ANALYSE DE CAPITAL HUMAIN ET SA RELATION AVEC LE DEVELOPPEMENT DE MADAGASCAR

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Les indicateurs du développement

L’analyse néoclassique associait la croissance et le développement ainsi le développement peut être mesuré à partir de la richesse nationale, on parle du Product Intérieur Brut (PIB) ou du Produit National Brut (PNB) par tête. Pourtant, à partir de ces indicateurs, l’analyse s’orientera sur une étude qualitative et met de côté la notion de qualité. Ce pendant, d’après la définition citée précédemment le développement ne peut pas inclure également le bien être de la population. Cet indicateur est aussi réducteur étant donné que son calcul n’intègre pas la richesse monétaire d’un pays et son calcul est remis en cause par la parité du pouvoir d’achat de chaque pays. De plus, cet indicateur peut aussi être un facteur de dépendance des pays sous développés vis-à-vis des pays développés car son niveau détermine les besoins de ses premiers d’aides au développement et peut les donner une idée de vouloir rester pauvres afin de pouvoir bénéficier de ces aides.
Ainsi, pour remédier à ces imperfections du PIB, tout ne pas l’en exclure totalement, de nouveaux indicateurs sont développés par le PNUD à partir des années 1990 comme l’indice synthétique du développement humain, elle repose sur une idéologie qui considère le développement comme à la fois humain et soutenable. Humain, car désormais il y aura une remise en cause de la conception du développement fondé sur un calcul quantitatif et soutenable car il repose sur la préservation de l’environnement. Pour apprécier cette double dimension, le PNUD a introduit d’autres variables dans le calcul de l’IDH. Ces variables sont le revenu, l’espérance de vie, le niveau d’alphabétisation des adultes ainsi que le nombre moyen d’année d’étude en différenciant le primaire, le secondaire et le niveau supérieur.
Selon Amartias SEN, le niveau de l’IDH d’un pays reflète sa capacité à être et à faire ainsi sa capacité à convertir les moyens en résultat5.
Toutefois, on peut indiquer aussi le niveau de développement d’un pays par son taux de croissance tout en mesurant le niveau du bien être de la population.

Le capital humain

« Dans l’histoire de la pensée économique, ce concept est apparu relativement tôt, il a été utilisé dès l’origine pour rendre compte à la fois de la distribution des revenus entre individus et, dans une perspective plus globale, de la richesse des nations… » 6.
Dès la fin des années 1950, Theodore W. Schulz écrit un article majeur qui va influencer toutes les recherches postérieures sur le capital humain. : « Investment in man : an Economist’s view ». Il ouvre la route à d’autres économistes comme Gary S.Becker et à Jacob Mincer. Pour ce précurseur, l’éducation est le pivot de la formation du capital humain – par éducation, il faut comprendre la formation initiale (scolaire et universitaire), la formation continue et les apprentissages informels. Aujourd’hui, le lien entre croissance économique et système d’éducation bien établi est accepté.

