La description de l’internationalisation de l’Église catholique de France

La description de l’internationalisation de l’Église catholique de France

Définition du concept

Le dictionnaire Larousse définit l’internationalisation comme étant l’action d’internationaliser.
Il donne également trois autres définitions, la première étant l’intervention d’un État ou d’un organisme international dans les affaires intérieures d’un autre État, en raison des incidences internationales de celles-ci.
La deuxième définition étant le régime d’administration d’un territoire à l’échelle internationale(cas de Dantzig, de la Sarre autrefois) et la troisième définition est prise sous l’angle économique à savoir la stratégie qui conduit les entreprises à se développer à l’échelle internationale par le biais de filiales par exemple, afin de tirer parti des avantages offerts par les différents pays.
Cependant, le philosophe Guy Rocher, lui, définit l’internationalisation, en se référant aux échanges de diverses natures, économiques, politiques, culturels entre Nations, aux relations qui en résultent, pacifiques ou conflictuelles, de complémentarité ou de concurrence.
C’est sur cette base que je m’appuierai pour appréhender l’internationalisation dans l’Église catholique de France, dans la dimension des échanges sous diverses natures.
Il est impérieux de préciser que les mots « international » et « catholique » sont presque synonymes, « catholique » signifiant « universel ». Beaucoup de personnalités interviewées se posaient la question si la phrase « internationalisation de l’Église catholique est adaptée » .Ils le disaient surtout parce que l’essence même de l’Église catholique est universelle, partout dans le monde, pour tous et de ce fait, elle est internationale.
Je le concède, mais ce concept d’internationalisation de l’Église catholique de France que j’essaie de mettre en-avant est à prendre sous un angle purement politique.
Il s’agit de voir les différents échanges que l’Église catholique de France a vécus mais aussi les différentes pensées ayant influencé cette Église de France à notre époque contemporaine.
Quand on parle des missionnaires, spontanément, le commun des mortels aura tendance à penser aux prêtres français qui partent en mission en dehors de la France. Ils pensent peut-être moins aux prêtres des pays étrangers qui viennent en France pour diverses raisons.
Bien évidemment, on pensera notamment au départ des missionnaires des Églises occidentales vers d’autres horizons là où les nations vivaient en l’absence de la révélation chrétienne.
Je pense, cela peut paraître caricatural et avec un peu d’humour, à ces prêtres à longue barbe allant prêcher la Bonne Nouvelle à ceux qui ne la connaissaient pas, d’après eux, au fin fond de l’Amérique ou même de l’Afrique.
Force est de constater qu’à l’heure actuelle, c’est le mouvement inverse qui s’opère de manière un peu plus accrue. Le constat est que de plus en plus, ce sont les prêtres soit de l’Afrique, de l’Asie ou encore de l’Amérique qui viennent apporter la Bonne Nouvelle en occident. Je donnerai les différentes raisons qui ont amené à cette situation, un peu plus loin dans mon travail. Mais à l’heure actuelle, je veux me contenter de parler des prêtres dans l’Église catholique de France dans son ensemble.

Prêtres et Fidei Donum

Le 21 avril 1957,par son encyclique Fidei Donum le Pape Pie XII invite les évêques de vieilles chrétientés ayant de nombreux clergés à envoyer des prêtres diocésains en mission ailleurs en particulier en Afrique. Michel Dujarier définira les Fidei Donum comme des prêtres sans frontières qui permettent aux diocèses de s’ouvrir à la mission universelle et d’en donner des signes visibles.
Plus tard, il y aura un autre appel semblable pour envoyer des prêtres diocésains en Amérique Latine. Ces prêtres qui partent en mission pour annoncer l’évangile font des nouvelles rencontres de personnes de cultures différentes. Dès qu’ils retournent dans leur pays d’origine, ils rentrent changés par cette expérience.

Qui sont-ils ? (en terme de nombre)

Le nombre des prêtres catholiques en France a presque été divisé par deux en vingt ans, passant de 29000 (diocésains et religieux réunis) en 1995 à environ 15000 en 2015 . 10000 d’entre eux ont plus de 65 ans, 7000 plus de 75 ans.

Quelles sont les raisons qui font venir ces prêtres étrangers?

