Valorisation en matières premières pour la chimie (valorisationchimique) Pyrolyse Hydrogénation

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Transestérification

Quand les réactifs (DMT et EG) sont en présence, le mélange est porté à une température variant entre 160 et 180°C, sous vide. L’addition d’un catalyseur (sel métallique) est nécessaire (cf. figure n°3). Lorsque le rapport [EG]/[DMT] (diméthyle téréphtalate) est compris entre 1,7 et 2, le catalyseur est désactivé pour éviter une augmentation de la vitesse de dégradation thermique du polymère. A la fin de la réaction, les excès en EG et en méthanol sont distillés.
L’étape de polycondensation se différencie de l’étape de transestérification par ses produits de réaction. La première étape est caractérisée par la formation de méthanol alors que la deuxième entraîne la formation d’éthylène glycol.

Polycondensation à l’état solide

La polycondensation à l’état solide permet d’augmenter la masse molaire en d’autres termes la viscosité du polymère sans qu’il ne soit soumis à de hautes températures, évitant, ainsi les réactions parasite de dégradation des chaînes.
Le polymère est porté à une température comprise entre la température de transition vitreuse et la température de fusion, permettant ainsi la mobilité des chaînes et la diffusion de monomères encore présents dans el matériau. La polycondensation à l’état solide se fait en présence d’un catalyseur métallique, souvent de même nature que la polycondensation à l’état fondu [9].
Il est également possible de favoriser la polycondensation du polymère par gonflement dans un solvant [16]. Celui-ci ne doit pas mener à la solubilisation totale du polymère. Le gonflement permet ainsi d’augmenter la surface spécifique des paillettes de PET et favorise le contact avec des zones réactives telles que les fins de chaînes acides carboxyliques.
L’utilisation d’un solvant permet d’obtenir de grandes masses, mais nécessite l’utilisation de hautes températures entre 200 et 240°C selon les solvants.

Réactions secondaires

La formation de produits secondaires dépend essentiellement des conditions expérimentales. Les plus importants en termes de quantité et d’influence sur les propriétés du polymère – ont été listés par J.M. BESNOIN et K.Y. CHOI [3].

Formation de di éthylène glycol (DEG) et de groupements éthers

Elle dépend de la température, du temps de réactionet du type de catalyseur. Le DEG se comporte comme un Co-monomère et a une forte influence sur les propriétés du PET et notamment sur sa transition vitreuse, sa température de cristallisation, sa stabilité thermique.

Fins de chaînes acides carboxyliques et alcools

Elles sont formées par rupture de chaîne, au cours de la dégradation hydrolytique et/ou thermique du polymère, ou bien encore de façon minoritaire par dégradation thermo oxydative.

Réaction avec les groupements vinyles

La coloration du PET peut résulter de la présence de groupements vinyles ou polyènes qui se forment par dégradation thermique des macromolécules.

Formation d’acétaldéhyde

La formation de groupements vinylesters par dégradation thermique entraînerait la libération d’acétaldéhyde par réaction avec l’eau ou les fins de chaînes hydroxyles. Dans le cas d’une application dans l’alimentaire, ce produit de dégradation migre facilement vers l’aliment et peut en dénaturer le goût et l’odeur. Heureusement, la grande volatilité de l’acétaldéhyde permet de l’extraire sous vide ou pendant le séchage.
Le processus de dégradation thermique entraînant laformation d’acétaldéhyde sera détaillée ultérieurement.

Formation d’eau

Cela se fait par simple estérification entre fin de chaines acides carboxyliques et hydroxyles. Puisque les catalyseurs de synthèse sont encore dans le matériau, ce type de réaction peut encore se produire, notamment quand la mobilité des chaînes est importante, c’est-à-dire lorsque le matériau est porté au-dessus de sa température de transition vitreuse.