Définition du capital humain

La notion de capital humain désigne l’ensemble des dispositions durables dont l’acquisition et la possession rendent les personnes plus productives dans leurs activités. Ces dispositions s’entendent comme des capacités ou des aptitudes, dont une partie est innée et l’autre acquise au prix d’investissement humains qui mobilisent volontairement des dépenses et des efforts personnels (savoir, savoir-faire, expériences, motivation, santé,…)7. Cette notion permet notamment de remplir des lacunes dans les théories de la croissance économique, de la répartition des revenus ou du commerce international. Ainsi, l’éducation scolaire et universitaire est apparue être une forme d’investissement.
Selon la définition de l’OCDE, le capital humain recouvre les connaissances, les qualifications, les compétences et les autres qualités d’un individu qui favorisent le bien-être personnel, social et économique.
Adam Smith, le père de la science économique qui a vécu à l’époque des Lumières, écrit que le capital humain d’une nation est constitué des talents acquis et utiles des membres ou habitants de la société. Grace à lui, la plupart des économistes reconnaissent que les compétences de la main d’œuvre d’un pays représentent un de ses atouts concurrentiels les plus importants. Presque deux siècles après sa disparition, le concept de capital humain refait surface et se diffuse sous l’impulsion d’économistes américains.
Amartya Sen, il s’agit là de la combinaison de ce qu’une personne est apte à faire (capacité d’agir) et à être (les différents types de fonctionnements qu’elle est en mesure de réaliser). L’approche des capacités se pose avant tout en termes d’avantages individuels. Car ces avantages sont évalués par la capacité à accomplir une variété de fonctionnements jugés importants au cours d’une vie.
Theodore W. Schulz s’efforce d’affiner la mesure du capital humain en se concentrant sur la dimension qualitative du facteur travail, à savoir « l’habilité, le savoir et toutes les capacités permettant d’améliorer la productivité du travail humain». Il met l’accent sur le fait que l’éducation développe l’aptitude à prendre de meilleures décisions, par un meilleur usage de l’information disponible, et, partant, à s’adapter au changement8.
Selon l’économiste américain Gary Becker, Le capital humain est l’ensemble des capacités productives qu’un individu acquiert par accumulation de connaissances générales ou spécifiques, de savoir-faire, etc. Ainsi, c’est un stock de connaissances et d’expériences, accumulé par son détenteur tout au long de sa vie par des opérations réalisées, considérées comme des investissements par un agent économique dans le but d’accroitre son potentiel productif, sa productivité future et donc sa rémunération.
Pour lui, le capital humain est un actif, un patrimoine, un stock susceptible de procurer revenu9  Tout comme la technologie, le capital humain est du savoir. A la différence de celle-ci, il est rival et exclusif, puisque incorporé aux individus. La compétence acquise par chacun lui appartient en propre, il peut en restreindre assez largement l’usage et donc la vendre. 10.

Mesures du capital humain et comparaisons internationales :

Les économistes trouvent généralement un lien étroit entre le stock de capital humain et le niveau d’activité économique. La difficulté se situe dans l’évaluation de se stock et dans la validité des comparaisons internationales. La plupart des analyses empiriques mesure la notion de capital humain tout d’abord à l’aide d’un éclatement de la population par niveau d’instruction. Les comparaisons internationales consistent donc à comparer les proportions d’agents ayant atteint un niveau d’éducation donné. Le problème est que, résumer le stock de capital à un indicateur de diplôme est très réducteur. Cela néglige toutes les autres formes d’apprentissage et l’existence des aptitudes des individus, sans parler des différences qualitatives des diplômes, liées aux différences de programmes des établissements scolaires.
Une deuxième approche qui est l’approche alternative consiste à fonder la mesure du capital humain sur le montant des rémunérations auxquelles ce capital humain donne lieu. Cette approche s’avère toute aussi difficile pour deux raisons essentielles :
Le salaire instantané des individus ne reflète pas clairement la productivité marginale des travailleurs, ceci pour des raisons multiples : par exemple, le salaire fixe ne représente pas la productivité d’un salarié car quelque soit le travail qu’il a fait, le salaire reste le même.
Cette productivité marginale est un concept « relatif » lié aux conditions économiques tel que la quantité des autres facteurs utilisés ainsi que la substitution entre les facteurs.
Enfin, une autre tentative d’évaluation plus précise consiste à soumettre des individus à des tests de connaissances standardisés. Si cette approche ne permet pas de mesurer réellement les stocks de capital humain de l’individu, elle est supposée permettre des comparaisons interindividuelles ou inter régionales.
En fait, le capital humain se résume par l’ensemble des compétences, des expériences et des savoirs faire qui peuvent s’acquérir par l’intermédiaire de l’éducation, et des formations et qui doivent produire des bénéfices. Il se caractérise surtout par son indissociabilité de son détenteur et se mesure par le montant des rémunérations auxquelles il donne lieu.

