Etude et description du milieu biologique de la zone

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DESCRIPTION TECHNIQUE DU PROJET

Le projet comporte trois phases bien distinctes mais interdépendantes chacune, dont :
La phase préparatoire de construction, qui se concentrera surtout à la mise en place des diverses infrastructures relatives à l’exploitation et à la réhabilitation des pistes préexistantes ; on les appelle aussi les travaux préliminaires.
La phase de recherche et d’exploitation, qui correspond essentiellement à l’échantillonnage des produits vendables de granites puis à l’exploitation proprement dite de ceux-ci.
C’est la phase prépondérante du projet car c’est là que les impacts sur le milieu récepteur sont les plus remarquables ;
La phase de fermeture : remise en état de chaque site de prospection et d’exploitation et également au repli du chantier. Le projet met à terme son exploitation.
Chaque phase du projet se caractérise par des composantes d’activités sources d’impacts sur le système environnemental par rapport à son état initial.

PHASE PREPARATOIRE ET DE CONSTRUCTION

Cette phase dure en moyenne deux mois. Elle consiste essentiellement à :
9 L’aménagement, la mise en place des installations, équipements et infrastructures
9 L’amélioration des chemins de desserte de la carrière
9 L’aménagement d’une base-vie.

Voies d’accès

Pour l’acheminement et le transport des équipements et matériels affectés par le projet, des réhabilitations des pistes existantes doivent être effectuées par le projet.
Cette réhabilitation consiste seulement à la remise à niveau (reprofilage léger) et au rebouchage des trous de ces pistes, et éventuellement au débroussaillage.
Notons que la Société a déjà effectuée une ouverture de piste menant au site d’exploitation dans le cadre de son projet de recherche auparavant, pendant laquelle elle a procédé aux défrichements d’un pare-feu existant, et au reprofilage léger de ce dernier. Cette piste servira surtout à l’approvisionnement du site. En effet, la Société envisage d’emprunter les pistes communales existantes pour l’acheminement des produits finis. De ce fait, la Société ne projette plus d’ouvrir de nouvelles pistes.
Dans le cas où la création de nouvelles pistes s’avère nécessaire, la Société s’engage de les transmettre dans le rapport de suivi.

Base-vie

Au cours de sa phase de recherche actuelle, la Société a déjà construit sa base-vie à l’intérieur même de son périmètre situé aux coordonnées Laborde suivant : X= 500 294 m ; Y = 797 526 m ;
Il s’agit d’une construction en dur servant d’hébergement pour le personnel de terrain, pour le stockage des produits d’échantillon avant leur expédition et différents matériels utiles à la recherche ainsi qu’à l’exploitation future. Cette base-vie est équipée de cuisine, de dispositifs sanitaires (douche et latrine en fosse perdue) ; munie d’installation électrique alimentée par des groupes électrogènes. Cependant, une demande d’installation d’électricité auprès de la JIRAMA est déjà en cours. Des canaux d’eau et des regards assureront le drainage du site et son assainissement. L’eau usée rejoindra ainsi ces regards et pourra s’épurer en s’infiltrant dans le sol.
Notons que les villages du périmètre possèdent plusieurs points d’eau. L’approvisionnement en eau potable et hygiénique de la base-vie est assuré par ces sources d’eau non loin du campement. L’équipe de terrain pourra s’approvisionner au niveau de ces points.

Gestion des déchets

Afin de respecter l’environnement, la Société assurera la gestion des déchets biodégradables et non biodégradables ainsi que le stockage de substances chimiques et inflammables au sein de la base-vie.
Une fosse de 2 m × 2 m × 3 m sera mise en place au niveau du campement dans laquelle les ordures dégradables seront enfouies.
Pour les déchets non biodégradables, trois bacs de 170 litres de type MAKIPLAST serviront comme bacs à ordures pour les plastiques, les verres et les déchets métalliques. Ces déchets seront évacués dans les points de collecte les plus proches du milieu.
Les substances chimiques seront placées en un endroit isolé et les substances inflammables (carburants, lubrifiants,…) seront enfermées dans des fûts étanches.
Des fils d’eaux longitudinaux sont réalisés de façon à évacuer les eaux de ruissellement et les eaux usées.