L’une des raisons est que l’Eglise catholique de France, de par son caractère universel est ouverte à des prêtres d’autres horizons.
Cet état de fait amène à des jumelages pour permettre des échanges inter-églises et au-delà entre deux cultures(la culture du pays qui a accueilli le prêtre, la France en l’occurrence et la culture du pays d’origine de ce dit prêtre).
Il faut noter que les pays francophones sont beaucoup représentés du fait de la langue française.
Une autre raison est que du fait de la pénurie réelle des prêtres dans les diocèses, les évêques ont décidé de solliciter les prêtres d’origine étrangère.
Les études en France constituent également une raison de la venue des prêtres étrangers dans l’Église catholique de France. Le temps pour ces études peut aller d’un an à plusieurs années.
Il y a ceux qui viennent aussi pour des raisons de santé et ceux qui viennent pour le tourisme carrément. Je tiens à mentionner aussi qu’il y a ceux qui viennent en France sans l’accord de leur évêque, ce qui n’est pas conforme aux normes.
A cela, s’ajoutent les conditions de vie plus attractives et paisibles. Dans le lot des prêtres étrangers qui viennent dans l’Église catholique de France, une particularité est qu’il y a un nombre non négligeable de jeunes prêtres(des prêtres n’ayant pas plus de 10 ans de sacerdoce).
Cela ne peut qu’être bénéfique pour l’Église catholique de France.
La politique mise sur pied en ce moment au niveau des évêques, c’est le partenariat et l’échange.
Ils regardent dans leur diocèse, les missions qui nécessitent la présence d’un prêtre étranger. En fonction du charisme de ce prêtre, ils font appel à lui pour remédier à cette mission.

Le désir d’accompagner

Force est de constater que ces prêtres arrivant dans un pays et dans une autre culture éprouvent des difficultés à s’acclimater. Ils sont confrontés aux difficultés de la langue française.
La cellule d’accueil créée au SNMUE recommande aux non francophones d’avoir un semestre et même une année pour apprendre le français.
Les problèmes administratifs sont aussi fréquents dans le quotidien de ces prêtres. Ils sont également confrontés à des problèmes de solitude, et surtout de choc culturel.
D’où la pertinence de la mise sur pied des rencontres de formation et d’accueil. Il faut donc pour eux, un minimum d’informations pour qu’ils arrivent à bien s’insérer dans la communauté et trouver des repères pour des relations harmonieuses avec ceux qui les accueillent. Mais cela ne suffit pas, il faut également un accompagnement dans la durée pour que ces prêtres arrivent à s’insérer dans la communauté qui les accueille.

Les religieux,religieuses et moniales

L’Église n’a pas que des prêtres, il y a aussi des religieux, religieuses ,des moines et des moniales et bien entendu des laïcs. Ici, je veux étudier cette internationalisation au niveau des religieux, des religieuses, des moines et des moniales.

Le tourisme comme un autre axe d’internationalisation de l’Église catholique de France

Une thématique qui est peu étudiée, cependant, le tourisme engendre de nombreux échanges dans l’Église catholique de France. Traditionnellement porté par les pèlerinages, il y a un développement en France du tourisme religieux.
Selon les chiffres publiés par l’Organisation mondiale du Tourisme, le tourisme religieux attire 20 millions des 90 millions de touristes en France. Cela représente 44% du tourisme culturel en France avec 50000 édifices religieux dont 10000 classés au patrimoine de l’UNESCO. Cela participe bien entendu cette internationalisation de l’Église catholique de France.
Parmi les sites touristiques importants qui participent à cette internationalisation de l’Église catholique, il y a Lourdes où la Vierge est apparue à Bernadette Soubirous dans la grotte de Masabielle.
C’est l’un des lieux religieux les plus fréquentés en France. En 2014, il y a eu 250 pèlerinages de nationalités diverses à Lourdes selon le sanctuaire NotreDame de Lourdes. En 2013, selon les chiffres fournis par l’Office du tourisme de Lourdes, il y a eu 6 millions de visiteurs qui sont venus à Lourdes dont plus de 57 % de visiteurs étrangers.
Parmi les plus représentés, les pays à tradition catholique sont en tête de liste notamment les Italiens avec 23 % des visiteurs suivis des Espagnols 7 % des visiteurs.
Il est important de signaler que ce sanctuaire attire deux catégories des pèlerins.
La première grande catégorie, ce sont des pèlerins qui viennent avec soit un diocèse, une congrégation, une paroisse ou une institution, ils sont entre 700 000 et 800 000 par an.
La seconde catégorie qui est difficile à estimer, ce sont ceux qui viennent par leurs propres moyens et visitent librement Lourdes d’autant plus que le sanctuaire est libre d’accès.
En raison de ce fort développement du tourisme, 173 hôtels, 9 résidences, 12 campings, 455lits en meublés, gites et chambres d’hôtes classées et labellisées et plus de 3000 lits en maisons religieuses permettent d’accueillir cet afflux des pèlerins. Lourdes est d’ailleurs après Paris, la ville ayant le plus d’hôtels en France. Un autre fait est à signaler: Toutes les nationalités sont attirées par ce site. Selon le sanctuaire Notre-Dame de Lourdes, par exemple, plusieurs milliers de familles tamoules viennent pour leur grande majorité de la région parisienne effectuer leur pèlerinage.