Le capital humain et la croissance économique

Depuis la fin des années 1980 et le début des années 1990, les théories de la croissance ont connue des renouveaux. Et c’est depuis que la théorie de la croissance endogène est née. Elle a pour objet d’expliquer la croissance économique à partir de processus et de décisions microéconomiques. Elle est apparue en réponse aux modèles de croissance exogène, comme le modèle de Roy Forbes Harrod, un des premiers modèles de croissance Keynesiens qui a été formulé en 1948 dans Toward a dynamic economics, et celui de Robert M. Solow, paru dans Une contribution à la théorie de la croissance économique en 195611. Ces modèles fondaient la croissance économique sur la démographie et le progrès technique, mais n’expliquait pas l’origine de ce progrès, ces deux facteurs étant exogènes ou considérés comme extérieur à la sphère économique. Contrairement aux modèles de croissance exogène, ces nouvelles théories avancent que la productivité marginale du capital n’est pas décroissante mais constante.
Ce sujet est devenu un domaine d’étude majeur des sciences économiques.
Il existe trois principaux modèles de croissance endogène, celui de Robert Barro fondé sur le capital public, celui de Paul Romer qui est quant à lui centré sur le capital technologique et enfin, celui de Robert Lucas se focalisant sur le capital humain. Les principales préoccupations de ces théories se trouvent dans l’endogénéisation du progrès technique, pour eux le progrès technique qui est la source de la croissance économique provient de l’investissement dans ces facteurs, en effet, pour eux, le progrès trchnique est à la fois une cause mais aussi une conséquence de la croissance économique12.
Pour J.A Schumpter, dans le cadre de son analyse, il affirme que le progrès technique est un phénomène économique endogène, du fait que la course au sur-profit entraine une course au progrès technique et qui explique à son tour la croissance économique.

Les théories du capital humain

Comme pour de nombreuses idées fondamentales, il est difficile d’attribuer la notion de capital humain à un seul auteur. Comme on a vu précédemment, les théories exogènes de la croissance n’accordaient pas une grande importance à l’impact du niveau du capital humain sur la croissance économique. Mais avec les nouvelles théories, on s’accorde de plus en plus sur le rôle crucial que les individus jouent dans la croissance économique en raison de leurs talents, de leurs connaissances et de leurs compétences. C’est ainsi qu’est né les théories du capital humain. Les origines de ces théories remontent aux années 60. Theodore W. Schultz puis Gary S. Becker, deux économistes de l’école de Chicago, tous deux prix Nobel dans leur discipline, proposent leurs analyses théoriques et empiriques des liens entre l’investissement en capital humain et la rémunération. L’idée centrale est que lorsqu’un individu décide de suivre une formation au lieu de prendre un travail, il raisonne comme un investisseur. Deux choix s’imposent alors à cet individu, dans le processus de formation du capital humain, choix entre le présent et l’avenir; choix en faveur des formes d’investissement à rentabilité plus ou moins élevée13.

La théorie de Schultz

L’économiste américain Theodore Schultz est cependant l’un des premiers à l’avoir exposée. Dans un article publié en 1961, il observe que les économises admettent depuis longtemps la part importante qui revient aux individus dans la richesse des nations. Nul ne le contesterait qu’après tout, les économistes ont toujours considéré le travail comme un des facteurs de la création de richesse économique. Mais ce qu’ils sont moins disposés à reconnaître, poursuit Schultz, c’est que les individus investissent consciemment dans leur personne pour améliorer leurs rendements économiques propres. Si quelqu’un étudie la médecine, ce n’est pas seulement dans le but de soigner les gens, c’est aussi parce que les médecins gagnent plus que les balayeurs; et si un manager se forme à un nouveau système d’inventaire pour mettre à jour ses connaissances professionnelles, c’est également dans l’idée d’être promu et d’obtenir une augmentation de salaire. Ces exemples ne sont pas de Schultz, mais l’idée qui les sous-tend traduit bien sa pensée : l’investissement que les individus consacrent à leur personne, le plus souvent en améliorant leur niveau d’éducation, leur procure des bénéfices réels en matière de revenus et de bien-être personnels. Selon Schultz, il existe un lien entre la qualité du capital humain (niveaux d’éducation et de santé), et la croissance économique.
Pour résumer, selon Schultz, la croissance repose sur l’existence d’une population active ayant un bon niveau d’éducation tout en étant en bonne santé14.