Aire d’entretien des engins

Il convient mieux d’aménager une surface pour l’entretien des engins. Elle se situera près du campement de base. Cette aire pré-aménagée sera imperméabilisée par de la bâche dans le but de protéger le sol contre toute contamination des huiles usagées. Ces dernières seront récupérées dans du fût étanche.

PHASE DE RECHERCHE ET D’EXPLOITATION

Selon la validité du permis minier, la phase d’exploitation va durer en moyenne quarante (40) ans et comporte cinq (05) types d’activités dont :

Etapes de travail

On exploite toujours le gisement des carrières de roches massives de façon presque identique :
¾ Forage : percement de trous verticaux dans la roche selon une maille déterminée ;
¾ Minage : les trous de foration sont remplis d’explosifs. L’explosion successive des trous fragmente grossièrement la roche et l’abat ;
¾ Reprise : un engin chargeur à pneu récupère la roche abattue et la charge dans un engin de transport ;
¾ Roulage : un engin, rarement un convoyeur à bande, achemine les matériaux grossiers jusqu’à l’installation de traitement ;
¾ Concassage primaire : ces matériaux grossiers sont cassés par une action mécanique directe. On cherche généralement à obtenir des matériaux de forme géométrique plus régulière
¾ Mise en pré-stock : optionnelle, la mise en stock et la reprise des matériaux destinés à un traitement ultérieur permet de donner une souplesse de fonctionnement à l’usine
¾ Broyage secondaire : les matériaux trop gros sont cassés par action mécanique. On cherche alors à réduire la taille des gros rochers.
Ici, le traitement dépend de l’utilisation du granite, soit on le broie (gravillon), soit on le traite autrement avant de l’affréter à la vente.

Débroussaillage- décapage

Avant d’entreprendre les travaux, il est nécessaire de faire un débroussaillage et un décapage de la zone à exploiter, ceux-ci consistent à l’enlèvement des couvertures végétales et du sol au dessus des blocs de granites.
Mais compte-tenu qu’une grande partie du gisement est à découvert, l’activité de décapage ne concerne pas toute la phase d’exploitation du projet.
Afin de limiter les impacts paysagers et la revégetalisation du site à la fermeture ; l’Entreprise prévoit que les défrichements se fassent au rythme de l’avancement des extractions, et de conserver les terres de découvertes dans un endroit bien défini au niveau même du site afin d’éviter la perte de ces matériaux par les eaux de ruissellement et les impacts de leur transfert sur le milieu récepteur.

Abattage des roches altérées

Mode d’abattage
Le mode d’abattage des roches altérées superficielles nécessite l’utilisation d’explosifs même pour une telle carrière à ciel ouvert. La méthode d’exploitation que nous avons opté est celle en gradins.
Par la génération de différentes ondes (ondes de choc, ondes de compression) et de gaz, la roche est soumise à une compression élevée et par conséquent elle se fissure. Cette fissuration se développe au fur et à mesure. Les gaz générés par l’explosion se propagent dans ces fissures, les agrandissent et projettent les blocs en direction de la surface libre.
Le schéma de tirs (plans de tirs, plan de foration, plan de chargement) sera élaboré suivant la réalité du site. Les détails techniques seront alors transmis dans le rapport de surveillance au fur et à mesure de l’avancement des travaux d’abattage.
Gestion de l’explosif
Nous utilisons, pour les des travaux d’abattage, des substances explosives la « dynamite gomme Emulstar 800 », ainsi que du cordeau détonant, du détonateur électrique milliseconde et le nitrate d’ammonium.
La manipulation, et l’utilisation des explosifs seront menées par des personnels qualifiés. Au cours de l’achat, du transport, et du stockage de ces explosifs les mesures de sécurité seront soutenues fermement afin de réduire à néant les risques d’accident. Les substances détonantes et explosives seront stockées dans différents lieux en dehors du site, au niveau de la poste de gendarmerie d’AMBATOMIRAHAVAVY.
Notons que, la Société tiendra une campagne de sensibilisation et d’information des riverains et les personnels travaillant sur la carrière concernant l’utilisation des explosifs ainsi que les précautions y afférentes.
Mise à feu
L’opération de mise à feu sera faite une fois tous les trois (03) mois.
Pour prévenir les habitants sur l’opération de tir, quelques consignes seront à prendre impérativement :
– Levée de drapeau rouge le jour de tir ;
– Avertissement sonore 1h et 30 mn avant chaque tir ;
– Interdiction de travail, de circulation pour personnes non affectées à l’opération ;
– Devenir des débris des roches altérées abattues : utilisées par les petits exploitants de carrière

Extraction de blocs

Une fois la roche altérée soit dégagée, on procède directement aux travaux d’extraction. La machine multi lame, munie de scies diamantées montée sur des rails, découpe la roche en place en long et en large suivant une direction horizontale. Il suffit d’abattre la roche ainsi découpée.
Et on obtient par la suite de gros blocs de dimensions variées que l’on voit selon la photo ci-dessous :
Le fonctionnement de la machine nécessite l’utilisation de l’eau. En effet, l’eau refroidit les lames (scies diamantées) et atténue l’émanation de sables de carrière au cours du sciage. La dureté de la scie diamantée grâce à ses lames en tungstène permet de découper les roches en blocs.
L’eau nécessaire est pompée à partir d’une station de pompage située en bas du site d’exploitation et canalisée par des conduites vers la machine. L’eau ainsi usée est recueillie et redirigée vers une série de deux bassins de décantation. Ces derniers sont disposés en escalier et ont une dimension moyenne de 5 5 1 Ensuite, les blocs sont remontés vers le site de sciage pour la continuité des travaux.

Calibrage des blocs

Les gros blocs issus de la machine multi lame sont ensuite morcelés par la machine à découpe (Grand Modèle ou Petit Modèle) qui se fait par pression hydraulique.
Les blocs ainsi découpés sont dressés de façon à lui donner une forme parallélépipédique à section différente. Ce travail s’effectue sur la machine à scier (Grand Modèle ou Petit Modèle) actionnée par un moteur électrique, qui est composée par une lame diamantée circulaire, et qui peut être échangée par des disques de diamètre variés selon les usages. Cette machine est montée sur rails.
Le mouvement de va-et-vient de cette lame permet de découper les blocs en plus petites tailles ou tranches. La taille des tranches est conçue selon la dimension désirée.
Le sciage de ces roches requiert aussi de l’eau en permanence. La machine est munie d’un dispositif d’arrosage permettant de refroidir la lame. L’eau que l’on utilise est captée dans un bac de la machine et redirigée vers le bassin de décantation.
Une meule à main ou fixe sert à roder les surfaces non aplanies des tranches (imperfections). A ce stade, les tranches peuvent poursuivre ou non le processus de polissage par la machine à polir. Ce procédé de polissage consiste au rodage des surfaces de la tranche, qui s’opère par la rotation du disque à polir. Le polissage requiert l’emploi de poudres abrasives et de l’eau.
Remarque :
Concernant les déchets à ce stade de la production, les débris de roches sont récuperées soit par les petits exploitants pour un retraitement en gravillons destinés à une vente locale, soit par la Commune pour les travaux de réfection des routes.

Acheminement des produits

De par la situation topographique du site, la Société PROGRANIT S.A a mis en place un système pouvant évacuer rapidement les produits finis. Elle a installé un toboggan constitué de canal en bois, érigé de murette, pour permettre aux tranches de glisser tout au long du toboggan et atterrir délicatement à la surface du sol. Ce toboggan est incliné en bas pour amortir la chute.
Afin d’éviter le risque d’accident par le mouvement des tranches dans des endroits inappropriées, une murette est disposée à la normale de la trajectoire de ceux-ci.
La production dépend des commandes obtenues, mais la maximale mensuelle se chiffre à 10m3 et les produits peuvent être livrés ou achetés sur place par les clients et dans ce cas, ils se chargent de leur transport.