L’internationalisation de l’Église catholique de France dans les communautés

Ici, c’est l’aspect migratoire dans l’internationalisation de l’Église qui va être pris en compte. Je veux m’étendre sur des communautés -phare dans l’Église catholique de France, des communautés qui expliquent clairement cette internationalisation.
Je veux essayer de donner un historique de ces communautés en France et dans l’Église catholique de France.
L’Église catholique de France connaît une internationalisation à travers différentes communautés.
D’ailleurs, ces communautés ont leurs aumôneries en lien avec la CEF.
Je me permets donc de les énumérer: il y a l’aumônerie nationale des Africains, des Antillais Guyannais, des Bangladeshis, des Cambodgiens, des Croates, des Espagnols et Hispanophones, des Hmongs, des Hongrois, des Italiens, des Laotiens, des Malgaches, des Mauriciens,des Philippins,des Polonais,des Portugais, des Réunionais, des Slovaques, des Slovènes,des Sri-Lankais, des Tamouls indiens, des Vietnamiens.
Et la CEF à travers son service de la Pastorale des migrants détient également une coopération avec des communautés dans l’Église n’ayant pas des instances nationales. Je cite, les Allemands, les Anglophones, les Cap-Verdiens, les Chinois, les Coréens, les Haïtiens, les Irlandais, les Japonais, les Kabyles et les latino-Américains. Cependant, je veux examiner particulièrement le cas des Portugais, des Africains, les Vietnamiens et des Antillais.
Ce sont pour moi des communautés-phare, qui illustrent fortement cette internationalisation de l’Église catholique de France.

Bref historique de l’immigration portugaise en lien avec l’Église catholique de France

En ce qui concerne la communauté portugaise, dans son article sur l’Eglise de France et l’accueil des immigrés Portugais,Marie Christien Volovitch Tavares explique comment l’acceptation de cette communauté a évolué.
Dans le milieu des années 1960,les Portugais arrivèrent en France par dizaines de milliers et cela, chaque année.
Leur recrutement était souhaité, parfois même recommandé par des employeurs. Mais il n’y avait pas des conditions favorables pour les accueillir. La quasi totalité d’entre eux ne connaissaient pas clairement la France, le pays qui allait les accueillir. Au cours de la décennie 1965-1975, où il y avait une grande vague des immigrants Portugais en France, beaucoup étaient choqués par la précarité et la misère de ces personnes venant en France. Pendant ce temps, l’Eglise vivait intensément les évolutions du concile Vatican II. Les fidèles et les membres du clergé accueillirent de bonne façon et de manière massive ces migrants Portugais.
A cette période, il y a eu des Portugais sans passeport d’identité, il y a eu un accord de régulariser les Portugais en 1971.
Il faut signaler que la grande majorité des immigrants portugais qui arrivèrent dans les années 1960 et 1970 étaient des catholiques dont la pratique religieuse était bien plus fervente que celle des autres immigrés catholiques latins (Italiens ou Espagnols): « Il y a vingt ans, lorsque les travailleurs portugais et leurs familles arrivaient massivement en France, il aurait semblé vain de leur demander s’ils étaient catholiques.

La Communauté Africaine dans l’internationalisation de l’Église catholique de France