Formation d’oligomères cycliques

La formation d’oligomères pose de réels problèmes orsl de la synthèse du PET. Ils sont produits par réaction entre les ponts esters et les groupements hydroxyles (cyclopolymérisation). Trois mécanismes différentspouvant expliquer la formation des ces oligomères au cours de la polycondensation ont été décrits [17-5] : cyclisation d’oligomères à courtes chaînes, dépolymérisation cylique à partir de fins de chaînes hydroxyles, réaction d’élimination et d’échange aléatoire entre groupement ester inter ou intramoléculaire (cf. figure n° : 4).ces réactions sont gouvernées par la diffusion et sont ralenties voire bloquées.

Vieillissement et dégradation

La mise en température du PET a pour conséquence de favoriser les réactions de dégradation et de condensation, responsables respectivement de la rupture des chaînes macromoléculaires ainsi que du réarrangement structural. Tandis que le vieillissement physique du matériau peut avoir lieu à l’état solide, la dégradation chimique du matériau a essentiellement lieu en température (dégradation thermique), en particulier pendant la mise en œuvre à l’état fo ndu du polymère : en présence d’eau dans le matériau ou d’oxygène dans l’extrudeuse, les molécules se dégradent très rapidement par dégradation hydrolytique et thermo-oxydative respectivement. Nous avons décrit ci-après les mécanismes caractéristiques de chacune de ces dégradations.

La dégradation hydrolytique

Elle se caractérise par un processus réversible (hydrolyse/polycondensation) de coupures de chaînes en présence d’eau, et par la formation de groupements terminaux acides carboxyliques et alcools (cf. figure n°6). Cette réaction est, pour des temps d’exposition longs, autocatalysée par la formation d’extrémités de chaînes acides carboxyliques.
La scission des chaînes macromoléculaires est localisée dans la phase amorphe du matériau, la phase cristalline étant insensible à l’hydrolyse jusqu’à un certain degré d’avancement de la dégradation [10].
L’hydrolyse des chaînes macromoléculaires peut êtresuivie par le dosage des fins de chaînes acides carboxyliques. Mais ces fonctions sont également créées par dégradation thermique. C’est pour cela que l’étude de la sensibilité hydrolytique du matériau est effectuée sur échantillon solide à 100°C et humidité contrôlée [18].
Le taux de dégradation obtenu par dégradation hydrolytique est bien plus important que celui mesuré pour les dégradations thermiques et oxydatives [10]
D’après A.LAUNAY et al. [7]
D’après la figure n°: 6 ci-dessus, il semble que, p our de faibles taux de conversion, la cinétique d’hydrolyse est d’ordre nul. Mais pour de forts taux de conversion, la masse molaire tend vers une valeur asymptotique. Puisque cette valeur de masse viscosimétrique est très proche de la masse molaire moyenne en poids Mw, il peut être considéré que la scission de chaîne ayant lieu au cours de l’hydrolyse est statistique.
Au cours de cette dégradation, le matériau initialement amorphe peut cristalliser : c’est la chimicristallisation [2]. Celle-ci se produit lorsque le matériau est exposé à un fort taux d’humidité et à une température supérieure à 80°C.
La perte de masse liée à l’hydrolyse du matériau est moins rapide que sa cristallisation [2], ce qui prouve que les chaînesamorphes sont hydrolysées en premier ; la dégradation de la phase cristalline n’étant possible que pour des temps de dégradation longs, lorsqu’une grande majorité des chaînes amorphes ont été touchées.
L’effet d’un recuit du polymère au dessus de sa température de transition vitreuse a également été étudié par N.S. ALLENet al. [8] dans le cas de la dégradation de films de PET amorphes. La présence d’eau a un effet de plastification permettant une plus grande mobilité moléculaire. Ainsi, une augmentation importante de la cristallinité a pu être observée dès les premières coupures de chaînes, au début du processus de dégradation.
L’hydrolyse constitue donc un danger réel pour le matériau, car la présence d’un faible taux d’humidité a des conséquences catastrophiques sur ses propriétés. Les conditions de mise en œuvre et/ou de stockage d u PET sont donc importantes et nécessitent des précautions en termes de température et de taux d’humidité.
Une étude de séchage suivie par des analyses Karl-Fischer (détermination de la quantité d’eau présente dans le matériau) et rhéologique (détermination de la viscosité du matériau à l’état fondu) peut permettre d’évaluer l’impact du taux d’humidité, même très faible, sur l’évolution de la masse molaire du matériau au cours de sa mise en œuvre.

