Les strongyloses caprines

Les strongyloses caprines

Méthodes allopathiques de lutte contre les strongles digestifs chez la chèvre

Anthelminthiques disponibles et utilisation chez la chèvre laitière

Anthelminthiques disponibles

Depuis la mise sur le marché des premiers anthelminthiques à large spectre (thiabendazole, famille des benzimidazoles) dans les années 1960, de nombreuses molécules ont été développées et utilisées, appartenant aux trois familles principales d’anthelminthiques à large spectre actuellement disponibles : les benzimidazoles, les plus utilisés, le lévamisole, et les lactones macrocycliques, les plus récents.
Le tableau I résume les caractéristiques des principaux anthelminthiques disponibles. Seuls les délais d’attente lait sont indiqués, bien qu’il existe des délais d’attente pour la viande, la production de viande de chèvre étant marginale en France.
Tableau I : Principaux anthelminthiques utilisés en élevage caprin, dose recommandées et spectre d’activité. S.G.I. : strongles gastro-intestinaux. [2 ; 65].
* : utilisation au tarissement interdite dans les 21 jours précédant l’agnelage chez les ovins.
** : utilisation au tarissement interdite chez l’espèce objet de l’AMM. Doramectine interdite également dans les 2 mois précédant la première mise bas.
Étude du traitement par un champignon nématophage, Duddingtonia flagrans, contre les strongyloses digestives chez la chèvre laitière au pâturage.

Particularités d’utilisation en élevage caprin laitier

L’examen du Tableau I révèle le faible nombre d’anthelminthiques à délai d’attente nul pour le lait [65]. Les éleveurs ont donc tendance à utiliser des anthelminthiques appartenant à la même famille (les benzimidazoles), les élevages français étant essentiellement tournés vers la production laitière. Les benzimidazoles représentent de ce fait 80 % des traitement utilisés, tandis que seules 15 % des fermes utilisent du lévamisole et 27 % des avermectines [24].
Afin de préserver l’efficacité des anthelminthiques, il est recommandé de varier les familles utilisées, en changeant d’anthelminthique entre la période de lactation et la période de tarissement. On constate sur le terrain que ces recommandations sont très rarement suivies [24].
Cet état de fait participe au développement de phénomènes de résistance aux anthelminthiques.

Phénomènes de résistance aux anthelminthiques

Définition [55 ; 65]

La résistance est un phénomène génétique, héritable, qui confère à une souche de parasites la capacité de survivre à des concentrations d’antiparasitaires habituellement léthales pour les individus sensibles de l’espèce. Ce phénomène est dépendant d’une pression de sélection due à l’utilisation des traitements. On considère qu’une résistance est présente au sein d’un troupeau quand l’efficacité du traitement anthelminthique considéré induit une réduction de l’excrétion fécale d’œufs du parasite inférieure à 90 %, et ce alors que le traitement est correctement effectué. L’efficacité de la molécule utilisée peut alors être considérablement réduite, voire nulle. Les résistances peuvent être simples (dirigées contre une famille d’anthelminthiques) ou multiples (dirigées contre plusieurs voire toutes les familles).
Ce phénomène correspond donc à la perte d’efficacité de la molécule utilisée vis-à-vis de sa cible. Il s’agit d’un problème important en élevage car, à terme, il risque de laisser les éleveurs victimes de résistances multiples démunis face au parasitisme de leur troupeau, n’ayant plus de traitement efficace.
Étude du traitement par un champignon nématophage, Duddingtonia flagrans, contre les
Etude bibliographique : Strongyloses et méthodes de lutte.

Méthodes de détection [32]

La présence de résistances dans un élevage doit être suspectée lors de l’inefficacité apparente d’un traitement [65]. Il est alors souhaitable d’explorer ce phénomène. Plusieurs techniques de détection ont été mises au point.