Dans la migration, les Africains ont eu une place importante dans l’Eglise catholique de France. On se souviendra des Algériens venant en France mais dans ces lignes, je parlerai un peu plus des pays d’Afrique subsaharienne.
Ces communautés ont commencé à prendre racine à partir de quelques prêtres ayant eu l’idée de se constituer en aumônerie.
Certes, l’Afrique est un continent mais la communauté africaine exprime quelque peu les pensées de toute cette communauté. Elle se constituait en une aumônerie.
Elle a été appelée: Aumônerie des communautés africaines. Certains prêtres ayant vécu en Afrique comme missionnaire ont initié cette aumônerie.
Leur idée était de faire transparaître le souci des travailleurs africains et des étudiants africains qui venaient en France. Cette initiative a débuté à la fin des années 70.
Leur grand travail était de construire des communautés.
Son grand objectif étant d’aider la communauté africaine vivant en France à bien vivre leur foi. Cette structure s’est donnée comme rôle de réunir les catholiques africains vivant en France en une communauté d’Eglise pour réfléchir et se donner des moyens d’actions pour être présents là où les hommes et les femmes souffrent et meurent.
Dans leur travail, ils faisaient attention à ce que ces catholiques vivent leur foi. Ceci ne pouvait se faire que dans la rencontre, le dialogue et l’action. La réalité est telle que c’est un espace qui permet aux catholiques africains de s’exprimer.
Partout où les catholiques africains se réunissent, la communauté Africaine encourage à ce que les africains soient des catholiques à part entière au sein de l’Eglise catholique de France.
Le souci c’est de faire en sorte que ces africains puissent avoir droit a u chapitre au sein de l’Eglise catholique de France. Ils usent souvent de cette parole «Africaines et Africains: vous êtes une part de l’Eglise qui est en France, et non une Eglise à part».
Il faut noter qu’à sa création, l’aumônerie des communautés africaines en France était menée par un bureau national composé des laïcs et d’un aumônier. C’est entre les années 1999-2000, qu’elle a pris une nouvelle orientation en se dotant d’un vrai conseil pastoral national.
Ce dernier est présidé par un aumônier national qui accompagne l’évolution de ces communautés africaines. En son sein, il y a un permanent qui assure un suivi des orientations pastorales et établit un lien avec la base des communautés ainsi que les différentes instances, les mouvements de l’Eglise et les services d’Eglise dont la Pastorale des migrants.
L’aumônerie a établi pour ce faire, un bulletin d’info dénommé «La Voix du TamTam». Celui-ci diffusait des nouvelles de ce que vivent les communautés africaines dans les diocèses où ils sont établis.

Les communautés antillaises dans l’internationalisation de l’Eglise catholique de France

Bref historique des Antillo-Guyanais

Les Antillo-Guyanais qui ont fait le voyage sont des Français immigrants, originaires des terres françaises depuis près de quatre siècles, ce ne sont pas des français d’origine étrangère.
Ils font partie d’un groupe socio-ethnique et culturel particulier dans l’ensemble national.
C’est pourquoi il me paraît très important d’insister sur ce point pour illustrer cette internationalisation de l’Église catholique de France. Pierre Pastel dans la revue « Alizés » a scindé ce groupe en quatre catégories :
-La catégorie des amenés, ce sont des créoles, qui, par la suite de la politique coloniale de la France, ont été ramenés des Antilles dans la France hexagonale pendant la période du commerce triangulaire.
-L’autre catégorie est celle des spontanés, des gens dits de «couleur, des bourgeois», mais pas exclusivement, qui viennent poursuivre leurs études dans la France hexagonale. Félix Eboué par exemple fait partie de cette catégorie. Il avait obtenu une bourse d’étude pour la métropole à Bordeaux plus précisément. C’est également le cas de Gaston Monnerville, lui aussi boursier en 1912, qui poursuivra ses études secondaires à Toulouse. Il sera de même pour Aimé Césaire en 1931, entré au Lycée Louis le Grand.
Partir, c’était pour beaucoup le grand saut définitif, le geste ultime pour parfaire enfin leur condition d’homme. Rejoindre la France, la France de Molière, c’était comme atteindre le ciel tant rêvé.
Dans cette catégorie des migrants spontanés , il y a beaucoup de mouvement, surtout dès les premières années de la départementalisation de ces vieilles colonies, des cadres moyens et supérieurs , mais aussi de certains intellectuels antillais, des militaires, des artistes et des volontaires, bref un long mouvement des personnes de toutes sortes notamment des personnes issues de la classe sociale bien modeste.

La communauté de Taizé dans l’internationalisation de l’Eglise catholique de France