La dégradation thermique

Ce type de dégradation est très souvent étudié sousvide ou en atmosphère neutre mais jamais en milieu oxygéné. Il s’agit d’une scission de la chaîne macromoléculaire au niveau des fonctions esters, qui a pour conséquence de former des fins de chaînes vinylesters et acides carboxyliques. Cette dégradation est accentuée par la présence de catalyseurs métalliques utilisés lors de la transestérification ou de la polycondensation. En ce qui concerne la nature de cette rupture de chaînes, certains auteurs pensent qu’il s’agit d’une rupture homolytique [13], tandis que d’autres pensent qu’il s’agit d’une rupture ionique [12].
La dernière hypothèse semble la plus vraisemblable, puisque la présence de radicaux libres au cours de cette réaction n’a pas été démontrée [6]. La dégradation thermique est caractérisée par la formation d’un intermédiaire cyclique (réaction catalysée par la présence d’ions métalliques dans el matériau), puis par un transfert d’hydrogène provoquant la scission de la chaîne (cf.figure n°8).
A partir d’un certain degré de dégradation, les groupements vinylesters obtenus par scission de chaîne forment des aldéhydes (acétaldéhyde et formaldéhyde), qui sont difficilement quantifiables par dosage car piégés dans la matrice semi-cristalline insoluble : le dosage de ces substances se faisant par gonflement et non dissolution du polymère dans un solvant, les molécules d’aldéhydes peuvent être piégées dans la zone cristalline du matériau qui gonfle peu en présence de solvants [3].
Ces aldéhydes sont les principaux produits de dégradation du polymère à la température de mise en œuvre (250-300°C) [1].
La dégradation thermique est également responsable de la formation d’oligomères cycliques pour de hautes températures.Ainsi, I.C. MCNEIL et al. [13] ont montré à partir de mesures isothermes et anisothermes que la formation de produits de dégradation dépend fortement de la température considérée et que les oligomères cycliques formés à de relativement hautes températures sont issus de réactions de transfert de type acidolyse et alcoolyse. La réaction peut être décrite de la façon suivante [11] : attaque par une fin de chaîne hydroxyle ou acide d’une première molécule au niveau du groupement ester d’une seconde molécule: échange ester ester entre les deux molécules. La formation d’oligomères cycliques est une conséquence de ces décompositions comme cela est présenté sur la figure n°8. Il existe un certain nombre d’études sur le sujet et tout autant de mécanismes de décomposition du PET.
Le polystyrène est un thermoplastique dur bon marché, et probablement seul le polyéthylène est plus commun que lui dans la vie quotidienne. Le polystyrène est utilisé dans plusieurs objets par exemple ; le coffrage des ordinateurs, les maquettes de voitures ou d’avions sont en polystyrène, et il sert aussi sous forme expansée à l’emballage et à l’isolation. Les verres en plastique transparent sont en polystyrène, et aussi de nombreuses parties moulées de l’intérieur des voitures, et les boutons d’autoradio. Le polystyrène est aussi utilisé pour les jouets, et les boitiers d’objets tels que sèche –cheveux, ordinateur et appareils électroménagers.
Le polystyrène est un polymère vinylique. Structurellement, c’est une longue chaîne, d’hydrocarbonées, avec un groupe phényle attaché sur certains atomes de carbone.
Le polystyrène est aussi un des composants d’un caoutchouc dur appelé poly (styrène-butadiène-styrène) ou SBS. Le SBS est un hermoplastique élastomère. Il existe trois types de polystyrène :
– Le polystyrène « cristal » ainsi appelé en raison de son aspect transparent.
– Le polystyrène « choc » caractérisé par l’ajout de plastifiant ou de caoutchouc (butadiène).
– Le polystyrène expansé ou PSE
Ce matériau est surtout connu du grand public sous sa forme expansée (parfois appelée « frigo lite ») qui sert à emballe r les appareilles électroménagers ou hi-fi sensibles au choc. Cependant, il peut aussi se présenter sous forme d’un plastique transparent et dur utilisé pour les bites et boitiers ; le polystyrène cristal.