Méthodes biologiques

Pour objectiver l’absence de résistance, la réduction du taux d’excrétion fécale (Fecal Egg Count Reduction Test : FECRT) est évaluée sur l’effectif du troupeau par coproscopie avant (J0) et 10 à 14 jours après traitement (J14). On considère qu’il y a résistance si le FECRT : ((opgJ0  opgJ14)x100)/opgJ0, est inférieur à 90 % [32 ; 33 ; 65]. L’avantage de cette méthode est qu’il s’agit d’une méthode in vivo qui tient compte de la métabolisation du produit dans l’organisme. Il s’agit de la technique de référence pour la détection des résistances. Elle est très utilisée.
La mise en culture de féces exposées à des doses croissantes d’anthelminthiques permet de réaliser un test d’éclosion des œufs en laboratoire. La comparaison du nombre de larves obtenues, à l’issue de la culture, à une concentration en anthelminthique donnée, avec le nombre de larves obtenues par culture en l’absence d’anthelminthique permet d’estimer l’efficacité de l’anthelminthique à la dose envisagée. Utilisée avant et deux semaines après un traitement, cette technique permet d’estimer l’apparition et l’ampleur de résistances aux benzimidazoles. Ce test est particulièrement employé pour évaluer l’efficacité des benzimidazoles [32]. Il permet également d’obtenir des L3 dont la diagnose renseigne sur les différences de sensibilité à l’anthelminthique utilisé des différents strongles présents dans le troupeau [32 ; 33 ; 65].
D’autres tests in vitro évaluant la capacité d’embryonnement des œufs ou la paralysie des larves (pour le lévamisole) en présence de doses croissantes d’anthelminthique peuvent également être mis en oeuvre [32]. Ces tests sont cependant assez difficiles à réaliser et coûteux et sont donc principalement utilisés en expérimentation.

Signes biochimiques 

Des dosages biochimiques effectués sur un broyat de L3 permettent de mettre en évidence des molécules impliquées dans le phénomène de résistance (estérases, tubulines de faible affinité envers les benzimidazoles). Le nombre important de L3 requis ainsi que le matériel nécessaire rendent ces techniques onéreuses et difficiles à mettre en œuvre. Ces tests sont donc très peu employés.

Situation mondiale des résistances aux anthelminthiques chez les strongles

Molécules concernées

Les benzimidazoles représentent 80 % des traitements effectués [24], et constituent la famille d’anthelminthiques la plus ancienne après le lévamisole. Ils sont de ce fait impliqués dans la plupart des résistances rencontrées. En outre, la prévalence plus importante des résistances aux benzimidazoles s’explique aussi parce qu’elles seraient de nature monogénique, tandis que les résistances au lévamisole et aux avermectines seraient de déterminisme multigénique, donc de transmission moins aisée.Dans une moindre mesure, on note également l’émergence de résistances au lévamisole et au pyrantel [25 ; 50]. Des résistances se développent aussi pour les avermectines, y compris la moxidectine .

Répartition et prévalence

Toutes les régions d’élevage sont touchées par ce phénomène. Les résistances, surtout aux benzimidazoles, sont décrites partout dans le monde.Elles sont particulièrement présentes en région tropicale et sub-tropicale. Elles y sont responsables de lourdes pertes économiques, ces régions ayant un climat particulièrement favorable au parasitisme. En outre l’élevage y est essentiellement pâturant. Les traitements anthelminthiques en sont d’autant plus fréquents, accentuant la sélection des souches résistantes. Dans leur étude de 1999 en Afrique du Sud, VAN WYK et al. recensent des résistances dans toutes les fermes testées sur Haemonchus contortus en élevage ovin et caprin. Plus encore, 16 % des souches d’ Haemonchus contortus étaient sensibles à moins de 60 % envers 3 des 4 anthelminthiques testés (albendazole, lévamisole, ivermectine et rafoxanide), 8 % l’étaient à moins de 40 % envers les quatre anthelminthiques [55]. Des résistances à tous les anthelminthiques à large spectre sont également décrites en Amérique latine [58] et en Malaisie.Les pays tempérés sont également touchés. Des résistances ont été relevées dans pratiquement toute l’Europe [58] et notamment en France [7 ; 25], et au Royaume-Uni [50]. Selon les pays et les espèces considérés, des souches de strongles résistants aux benzimidazoles seraient présentes dans de nombreux élevages. Chez les petits ruminants par exemple, ces souches existeraient dans 80 % à 100 % des élevages [25 ; 50]. Un nombre croissant d’élevages est confronté à l’émergence de ces souches au sein des populations de strongles, au point d’atteindre une efficacité insuffisante des anthelminthiques utilisables en lactation.