La théorie de Gary Becker

Gary S.Becker développe sa théorie du capital humain dans la première édition de son ouvrage de référence publié en 1964, intitulé « Human Capital : A Theoretical and Empirical Analysis, with Special Reference to Education ».
La théorie de Gary Becker est considérée comme une théorie du renouveau de la microéconomie néoclassique, étant que c’est une théorie qui vise à élargir le domaine et les objets d’étude de cette dernière. L’objectif de cette théorie est d’appliquer l’analyse de l’entreprise aux choix de l’individu. Comme l’entreprise, l’individu procède aussi à des investissements dans le but de procréer des profits. Pour lui, l’investissement comme le rendement peut prendre des formes monétaires mais peut aussi ne pas l’être. L’investissement peut se formuler en achat d’éducation ou achat de bien, mais peut aussi se sentir comme une perte de temps par exemple. Concernant le rendement, il peut se montrer par l’augmentation de revenu ou par des gains de temps ou d’utilité. Les dépenses en éducation sont ainsi comprises des investissements en temps et en argent, qu’il faut rentabiliser. L’objectif de cet investissement est essentiellement de pouvoir espérer un salaire plus important. L’individu rationnel cherche à optimiser ses dépenses d’éducation et à égaliser leur cout marginal avec leur productivité marginale. Cette théorie permet d’expliquer les différences de salaire et une certaine forme de chômage. On fait référence ici au chômage de prospection dû au laps de temps durant lequel certains individus doivent rester au chômage afin de trouver un emploi dont le salaire permette de rentabiliser leur investissement en éducation. On peut aussi comprendre pourquoi certains individus poursuivent plus longtemps leurs études par rapport aux autres.
Cette théorie est aussi utilisée dans le cadre de l’étude de la consommation. La demande de biens de consommation peut être assimilée à la demande de biens de productions de l’entreprise. L’output sera la satisfaction des consommateurs et les inputs seront le temps consacré à la production de la satisfaction et le prix des biens y afférents15.

Les impacts du capital humain dans la croissance économique

D’ après des études faites par plusieurs auteurs, l’investissement en capital humain présente d’importants avantages dans la croissance économique, qui signifie selon Kindleberger « plus de production.»16
En effet un pays qui alloue le plus de crédit dans l’éducation et dans la santé serait le pays qui aura un niveau plus élevé de sa croissance économique. Il est à noter que, la relation entre capital humain et croissance ne s’explique pas par une simple relation de cause mais repose plutôt sur une relation de cause à effet. Etant donné qu’un niveau élevé du capital humain permet un accroissement de la productivité par la naissance des emplois plus complexe et, simultanément, l’existence de ces derniers va inciter les individus à poursuivre leurs études. Les heures ainsi passées à étudier sans être rémunéré se traduiront finalement par un emploi qui récompense ces efforts.

Le rôle de l’éducation dans la croissance économique

Le rôle du capital humain dans la croissance économique est cependant important depuis le XIXe siècle et à l’essor de l’enseignement de masse. Comme le cas des Etats-Unis et de l’Allemagne.Ce sont les pays qui ont des niveaux d’éducation élevés tendent à s’enrichir et peuvent ainsi dépenser davantage pour accroître l’éducation. L’existence d’une main-d’œuvre instruite favorise la croissance économique, de la même façon son absence constitue un goulet d’étranglement. Selon Paul Romer (1990), le niveau d’éducation engendre la capacité d’un individu d’accéder à de divers découvertes technologiques, qui vont à leurs tour accroitre la productivité d’un pays ainsi sa croissance économique, ceci s’explique par l’effet d’imitation ou par le turn over de la main d’œuvre ayant déjà gagnée en savoir faire17.
Nelson et Phelps (1996) ont avancé qu’un niveau élevé de l’éducation vont former des travailleurs qualifiés capable de comprendre des nouvelles informations et de s’adapter à de novelles technologies plus performantes qui entrainera une augmentation du taux de croissance économique.
Concernant l’investissement en capital humain, Aghion et Cohen (2004) ont aussi montré une corrélation positive entre l’éducation et la croissance économique se qui s’explique selon eux par ce qu’ils appellent l’économie d’imitation et par l’innovation qui nécessite un niveau scolaire plus élevé que la première.
Après des études faites aux Etats-Unis et au Belgique, de 1950 à 1962, la contribution de l’éducation dans la croissance économique est estimée à 14%18. Et après une étude faite par l’Unesco, le rythme de la croissance de la Chine est expliqué en partie par le niveau d’éducation de sa population active, qui s’élève à un taux très important de plus de 90 %.19