=SITUATION DE LA GESTION DES DECHETS AUX COMORES

Le problème des déchets et par voie de conséquence,la gestion des déchets aux Comores est une bombe de retardement et commence à peine à être perçu comme tel.
La plupart des micros entreprises génératrices de déchets n’ont pas encore mis en place une véritable politique de contrôle etde management des sous produits de leur fabrication.
Une seule décharge publique existe actuellement en grande Comores. Deux nouveaux sites de décharges sont actuellement en étude (une situé au nord de l’île à mistamiouli, et une autre à itsandra hamanvou), à quelques km de la capitale. A noter que les déchets qui sont envoyés au site de décharge ne dépassent pas le 10% de la production.
Quelques expériences timides, de collecte et ramassage des ordures ménagers de la capitale vers la décharge se font ; soit par l’administration publique, soit sur financement extérieure de l’Union Européenne.
Dans la ville de Moroni, le volume de déchets ménagers produits par jour représente 32 tonnes à raison de 45m3 sur un total de plus de 8838 ménage estimé en 2005. La ville est constituée en 10 localités ou quartiers de sorte que pour mieux préserver l’environnement de la ville, 14 points de collectes sont installés pour la collecte avant l’acheminement des déchets vers le site de décharge destiné à leur traitement.
Tout ce qui est visible mais difficile à transporter est stocké sur place (carcasse de voiture, ferraille, pneumatique etc.…).
Tout ce qui est liquide est déversé et ou enfoui au sol sans aucune précaution ni contrôle (huile et eaux usées…).
Les plastiques et autres papiers et emballages, les petites quantités transportées vers la décharge sont brûlées. Par contre la plus grande quantité restante est abandonnée et véhiculée par le vent..
Par conséquent, la population court des grands risques dus à la pollution de l’environnement par ces déchets. A savoir :
La prolifération des vermines qui accroît le risque de maladies tropicales comme la peste, la gale, le choléra ……
L’augmentation du paludisme en raison des eaux qui stagnent dans les boites de conserves et les emballages en plastiques…
Les infections cutanées multiples en raison du développement grandiose des bactéries qui se multiplient à vitesse grand V
La contamination des eaux souterraines déjà peu existantes dans certaines régions
La mort des poissons des récifs proches de l’île àcause du déversement des déchets.
A partir d’une étude effectuée par le gouvernementde l’Union des Comores représentée par le Ministère du Développement Rural, de la Pêche, de l’Artisanat et l’Environnement (MDRPAE).

RAPPEL SUR LE RECYCLAGE DE DECHETS 

INTRODUCTION ET DEFINITION DE RECYCLAGE

Le recyclage est un procédé de traitement des déchets industriels et ménagers qui permet de réintroduire, dans le cycle de production d’un produit, des matériaux qui le compose.
Le recyclage a deux conséquences majeures : la réduction du volume de déchets et la préservation des ressources naturelles. C’est une des activités économiques de la société de consommation. Certainsprocédés sont simples et bon marché. Mais d’autres sont complexes, coûteux et peu rentables.