La communauté de Taizé est une communauté monastique chrétienne oecuménique basée à Taizé en France. Fondée en 1940 par le frère Roger Schultz, un suisse.
Elle rassemble une centaine de frères venant du monde entier et ayant choisi de vivre ensemble une vie de prière et de célibat dans la simplicité.
Dès les années 1940, des contacts étroits sont noués avec des laïcs et des religieux catholiques.
En 1964, les autorités catholiques donnent un accord à leurs fidèles d’user de la prière faite par la communauté de Taizé.
Cette communauté a institué de nombreuses rencontres internationales où des jeunes du monde entier se rencontrent pour échanger dans des carrefours. Les carrefours sont des temps d’échange sur un thème spécifique.
Il y a des sujets de société, des questions de foi et les échanges culturels.
Ces carrefours sont souvent présentés par des personnes expertes dans le domaine.
Le frère qui coordonne la communauté, encourage souvent les jeunes à être plus ouverts sur le monde et à être acteurs dans le monde de manière générale.
Cette ouverture d’esprit que recommande le frère coordonnateur de la communauté de Taizé doit se faire non seulement dans les églises locales mais aussi dans le monde.
Dans les années 60, la communauté Taizé accueille des milliers de jeunes du mondeentier pour prier et méditer. A la fin des années soixante, et surtout après les mouvements de mai 1968, de nombreux jeunes viennent à Taizé.
Cette communauté développe une approche de convivialité de telle sorte que les jeunes viennent en aide à d’autres jeunes.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I :La description de l’internationalisation de l’Église catholique de France
Chapitre I. Définition du concept
Chapitre II. Prêtres et Fidei Donum
Section II.1 Qui sont-ils?(en terme de nombre)
Section II.2 Evolution dans le temps
Section II.3 Quelles sont les raisons qui font venir ces prêtres étrangers?
Section II.4 Le désir d’accompagner
Section II.5 Chance
Chapitre III. Les religieux,religieuses et moniales
Chapitre IV. Le tourisme comme un autre axe d’internationalisation de l’Église catholique de France
Chapitre V. L’internationalisation de l’Église catholique de France dans les communautés
Chapitre VI. Bref historique de l’immigration portugaise en lien avec l’Église catholique de France
Chapitre VII. La Communauté Africaine dans l’internationalisation de l’Église catholique de France
Chapitre VIII. Les communautés antillaises dans l’internationalisation de l’Eglise catholique de France
Section VIII.1 Brefhistorique des antillo-Guyanais
Section VIII.2 Evolution de cette communauté
Section VIII.3 Spécificité de la pratique antillaise dans l’Église catholique de France
Section VIII.4 En pleine Églisecatholique de France
Chapitre IX. Lacommunauté vietnamiennedans l’Église catholique de France comme objet
d’internationalisation avec sa spécificité culturelle
Chapitre X. La communauté de Taizé dans l’internationalisation de l’Eglise catholique de France
Chapitre XI. Influence de la théologie de la libération
Chapitre XII. Les Journées mondiales de la Jeunesse (JMJ)
Chapitre XIII. La nouvelle évangélisation dans l’internationalisation de l’Églisecatholique de France
Chapitre XIV. Les influences des revues
Chapitre XV. L’Église d’Orient
Chapitre XVI. Les jumelages
Partie II. Les organisations catholiques de solidarité internationale,comme leviers d’internationalisation de l’Église catholique de France
Chapitre I. Histoire et évolution du CCFD
Section I.1 Tout part de la FAO
Section I.2.L’idée de fédérer
Section I.3.Contexte de la création du «CCCF-CCFD
Section I.4 Les difficultés du contexte
Section I.5 Tensions
Chapitre II. Le Secours Catholique
Chapitre III. Une différence et une similitude de vision internationale au sein de deux
«structures-phare» de l’Eglise catholique de France (CCFD-Secours Catholique)
Chapitre IV.La Délégation catholique pour la coopération(DCC) comme objet d’internationalisation de l’Eglise catholique de France
Chapitre V . FIDESCO
Chapitre VI. L’internationalisation dans les actions concrètes, cas d’un laïc emblématique pris en exemple
Partie III. Aspectanalytique de l’internationalisation de l’Églisecatholique de France
Chapitre I. Généralités
Chapitre II. L’étranger
Chapitre III. Les principales tendances
Chapitre IV . Des interventions de l’Église catholique fortement orientées
Chapitre V. L’apport des organisations non gouvernementales à obédience catholique dans l’acceptation des étrangers
Chapitre VI. Un tournant décisif
Chapitre VII. La position missionnaire de l’Église catholique de France
Partie IV.Acceptation des étrangers
Chapitre I. Mise en garde
Chapitre II. Prise en main d’une directive
Chapitre III. Émergencede plusieurs attitudes au sein de l’Église catholique de France
Chapitre IV. L’accueil au centre de l’internationalisation de l’Eglise catholique de France
Chapitre V. Une campagne à tous pour tous
Chapitre VI Lourdes 1997
Chapitre VII.La distance entre rejet et acceptation des étrangers
Chapitre VIII. Comment comprendre ces réponses?
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGES DE REFERENCE
ARTICLES DES REVUES
WEBOGRAPHIE
ANNEXES

Rapport PFE, mémoire et thèse PDFTélécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *