme à 100% dans les zones à faible transmission et de 90 à 75% dans les autres zones concernées par la stratégie.
– assurer la prise en charge correcte de 100% des patients vus dans les formations sanitaires et 80% des patients vus au niveau communautaire.
– faire en sorte que 85% des femmes enceintes et des enfants de moins de 5 ans dorment sous des moustiquaires imprégnées d’insecticides (MID).

– veiller à ce que 100% des femmes enceintes vue en CPN (Consultation prénatale) reçoivent un traitement préventif intermittent correspondant à 2 doses de Sulfadoxine-Pyrimethamine.
– faire en sorte que 90% des ménages vivant dans les zones concernés par la stratégie soient protégées par les Campagnes d’Aspersion Intra-Domiciliaire d’insecticides. (CAID).

Stratégies

Prise en charge diagnostique et thérapeutique

Du fait de l’augmentation constante des foyers de résistances aux antipaludiques à Madagascar, une nouvelle politique de prise en charge a été instaurée depuis l’année 2005.
Cette politique inclut :
– une confirmation biologique de tous les cas suspects de paludisme par la microscopie ou par les tests de diagnostic rapides au sein des formations sanitaires avant toute chimiothérapie anti-palustre ;
– l’utilisation de la combinaison thérapeutique à base d’artésunate et d’amodiaquine en première intention dans le traitement de l’accès simple et de la quinine par voie parentérale dans le traitement de l’accès grave ;
– l’intégration de la prise en charge du paludisme dans le cadre de la prise en
– charge intégré des maladies de l’enfant (PCIME) et des Soins Prénataux Focalisés (SPF)
– la mise en place d’un système de surveillance de la pharmacovigilance et de la pharmaco-résistance ainsi que d’un contrôle qualité des diagnostics biologiques à l’échelle nationale.

Prévention de la maladie

Les stratégies de préventions sont axées sur :
– la lutte anti-vectorielle comprenant les campagnes d’aspersion intra-domiciliaire d’insecticide et la vulgarisation de l’utilisation des moustiquaires imprégnées d’insecticides ;
– le traitement préventif intermittent de toutes les femmes enceintes par l’association sulfadoxine- pyriméthamine ;
– la chimioprophylaxie de tous les sujets non-immuns venant des zones non-endémiques.

Surveillance épidémiologique

Un système d’alerte précoce et de riposte de toutes épidémies potentielles de paludisme est mis en place au niveau national reposant sur l’amélioration du système de surveillance épidémiologique basé sur l’analyse des données hebdomadaires de notification des cas ainsi que sur le suivi des indicateurs paludométriques, entomologiques et climatiques.

Mobilisation communautaire

La communauté, les autorités politico-administratives, traditionnelles et religieuses sont des acteurs incontournables pour la réussite de la PNLP. D’où le renforcement et la coordination des activités de communications sur le paludisme au sein de la communauté et des personnels de santé à travers les mass médias et la tenue de plaidoyer au niveau des décideurs du pays afin de s’assurer de leur plein engagement dans les activités de lutte contre le paludisme. L’approche communautaire sera basée sur l’extension des réseaux d’Agents Communautaires (AC) affiliés aux activités de prévention et de prise en charge communautaire du paludisme ainsi qu’au renforcement de leur capacité technique d’Information Education Communication (IEC).

Gestion des intrants pour la lutte contre le paludisme

 Quantification des besoins
Au niveau du Programme National de Lutte contre le Paludisme, la quantification des besoins en intrants est réalisée par un comité de travail regroupant les partenaires œuvrant dans l’approvisionnement pour estimer les besoins annuels. L’estimation des besoins est basée à partir des données du rapport périodique des activités, lequel retrace la gestion des stocks de chaque formation sanitaire et des sites communautaires. Il est impératif de disposer d’un stock de sécurité de trois à six mois. Ainsi, les besoins en ACT selon les tranches d’âge et les TDR sont déterminés selon la consommation moyenne mensuelle (CMM), la durée de rupture de stock et la quantité du stock disponible au cours du mois.
 Circuits d’approvisionnement des intrants pour la lutte contre le paludisme
Quant au circuit d’approvisionnement, le Ministère de la Santé Publique à Madagascar (MSanP) dispose d’une liste nationale de médicaments essentiels génériques incluant les intrants du Programme national de lutte contre le paludisme. Cette dernière est incorporée dans la gestion du système national d’approvisionnement du Ministère de la santé à travers le Programme d’Action pour l’Intégration des Intrants de Santé (PAIS). Par conséquent, ces intrants suivent le circuit habituel d’approvisionnement des intrants de santé par la Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques et consommables médicaux de Madagascar (SALAMA), avant d’arriver dans les centres de santé et dans la communauté.