HISTOIRE DU RECYCLAGE

L’histoire de recyclage a commencé depuis l’époque du Bronze. A cette époque, les objets usagés en métal sont fondus afinde récupérer leur métal pour la fabrication de nouveaux objets. Dans toutes les civilisations, l’art et la manière de « faire un neuf avec du vieux » existent. Par exemp le, les vieux papiers sont récupérés pour faire de la pâte à papier. La situation change avec le développement progressif puis massif de l’industrialisation et de la consommation. La gestion de matières premières et des déchets devient peu à peu de plus en plus difficile, les unes devenant trop rares et les autres trop envahissants.
En 1970, le recyclage est mis en avant par les partisans de la défense de l’environnement qui lancent le logo actuel (ruban de Möbius) pour marquer les produits recyclables et les produits issus de matériaux recyclés.
La situation évolue progressivement. Les consommateurs se sensibilisent à l’étiquette « produit recyclable » qui est reconnai ssable grâce au logo ; le procédé se généralise dans l’industrie qui s’organise pour le favoriser. La collecte des déchets ménagers par tri sélectif se développe afin de faciliter l’industrialisation du recyclage. Les gouvernements légifèrent pour encadrer ces diverses activités.
Le recyclage suit cependant l’organisation mondiale de la consommation. La situation dans les pays développés n’est pas celle des pays en développement. Dans ces derniers, en l’absence de meilleur système, c’est la récupération informelle qui permet de recycler une partie des déchets.

La chaîne du recyclage

En général, le recyclage ou valorisation des déchets suit les trois étapes suivantes.
La collecte
La transformation
La commercialisation et consommation
Les opérations de recyclage des déchets commencent par la collecte des déchets. Les déchets non recyclables sont incinérés ou enfouis en centre d’enfouissement technique. Par contre, ceux destinés au recyclage ne sont destinés ni à l’enfouissement ni à l’incinération mais à la transformation. La collecte s’organise en conséquence. La collecte sélective, dite aussi séparative et souvent appelée à tort tri sélectif est la forme la plus répandue pour les déchets à recycler.
Le principe de collecte sélective est le suivant : celui qui crée le déchet le trie lui –même. A la suite de la collecte, les déchets, triés ou non, sont envoyés dans un centre de tri où différents opérations permettent de les trier de manière à optimiser les opérations de transformation.
Le tri manuel est une de ces opérations. A ce stade, le verre brisé et les métaux sont systématiquement écartés pour éviter les risques de blessures.