Espèces parasites concernées

Les vers présentant des résistances sont principalement Haemonchus contortus et Teladorsagia circumcincta, dans une moindre mesure Trichostrongylus colubriformis [3].

Espèces hôtes concernées

Les résistances aux anthelminthiques concernent particulièrement les chèvres, bien plus que les ovins ou les chevaux. Les bovins sont encore peu touchés [3]. Les résistances se développent particulièrement chez la chèvre en raison de la physiologie particulière de cette espèce ainsi que de particularités dans la conduite d’élevage caprin (cf 2.2.5.2).
Étude du traitement par un champignon nématophage, Duddingtonia flagrans, contre les strongyloses digestives chez la chèvre laitière au pâturage.

Situation en France, chez la chèvre

En France, l’existence de résistances aux anthelminthiques est décrite depuis 1985 [21]. Depuis, sur 18 fermes caprines testées, CHARTIER et al. (2001) ont décrit des résistances aux benzimidazoles dans 15 fermes [7]. Ce phénomène tend à grandement s’amplifier depuis 15 ans [21 ; 25]. Le développement rapide de résistances aux benzimidazoles touche donc l’essentiel des élevages caprins français, pour les trois principales espèces de strongles digestifs rencontrées : Haemonchus contortus, Teladorsagia circumcincta et Trichostrongylus colubriformis [21].
Les résistances au lévamisole sont évaluées en France par CHARTIER et al. (2001) à 2 fermes sur les 18 testées [7]. L’existence en France de résistances aux lactones macrocycliques est suspectée mais non encore démontrée, bien que des cas aient déjà été signalés en Europe [21].

Facteurs de développement des résistances et application à la situation chez la chèvre

Facteurs de développement des résistances

Facteurs déterminants
Des résistances peuvent survenir dans un élevage d’où elles étaient jusqu’alors absentes lors de l’achat et introduction dans l’élevage de chèvres porteuses de vers résistants [52]. Ce fut certainement le cas lors d’importation dans de nombreux pays de chèvres angoras porteuses de vers résistants [3]. La transmission de résistances entre élevages est également favorisée lors de pâturages en commun ou de transhumance [52].Toutefois, une fois l’élevage constitué, les troupeaux caprins sont en général gérés par auto-renouvellement (hors maladie ou circonstance exceptionelle). Les élevages constitués avant ou au début de la mise sur le marché des premiers anthelminthiques sont donc souvent épargnés, contrairement aux élevages plus récents [52].Étude du traitement par un champignon nématophage, Duddingtonia flagrans, contre les strongyloses digestives chez la chèvre laitière au pâturage.

Facteurs favorisants

La sélection de populations résistantes dépend d’abord du mode d’utilisation des anthelminthiques. Le développement de résistances à ces molécules dans un élevage est favorisé par une importante fréquence d’utilisation, un sous-dosage, l’absence d’alternance entre familles de molécules, ou un mauvais choix du moment du traitement ou des animaux à traiter.En zone tropicale et sub-tropicale, le climat favorise le développement de l’œuf à la L3 tout au long de l’année (absence de période hivernale), même s’il est défavorable à une survie prolongée des L3. L’élevage étant essentiellement intensif au pâturage, les conditions sont génératrices d’un risque parasitaire important. La fréquence des traitements anthelminthiques est donc importante, ce qui favorise le développement de résistances en « concentrant » les allèles de résistance dans la population vermineuse [59].L’utilisation d’un anthelminthique unique, sans changement périodique de famille, due au faible nombre d’anthelminthiques sans délai d’attente disponibles, et une fréquence importante de traitement contribuent à développer des résistances [52].Les vers sensibles à l’anthelminthique sont éliminés par le traitement, tandis que les résistants se multiplient. La fréquence relative de l’allèle de résistance augmente dans la population et le phénomène de résistance s’en voit amplifié [52]. On remarque une fréquence de traitements accrue dans les fermes présentant des résistances aux benzimidazoles (2.8 vs 1.0 traitement/an), sans toutefois qu’il soit possible d’en déduire que ce soit une cause ou une conséquence de l’existence de résistances [7].Le moment du traitement favoriserait également les résistances dans certains cas. Le pâturage est un refuge pour le parasite face à l’antiparasitaire, car il héberge une population de vers non exposés au traitement. L’administration d’anthelminthiques au moment où il y a beaucoup de L3 au pâturage permet donc de diluer les œufs de strongles résistants qui seront éliminés après le traitement, au milieu de la population présente au pâturage, limitant l’impact des résistances. Si au contraire l’administration est effectuée au moment du passage sur une pâture assainie, les œufs de strongles résistants qui seront émis constitueront la population principale au pâturage, concentrant les résistances. La stratégie dite du treat and move est donc déconseillée en présence de résistances [50].Selon le même principe, une période hivernale longue passée en chèvrerie, avec traitement à la rentrée, accroit les risques de résistance si l’on utilise pour ce traitement un anthelminthique de la même famille que celle utilisée en période de pâturage : peu de L3 sensibles ont survécu à l’hiver au pâturage, et l’émission d’oeufs au retour à l’herbe provient de l’infestation par les vers qui auront survécu au traitement d’entrée en chèvrerie [52].

Causes de la prévalence élevée des résistances chez la chèvre

La prévalence importante des résistances aux anthelminthiques chez la chèvre s’explique par une physiologie particulière associée à une pratique antiparasitaire souvent inadaptée [21 ; 25 ; 65].La réponse immunitaire développée par les chèvres vis-à-vis des strongles est très faible. La lutte contre ces parasites conduit donc à une augmentation de la fréquence d’utilisation des anthelminthiques dans cette espèce, augmentant ainsi le risque d’émergence des résistances [21].
La vocation de l’élevage caprin en France est quasi exclusivement laitière. La longue durée de la lactation chez la chèvre (10 mois) est presque superposable à la période de pâturage, donc au risque parasitaire. L’usage en lactation et le respect des délais d’attente limitent le choix de la molécule aux seuls anthelminthiques ayant un temps d’attente nul pour le lait. De plus, l’espèce caprine ne représente pas un marché suffisant pour que les laboratoires étendent systématiquement l’AMM de leurs molécules aux caprins. En l’absence d’AMM caprine pour l’éprinomectine, les seuls anthelminthiques utilisables chez la chèvre en lactation appartiennent à la famille des benzimidazoles [21].Selon une étude sur questionnaire menée par HOSTE et al. (2000) auprès d’éleveurs de caprins laitiers en France, près de 3 traitements par an sont effectués en moyenne, avec peu ou pas d’alternance de molécule. Parmi ceux qui changent de molécule, seuls 37 % choisissent une famille différente entre la période de lactation et la période de tarissement [24].De plus, la chèvre présente une métabolisation des xénobiotiques différente de celle du mouton. La demi-vie plasmatique des molécules anthelminthiques est sensiblement réduite chez les caprins [21]. L’obtention de concentrations tissulaires efficaces nécessite donc l’application de doses supérieures aux doses ovines. Les doses caprines recommandées ont été évaluées comme étant en général 1,5 à 2 fois la dose ovine [52], ou bien l’application de la dose ovine deux fois à 12 ou 24 heures d’intervalle. Une administration correcte du médicament doit se faire en arrière de la langue, sous le plus petit volume possible [65]. La découverte relativement récente (années 1980-1990) de cet état de fait a conduit à un sous-dosage fréquent des anthelminthiques chez la chèvre. L’application des doses ovines a été relevée dans 55 % des fermes caprines en France [25] malgré la diffusion de ces informations.Le calcul de la dose d’anthelminthique administrée en fonction du poids moyen des animaux du troupeau (50 à 60 kg), recensé chez environ 100 % des éleveurs [24], au lieu de la fonder sur le poids de l’animal le plus lourd (pouvant atteindre 70 kg), accentue encore ce phénomène de sous-dosage, et donc le développement des résistances [25 ; 52].

Prévention de l’apparition des résistances aux anthelminthiques

La prévention de l’apparition ou du développement des résistances, ainsi que la lutte contre les résistances installées reposent soit sur une meilleure utilisation des anthelminthiques, soit sur la mise en place de méthodes alternatives de lutte contre les strongyloses. Ces techniques sont détaillées ci-après.