L’apport du niveau sanitaire dans la croissance économique

Si ainsi sont les impacts de l’investissement en éducation dans la croissance économique, celui relatif à la santé représente aussi des effets qui ne peuvent pas être négligés. Toutefois que cette relation n’a fait l’objet d’études des chercheurs que depuis la fin des années 90.
Selon Doepke (2003) une part de l’augmentation de la productivité s’explique par une amélioration de la santé. Cette thèse est comme celle de Barro (1996), l’amélioration de la santé diminue le taux de mortalité ainsi que le risque d’être atteint par de graves maladies, ce qui entrainera une appréciation du niveau du capital humain et augmentera ainsi la productivité.
Pour Bloom et Malaney (1998) et Bhargava (2001) un meilleur taux de l’espérance de vie à la naissance est un facteur important de la croissance économique du fait que ce phénomène va donner un taux aussi élevé de l’espérance de vie de la population active. Ils ont aussi avancé que le niveau d’instruction des femmes va avoir une influence sur le taux de leur fécondité, dans ce sens que plus les femmes sont instruites plus elles seront capables de limiter le nombre de leurs enfants, ainsi ça diminuera le nombre des enfants qui seront en leurs charge mais aussi, va donner un bon niveau de leur santé. De ce fait, elles occuperont plus de leurs revenus dans l’investissement en capital humain et entrainera une hausse du taux de la croissance économique et le bien être de la population. Comme le cas du Brésil, d’après une étude, la baisse de la fécondité donne naissance à une élévation de 0,7% par an de croissance économique.20

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIEI : APPROCHE THEORIQUE DU CAPITAL HUMAIN ET DU DEVELOPPEMENT
Chapitre I : Notions et concepts
Section 1 : Concepts du développement
A. Définition
B. Les indicateurs du développement
Section 2 : Le capital humain
A. Définition du capital humain
B. Mesures du capital humain et comparaisons internationales :
Chapitre II : Le capital humain et la croissance économique
Section 1 : Les théories du capital humain
A. La théorie de Schultz
B. La théorie de Gary Becker
Section 2 : Les impacts du capital humain dans la croissance économique
A. Le rôle de l’éducation dans la croissance économique
B. L’apport du niveau sanitaire dans la croissance économique
Chapitre III : Les relations entre capital humain et le bien être de la population
Section 1 : Notion de bien être
A. Définition du bien-être
B. Comment mesurer le bien être d’une population
Section 2 : Impacts d’investissement en capital humain dans le bien être
A. Relation entre éducation et bien être
B. Les effets de l’investissement en santé sur le bien être
PARTIE II : ANALYSE DE CAPITAL HUMAIN ET SA RELATION AVEC LE DEVELOPPEMENT DE MADAGASCAR
Chapitre 1 : Présentation du capital humain de Madagascar
Section 1 : L’éducation de Madagascar
A. Le niveau de l’éducation de Madagascar
B. Les travaux nécessaires
Section 2 : Le secteur sanitaire Malgache
A. Présentation du niveau sanitaire de Madagascar
B. Les problèmes rencontrés
Chapitre 2 : Incidence du capital humain dans la croissance économique de Madagascar
Section 1 : Explication du modèle
A. Le modèle des Moindres Carrés Ordinaires
B. Présentation des paramètres du modèle
Section 2: Construction du modèle
A. Analyse descriptive des variables
B. Analyse inférentielle
Chapitre 3 : Rôle capital humain dans le bien être de la population Malgache: études comparatives entre deux années. (2008 et 2012)
Section 1 : Education et bien être
A. L’éducation des hommes et le bien être de la population
B. L’éducation des femmes et le bien être
Section 2 : Santé et bien être
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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