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Table des matières

INTRODUCTION
CHAPITRE I. GENERALITES SUR LES MATIERES PLASTIQUES (le polystyrène, le polyéthylène téréphtalate et le polychlorure de vinyle)
I.1. HISTORIQUE
I.2. CARACTERISTIQUES ET PROPRITES DES MATIERES PLASTIQUES (polyéthylène téréphtalate, le polystyrène et le polychlorure de vinyle)
I.3. DIFFERENTS TYPES DE PLASTIQUES
I.3.1. Les thermoplastiques
a- Définition et caractéristiques
b- Famille des thermoplastiques
c- Définition et caractéristiques
d- Familles des thermodurcissables
I.3.2. Les élastomères ou caoutchoucs
CHAPITRE II. LE POLYETHYLENE TEREPHTALATE
II.1. Synthèse de polyéthylène téréphtalate
II.1.1. Réaction d’estérification
II.1.2. Transestérification
II.1.3. Polycondensation à l’état solide
II.1.4. Réactions secondaires
a- Formation de di éthylène glycol (DEG) et de groupements éthers
b- Fins de chaînes acides carboxyliques et alcools
c- Réaction avec les groupements vinyles
d- Formation d’acétaldéhyde
e- Formation d’eau
f- Formation d’oligomères cycliques
II.2. Vieillissement et dégradation
II.2.1. La dégradation hydrolytique
II.2.2. La dégradation thermique
CHAPITRE III. LE POLYSTYRENE [27]
III.1. Synthèse de polystyrène [22]
III.1.1. REACTION DE FORMATION DE POLYSTYRENE
1. Formation du centre actif
a-Amorceur thermique
b- Amorceur redox
c- Amorceurs de type radiations ionisantes
d- Conditions d’utilisation de l’amorceur
2. Cinétique d’une polymérisation radicalaire
a- Amorçage
b- Propagation
c- Terminaison
CHAPITRE IV. SITUATION DE LA GESTION DES DECHETS AUX COMORES
PARTIE II : ETUDES EXPERIMENTALES DE LA VALORISATION DES DECHETS PLASTIQUES 
CHAPITRE I. RAPPEL SUR LE RECYCLAGE DE DECHETS 
I.1. INTRODUCTION ET DEFINITION DE RECYCLAGE
I.2. HISTOIRE DU RECYCLAGE
I.3. La chaîne du recyclage
Etape 1 : collecte et tri de déchets
Etape 2 : transformation
Etape 3 : commercialisation et consommation
CHAPITRE II. QUELQUES DEFINTIONS CONCERNANT LA VALORISATION DES DECHETS PLASTIQUES 
II.1. Définition de déchets plastiques
II.1.1. Déchets industriels
II.1.2. Déchets de distribution
II.1.3. Déchets de consommateurs finaux
II.2. Définition de valorisation de déchet plastique
II.2.1. Recyclage mécanique
II.2.2. Valorisation énergétique
II.2.3. Valorisation chimique
II.2.4. Elimination
II.3. METHODES DE VALORISTION DES DECHETS PLASTIQUES
II.3.1. Recyclage physico-mécanique de déchets plastique
• Cas des thermoplastiques homogènes
Génie chimique
• Cas des thermodurcissables
II.3.2. Valorisation en matières premières pour la chimie (valorisationchimique) Pyrolyse
Hydrogénation
Gazéification
Décomposition chimique proprement dite
Valorisation énergétique
Biodégradation et photodégadation
II.3.3. JUSTIFICATION DU CHOIX DE DECHETS PLASTIQUES A VALORISER
a- Limitation au recyclage des déchets plastiques
b- Code d’identification des résines thermoplastiques [20]
c- Identification des bouteilles et verres en plastiques dans les marchés
d- Conclusion
CHAPITRE III. ETUDES EXPERIMENTALES DE VALORISATION DES DECHETS PLASTIQUES 
III.1. ETUDES EXPERIMENTALES DE VALORISATION DES DECHETS DE BOUTEILLE EN PET
III.1.1. CARACTERISTIQUES DES MATIERES PREMIERES
a- Caractéristiques de bouteilles plastiques en PET
b- Caractéristiques de l’éthylène glycol
c- Caractéristique de soude caustique utilisée
III.1.2. Préparation d’une solution d’acide chlorhydrique à 10%
III.2. PRETRAITEMENT DES DECHETS
III.2.1. Lavage
III.2.2. Séchage
III.2.3. broyage
III.3. MISE EN ŒUVRE DES DECHETS DE BOUTEILLE PLASTIQUE EN PET
III.3.1. Méthode utilisée pour la valorisation des déchets de bouteilles plastique en PET.
A. Dépolymérisation
• REACTION:
B. obtention de l’acide téréphtalique (déplacement du sel par l’acide chlorhydrique (HCl)
III.3.2. Expression des résultats
a- ETUDE DE LINFFLUENCE DE LA TEMPERATURE SUR LA MASSE DE L’ACIDE TEREPHTALIQUE OBTENUE
Génie chimique
Interprétation