Méthodes alternatives de lutte contre les strongyloses caprines

Intérêt

Classiquement, le contrôle des strongyloses digestives chez la chèvre impliquait les anthelminthiques. Mais le développement des résistances, ainsi que les problèmes liés à l’écotoxicité par destruction de l’entomofaune des prairies, suspectée pour certaines familles, et aux résidus de ces médicaments, oriente vers la recherche d’une stratégie d’utilisation plus restreinte de ces molécules, voire vers des méthodes de lutte biologique.D’autre part, le cahier des charges de l’Agriculture Biologique interdit l’utilisation préventive de médicaments allopathiques chimiques de synthèse (Règlement Européen n°1804/1999 du 19/08/99) [48] dont font partie les anthelminthiques. Or il s’agit d’élevages devant avoir accès à des aires d’exercice ou de pacage en plein air. Le risque parasitaire est donc important. Il en va de même pour les élevages fermiers et A.O.C., les consommateurs recherchant de plus en plus des produits naturels, issus d’élevages pratiquant le pâturage et limitant les intrants chimiques.On observe donc une tendance actuelle au développement des méthodes nouvelles de contrôle des strongles pour répondre à ces attentes. Elles s’articulent sur un principe d’amélioration de la résistance et de la résilience des animaux, de dilution des allèles de résistance au sein des populations de parasites, ou sur la réduction des contaminations du pâturage.

Utilisation raisonnée des anthelminthiques

Les stratégies développées ici s’appuient sur la nécessité de préserver au sein des populations de parasites une grande proportion d’individus sensibles aux anthelminthiques. Cela consiste à éviter de sélectionner les individus résistants en éliminant tous les individus sensibles. Il s’agit donc d’une application raisonnée des traitements anthelminthiques (traitements ciblés), ou bien d’une bonne gestion du moment des traitements et de la conduite du troupeau.

Traitement sélectif

Dans un troupeau, une minorité d’individus sont responsables d’une part importante de l’excrétion totale des œufs de strongles [25]. Traiter uniquement les forts excréteurs permet de limiter l’émission d’œufs au pâturage, tout en conservant des chèvres, plus faibles excrétrices, émettant des œufs de strongles sensibles aux anthelminthiques, n’ayant pas eu de contact avec les molécules. Une telle stratégie implique l’identification des animaux les plus parasités et/ou les plus forts excréteurs.

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Table des matières

Introduction
Etude bibliographique
Première Partie : Contexte de l’étude
1. Les strongyloses caprines
1.1 Eléments de biologie
1.2 Epidémiologie des strongyloses digestives
1.3 Helminthoses digestives : signes cliniques et conséquences sur les performances
2. Méthodes allopathiques de lutte contre les strongles digestifs chez la chèvre
2.1 Anthelminthiques disponibles et utilisation chez la chèvre laitière
2.2 Phénomènes de résistance aux anthelminthiques
3. Méthodes alternatives de lutte contre les strongyloses caprines
3.1 Intérêt
3.2 Utilisation raisonnée des anthelminthiques
3.3 Stratégies d’augmentation des défenses de l’hôte
3.4 Techniques de diminution de la contamination des pâtures
Seconde partie : Utilisation de champignons nématophages pour le contrôle des contaminations au pâturage
1. Définition
1.1 Mode d’action
1.2 Caractères généraux
1.3 Intérêt dans la lutte contre les strongyloses des ruminants
2. Historique
3. Propriétés et utilisation pratique de Duddingtonia flagrans
3.1 Conditions d’emploi
3.2 Efficacité et spectre d’activité
3.2.1 Efficacité sur les strongles digestifs
3.2.1.1 Efficacité in vitro
3.2.1.2 Efficacité en terme de rendement de coproc
4. Toxicité, écotoxicité et limites d’utilisation de Duddingtonia flagrans
4.1 Toxicité
4.2 Ecotoxicité
4.3 Limites d’utilisation
Conclusion de la partie bibliographique
Etude Expérimentale
1. Objectifs de l’étude
2. Matériel et méthodes
2.1 Matériel biologique
2.2 Protocole
2.3 Analyses statistiques
3. Résultats
3.1 Etude n°1 : mesure de l’efficacité
3.2 Etude 2 : Mesure de l’impact qualitatif sur les productions
4. Discussion
4.1 Etude 1 : efficacité de l’administration de spores de D. flagrans
4.2 Etude 2
4.2.1 Etude de la contamination des productions
4.2.2 Contamination de la machine à traire
4.2.3 Contamination des mamelles des chèvres
4.2.4 Influence des conditions d’élevage du Pradel
Conclusion
Bibliographie

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