Ressources en eau

La Société a mis en place une station de pompage d’eau qui prend sa source à partir d’un puits. L’eau est acheminée vers la carrière à l’aide de différentes conduites.
Le besoin en eau du projet est de l’ordre de 4m3 environ par heure.
L’eau à usage sanitaire et l’eau hygiénique des employés sur site sera approvisionnée par la station de pompage dans le cas où l’eau reste suffisante ; sinon elle proviendra des points d’eau les plus proches dans les villages aux alentours.
Le besoin journalier d’une personne en est de 30litres par jour. L’eau sera traitée suivant les normes de santé pour la rendre plus potable si nécessaire (traitement par des produits chimiques ou chauffage à 100°C).

Milieu physique :

Données climatiques :

La zone d’étude est soumise au régime climatique tropical d’altitude supérieur à 900m. Deux saisons bien distinctes sont observées :
La saison pluvieuse et moyennement chaude, qui s’étend du mois de Novembre au mois de Mars. La saison fraîche et relativement sèche, du mois d’Avril au mois d’Octobre. La température oscille entre 14.6°C et 24.6°C à Antananarivo. La moyenne se situe entre 19.3°C et 19.8°C. Le mois le plus chaud correspond au mois de Février (20.1°C) et celui le plus froid le mois de Juillet (14°C). Ces résultats ne tiennent pas compte du changement climatique qui subsiste en ce moment.
La moyenne pluviométrique à Antananarivo est de 1365.3mm. Les vents prédominants de la région sont :
– L’Alizé, de direction E-SE, soufflant de Juin à Décembre
– La Mousson de direction NW, du mois de Janvier au mois de Mars.

Géomorphologie et paysage :

Le périmètre minier de PROGRANIT est constitué de collines monotones (tanety), de direction généralement subméridienne à pente douce et d’altitude moyenne (1 300m). Le relief est assez accidenté du côté opposé (périmètre du projet, avec des versants abrupts).
Une large plaine occupe la partie centrale du lieu d’exploitation, composé de champs de cultures, de rizières, de marécages et de petits lacs (AMPARIHIBE). La différence d’altitude est assez faible.

Pédologie : 

Deux types de sol sont rencontrés dans le périmètre : le sol ferralitique et le sol hydro morphe.
™ Le sol ferralitique :
Ce type de sol se forme sous climat humide et chaud avec une pluviométrie d’au moins 1 200mm, répartie sur plus de cinq mois de l’année. Les eaux d’infiltration sont abondantes et peuvent descendre profondément, hydrolysant ainsi les silicates, libérant de la silice SiO2, de l’alumine Al2O3 et de l’oxyde de fer Fe2O3.
Il y a lieu un départ de silices et de bases, et une accumulation sur place de l’alumine (gibbsite) et de Fe2O3 (hématite). Le sol présente une teinte assez vive, rouge. Cependant, on note quelque fois un horizon assez sombre, un horizon organo-minéral avec une structure fragmentaire dû à la présence de matières organiques qui se développe sous couverts végétaux, généralement appauvri en minéraux (argiles, hydroxydes,…).
Ce type de sol est peu fertile, sauf avec un bon amendement.
™ Le sol hydro morphe
Il occupe les zones basses par rapport à l’ensemble du périmètre. Il présente une couleur grisâtre, résultant d’un excès d’eau presque permanente (terrains marécageux). Il nécessite un drainage efficace pour la bonne culture, et plutôt affecté à la riziculture et à la culture maraîchère.

Géologie :

Selon H. BESAIRIE, la Région ITASY appartient au système géologique D’ANDRIAMENA-MANAMPOTSY, dans le groupe d’AMBATOLAMPY, et dans la série d’ANTANANARIVO. Donc ces formations géologiques sont représentées par du micaschiste, du gneiss et de la migmatite. Ces formations montrent une disposition stratifiée, plus ou moins violemment plissées.
En effet, le socle cristallin malagasy a été élaboré et est modifié au cours de différents évènements géologiques tels que la succession de différentes orogenèses, les reprises métamorphiques et tectoniques, accompagnées de phénomènes de migmatisation et de granitisation.
Le site est constitué en majeur partie par du granite migmatitique et de migmatite granitoïde. Ces formations en particulier ont subi une très forte intensité de métamorphisme. On peut parler de roches de granitisation car elles manifestent des caractères granitiques avec leur texture plutôt massive et non gneissique.
Ces deux formations sont étroitement associées sur le terrain, elles possèdent des caractères très proches, tant sur leur composition chimique que sur leur structure. Ce sont des roches généralement leucocrates à foliation estompée et massive. Ces roches de granitisation sont indiquées par leur grande pauvreté en minéralisation.
Le gneiss et la migmatite font défauts, ils se retrouvent plus au sud du périmètre d’étude. Des filonnets de pegmatite et de filon de granite de type AMBATOMIRANTY pourraient recouper ces différentes formations.

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Table des matières

INTRODUCTION
I. RAPPEL DU CADRE JURIDIQUE DU PROJET
I.1. Cadre légal
I.2. Le Code Minier
I.3. La Charte de l’Environnement Malagasy
I.4. Le Décret MECIE
I.5. Les autres textes législatifs
II. MISE EN CONTEXTE DU PROJET
II.1 Présentation du promoteur
II.2 Contexte du projet
III. DESCRIPTION TECHNIQUE DU PROJET
III.1. PHASE PREPARATOIRE ET DE CONSTRUCTION
III.1.1. Voies d’accès
III.1.2. Base-vie
III.1.3. Gestion des déchets
III.1.4. Aire d’entretien des engins
III.2. PHASE DE RECHERCHE ET D’EXPLOITATION
III.2.1. Etapes de travail
III.2.1.1. Débroussaillage- décapage
III.2.1.2. Abattage des roches altérées
III.2.1.3. Extraction de blocs
III.2.1.4. Calibrage des blocs
III.2.1.5. Acheminement des produits
III.2.2. Ressources en eau
III.2.3. Ressources matérielles
III.2.4. Ressources humaines
III.2.5. Programme d’exploitation
III.3. PHASE DE FERMETURE
IV. DESCRIPTION DU MILIEU RECEPTEUR
IV.1. Délimitation de la zone d’étude
IV.2. Milieu physique
IV.2.1. Données climatiques
IV.2.2. Géomorphologie et paysage
IV.2.3. Pédologie
IV.2.4. Géologie
IV.2.5. Hydrologie et hydrogéologie
IV.3. Etude et description du milieu biologique de la zone
IV.3.1. Méthodologie
IV.3.2. Flore et végétation
IV.3.3. Faune
IV.4. Milieu humain et social
IV.4.1. Aperçu de la zone d’étude
IV.4.2. Population et démographie
IV.4.3. Economie
IV.4.3.1. Agriculture
IV.4.3.2. Elevage
IV.4.3.3. Les activités extra-agricoles
IV.4.4. Services sociaux
IV.4.4.1. Education
IV.4.4.2. Santé
IV.4.4.3. Sport et loisir
IV.4.4.4. Eau et assainissement
IV.4.5. Valeur culturelle
IV.4.5.1. Us et coutumes
IV.4.5.2. Religions et croyances
IV.4.6. Aspect foncier
V. IDENTIFICATION ET ANALYSE DES IMPACTS
V.1. Identification des impacts
V.2. Evaluation de l’importance des impacts
V.3. Identification des enjeux
V.4. Analyse des risques et des dangers
V.4.1. Description des risques d’accidents et de dangers
V.4.2. Proposition d’un plan de gestion des risques et dangers
VI. PROPOSITION DE MESURES D’ATTENUATION ET DE COMPENSATION
VI.1. PGEP PAR PHASE D’ACTIVITES :
VI.1.1. Phase préparatoire et d’installation
VI.1.2. Phase de recherche et d’exploitation
VI.1.3. Phase de fermeture :
VI.2. Programme de suivi et de contrôle
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIES

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