b- ETUDE DE L’INFFLUENCE DU VOLUME DE L’ETHYLENE GLYCOL
Interprétation
III.4. Calcul du rendement
Interprétation
III.4.1. CARACTERISTIQUE DE L’ACIDE OBTENU
III.4.1.1.Une analyse par infra rouge (IR) a été effectuée pour caractériser l’acide obtenu
– Spectroscopie infrarouge(IR)
a- Principe de(IR)
Interprétation
III.4.1.2.Caractéristiques organoleptiques
III.4.2. Conclusion
III.5. ETUDES EXPERIMENTALES DE LA VALORISATION DES DECHETS PLASTIQUES EN (PS, PET, PVC, PE, PP)
III.5.1. Matière première utilisée :
III.5.2. METHODE DE VALORISATION UTILISEE
III.5.3. Etude du rendement de la pyrolyse selon la nature des déchets plastiques
III.5.4. Détermination du rendement de la pyrolyse
III.5.5. Détermination de la température du début et de la fin de la pyrolyse
III.5.5.1.Observation et interprétation des résultats de pyrolyse
III.5.6. ETUDE DE L’INFUANCE DE LA TEMPERATURE DE LA PYROLYSE VIS-A-VIS DE LA QUANTITE D’HUILE OBTENU
III.5.6.1.CARACTERISATION D’HUILEE BRUT ET DES COUPES DE DISTILLATION
III.5.6.2.CARACTERISATION DES DE L’HUILE BRUT ET LES COUPES DE DISTILLATION
III.5.7. Traitement du produit de pyrolyse obtenu au kaolin
III.5.7.1.Préparation du kaolin
III.5.8. Caractéristiques d’huile pyrolytique du styrène obtenu
III.6. Conclusion
Partie III : ETUDES ECONOMIQUES ET ENVIRONNEMENTALES
CHAPITRE I. EVALUATION FINANCIERE D’UNE UNITE DE PRODUCTION
I.1. LES OUTILS D’EVALUATION
I.1.1. La Valeur Actuelle Nette (VAN)
Génie chimique
I.1.2. Taux de Rentabilité Interne(TRI)
I.1.3. La Durée de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)
I.1.4. L’indice de profitabilité (IP)
I.2. LES CRITERES D’EVALUATION
I.3. CALCUL DES DIFFERENTS COÛTS
I.3.1. Coût d’achat des matières premières
I.3.2. Coûts de transport de l’unité de production
I.3.3. Organisation du travail
I.3.4. Coût des investissements
I.3.5. Les investissements fixes ou immobilisations
CHAPITRE II. FINANCEMENT DU PROJET
II.1. FONDS DE ROULEMENT INITIAL
II.1.1. Plan de financement
II.1.2. Amortissement de l’emprunt
II.2. LE COPMTE DE PRODUIT
II.3. ETUDE DE RENTABILITE DU PROJET
II.3.1. Détermination du cash-flow (MBA)
II.3.2. Valeur actuelle nette ou VAN
II.3.3. Taux de rentabilité Interne (TRI)
II.3.4. Délai de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)
II.3.5. Indice de Profitabilité (IP)
CHAPITRE III. ANALYSE DE L’ETAT INITIAL ET DE SON ENVIRONNEMENT
III.1. Cadre géographique et économique [20]
III.1.1. Présentation générale sur les Comores [15]
III.1.2. Présentation régionale
III.1.3. Présentation locale
III.1.4. Economie générale de la région de Bambao
III.1.4.1.Activité économique
III.1.4.2.Les types d’occupation du sol
III.2. Caractéristiques physiques du site et de ses environs [15][20]
III.2.1. Topographie
III.2.2. Climatologie
III.2.3. Pédologie, flore et faune
Génie chimique
III.2.4. Hydrologie
III.3. Milieu humain
III.3.1. Aspect socio-économique
III.3.1.1.L’enseignement
♣ Situation
III.3.1.2.La santé
♣ Les centres de santé
III.3.1.3.L’habitat
♣ Type d’habitat
♣ Structure sanitaire
III.3.1.4 Les sports et loisirs
III.3.1.5 Les religions
III.3.1.6 Les us et coutumes
III.4. Paysage
III.4.1. Typologie du paysage
III.4.2. Infrastructures existante
♣ Les marchés et industries
♣ Les infrastructures routières
♣ L’énergie électrique
♣ La communication
III.4.3. Valeur du paysage
CHAPITRE IV. ANALYSE DES EFFETS DU PROJET SUR L’ENVIRONNEMENT
IV.1. Identification des impacts environnementaux
IV.1.1. Impacts sur l’eau
IV.1.2. Impacts sur le sol
IV.1.3. Impacts sur l’atmosphère
IV.1.4. Impacts écologiques
IV.1.5. Impacts sur l’Homme
IV.1.5.1 Les nuisances
IV.1.5.2 La sécurité des travailleurs
IV.1.5.3 La santé
IV.1.6. Impact socio-économique du projet
IV.1.7. Impact sur les équipements publics et l’urbanisme
Génie chimique
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
WEBGRAPHIES

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