Composantes de soutien

La mise en place d’un système de gestion du Programme National de Lutte contre le Paludisme à tous les niveaux décisionnels ainsi que d’un système de suivi évaluation à tous les échelons du programmes est un préalable pour l’atteinte des objectifs prédéfinis dans les délais requis. Le système de gestion assure la coordination, la planification, le suivi et la supervision des activités de lutte, définit les lignes directrices de la politique nationale, développe les partenariats nationaux et internationaux, renforce les capacités techniques des intervenants, et intègre les Nouvelles Technologies de l’Informations et de la Communication (NTIC) comme outils de gestion du programme.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

NTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: RAPPELS
I Définition
II Epidémiologie
II.1 Les agents pathogènes
II.2 Le vecteur du paludisme : l’anophèle femelle
II.3 Mode de transmission
II.4 Répartition géographique du paludisme à Madagascar
III. Symptomatologie
III.1 Paludisme simple
III.2 Paludisme grave
III.3 Différence entre paludisme simple et paludisme grave
IV. Méthodes de diagnostic du paludisme
IV.1 Diagnostic microscopique direct par frottis sanguin et goutte épaisse
Goutte épaisse
Frottis mince
IV.2 Test de diagnostic rapide (TDR)
V. Traitement du paludisme :
V.1 Les antipaludiques
V.2 Prise en charge d’un accès paludisme simple
V.3 Prise en charge d’un paludisme grave
VI. Politique Nationale de Lutte contre le paludisme à Madagascar
VI.1 Objectifs
VI.1.1 Objectifs généraux
VI.1.2 Objectifs spécifiques
VI.2 Stratégies
VI.2.1 Prise en charge diagnostique et thérapeutique
VI.2.2 Prévention de la maladie
VI.2.3 Surveillance épidémiologique
VI.2.4 Mobilisation communautaire
VI.2.5 Gestion des intrants pour la lutte contre le paludisme
Quantification des besoins
Circuits d’approvisionnement des intrants pour la lutte contre le paludisme
VI.3 Composantes de soutien
VI.4 Organigramme de la Direction Nationale de Lutte contre le Paludisme (PNLP)
DEUXIEME PARTIE: METHODES ET RESULTATS
I. METHODES
I.1 Cadre de l’étude
I.2 Type de l’étude
I.3 Durée de l’étude
I.4 Périodes d’étude
I.5 Population d’étude
I.5.1 Critères d’inclusion
I.5.2 Critères d’exclusion
I.6 Modes d’échantillonnages et tailles des échantillons
I.7 Variables étudiées
I.7.1 Connaissances des directives nationales de prise en charge des cas de paludisme simple
I.7.2 Attitudes des prescripteurs concernant les directives nationales de PEC du paludisme simple dans les cabinets médicaux privés
I.7.3 Etude de la disponibilité des intrants pour la prise en charge des cas de paludisme simple auprès des cabinets médicaux privés
I.7.4 Etude du niveau des connaissances des prescripteurs à propos des conseils à donner pour la prise des médicaments par voie orale à domicile
I.7.5 Classification des cabinets médicaux privés selon l’adhésion à la PNLP
I.8 Recueil des données
I.9 Saisie et traitement des données
I.10 Considérations éthiques et déontologiques
I.11 Limite de l’étude
II RESULTATS
II.1 Description des échantillons
II.2 Niveau de connaissance des prescripteurs concernant les directives nationales de prise en charge du paludisme simple dans les cabinets médicaux privés.
II.2.1 Connaissance du PNLP
II.2.2 Connaissance des directives nationales en matière de prise en charge des cas de paludisme simple dans les cabinets médicaux privés
II.2.2.1 Connaissances des étapes à suivre pour poser le diagnostic
II.2.2.2 Connaissance de l’antipaludique utilisé en première intention……
II.2.2.3 Connaissance de l’antipaludique de deuxième intention
II.2.2.4 Connaissance des conseils sur la prise des médicaments par voie orale à domicile
II.2.3 Synthèse du niveau des connaissances des prescripteurs concernant les directives nationales de prise en charge du paludisme simple dans les cabinets médicaux privés
II.3 Attitudes des prescripteurs concernant les directives nationales de PEC du paludisme simple dans les cabinets médicaux privés.
II.3.1 Intention de respecter la PNLP
II.3.2 Avis sur la pertinence de la PNLP
II.3.3 Acceptabilité de la PNLP
II.3.4 Avis sur la faisabilité de la PNLP
II.4 Disponibilité des antipaludiques et TDR dans les cabinets médicaux privés
II.4.1 Disponibilité des antipaludiques
II.4.2 Approvisionnement en ACT
II.4.3 Rupture de stock en ACT
II.4.4 Disponibilité des TDR
II.5 Classification des cabinets médicaux privés selon l’adhésion à la PNLP
TROISIEME PARTIE: DISCUSSION 
I. Méthodologie
II. Niveau de connaissance des professionnels de santé concernant les
directives nationales de prise en charge du paludisme simple dans les cabinets médicaux privés
II.1 Connaissance de la PNLP
II.2 Connaissances des directives nationales en matière de prise en charge des cas de paludisme simple dans les cabinets médicaux privés
III Attitudes des prescripteurs concernant les directives nationales de PEC du paludisme simple dans les cabinets médicaux privés.
IV. Disponibilité des antipaludiques et des TDR dans les cabinets médicaux privés
IV.1 Disponibilité des antipaludiques
IV.2 Disponibilité des TDR
V. Les problèmes soulevés par l’étude
VI. Solutions proposées :
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *