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Les enjeux de la libéralisation des échanges :
Définition et bref historique de la libéralisation des échanges :
Définition :
La libéralisation des échanges peut être définie comme un processus de favoriser les commerces extérieur entre les pays développés et même pour les pays en voie de développement qu’ont des avantages par la réduction de droit de douane. (ALAIN DEPPE)
Selon ALBERTIN et SILEM, 2004 : « la libéralisation des échange peut être définie comme la mise en œuvre de toutes les mesures visant à favoriser les échanges4 commerciaux ».
Elle est considérée comme le moteur de la mondialisation en admettant la politique de soutien de l’exportation et toutes les transactions sur l’opération d’achat et de vente des produits et services à l’étranger. La progression d’échanges internationaux permet d’apporter la croissance économique et de réduire la pauvreté dans un pays. Cependant, il existe des obstacles (adversaire) qui empêchent la succès des échanges comme : le chômage, les inégalités de salaire, pays à revenu faible, l’augmentation de la pauvreté et la dégradation de l’environnement. Par contre, elle a pour avantage sur le gain de productivité et la croissance économique comme dans les pays émergents : Chine, Inde, Malaisie,… (WILHELM, 2008)
Les échanges commerciaux peut se mesurer par le taux de croissance du PIB/tête (revenue/tête) qu’il en augmenté par l’augmentation du demande intérieur.
Véritablement, le terme libre échange et la libéralisation des échanges ne sont pas identiques. La première est directement à la suppression des droits de douane à l’abondant toutes les mesure conclus par le protectionnisme (classique).
Bref historique de libéralisation des échanges :
Après la seconde guerre mondiale, les échanges internationaux entrés dans le vif de la croissance économique et à partir du 18ème siècle, l’activité économique se développe.
Avant la révolution industriel ; les échanges sont limités, c’est-à-dire que la progression du commerce est lente qui ne touche qu’à l’économie national. La communication entre les pays est insuffisant, en plus le marché subir des plusieurs droit et taxe pour s’en sortir vers l’étranger. Donc, la situation économique du PED est bouleversée, l’économie nationale est basée sur le secteur agricole qui ne permet de servir et de satisfaire les besoins de la population. Cela dure jusqu’au 18ème siècle. Alors, la croissance du commerce est très faible par rapport à la production. (NATHAN ,1984)
A partir de ce période, les échanges internationaux et le commerce extérieur nés et elles occupent des places importantes au sein de la mondialisation par l’accroissement de la production et la technique d’industrialisation. Elle débute au pays atlantique, Nantes et bordereaux par le commerce colonial et la traite des esclaves.
Après la révolution industrielle qui détruit l’industrie, l’agriculture, la population, les transports et le commerce c’est-à-dire début le 19ème siècle ; le régime protectionniste se manifeste : le grande Bretagne protéger son commerce des grains, de propriétaire foncière par la mise en place de législation. En France, les produits industriels et agricoles sont taxés, les Etas-Uni protège des industries naissante et d’imposer des droit pour avoir de recette publiques. (ALAIN DEPPE) Cependant, ce protectionnisme est limité par ce que le technique d’augmentation des droits et taxes ne sont pas favorable au développement surtout dans les pays en voie de développement qui sont subir de difficulté au domaine du commerce internationale.
Le développement des échanges internationaux est conclus par des plusieurs accords comme les accords de « bretton-woods » en 1944, sur le système monétaire, l’accord du GATT (1948) sur les tarifs douaniers et le commerce. D’après ces accords, on constate que l’évolution de commerce mondiale multiplie par 100 en valeur.
Analyse théorique des échanges internationaux :
Plusieurs économistes apportent leurs idées et de justification concernant l’échanges internationaux comme les mercantilistes, les classiques et les néoclassiques.
Les mercantilistes :
Entre les 16ème siècles et le milieu du 18ème siècle ; le courant mercantiliste dominé par la pensée économique européenne (la France, Espagne, et Angleterre). (COURS MACROECONOMIE)
Pour le Français qui s’inspire par Antoine de Montchcretien (1575 – 1621), il affirme que le facteur de la richesse d’une nation est tourné vers l’industrialisation et aussi l’intervention de l’Etat au niveau de l’activité économique.
Pour le mercantilisme espagnole : préconise que la richesse résulte par l’accumulation des métaux précieux (l’or et argent) c’est-à-dire qu’il faut augmenter le stock d’or. Par contre, Jean Boudin critique cette théorie que cette idée est fausse parce que l’excédent de la monnaie entraine une inflation, donc la thésaurisation de l’or et de l’argent n’est pas efficace à l’économie. (MANDRARA, 2010)
Selon l’approche anglaise par William Petty (1623-1685), l’accroissement de la richesse provient du développement de commerce international. Pour lui, il faut donc limiter les importations et augmenter les exportations pour équilibrer le marché en diminuer le taux d’intérêt pour favoriser l’investissement
Les classiques : (MANDRARA, 2010)
La théorie de l’avantage absolue :
Elle a été adoptée par Adam Smith, le père de l’économie politique qui s’explique que les pays doivent se spécialiser dans un secteur de production et des exportations vers l’étranger qui leur permettrait de renforcer la croissance économique et d’augmenter le gains de productivité avec minimum de cout de production par lequel il bénéficie d’un avantage absolue parmi les autres pays au niveau du marché internationale. Ceci est grâce à la division internationale du travail.
La théorie de l’avantage comparative :
Elle a été inspirée par David Ricardo : « principe de l’économie politique et l’impôt » (1817), en expliquant le processus de la production pour avoir l’avantage comparatif d’un pays au niveau de l’échange extérieur. Il préconise que tous les pays doivent rentrés dans le jeu du commerce en se spécialisant la production où ils perçoivent d’avantage. Par exemple deux pays X et Y : les biens produit par les deux pays sont de drap et d’alcool. Supposant que le pays X peut produire de 200 mètre de drap par heure et de 50 litre d’alcool. En revanche, le pays Y peut produire 250 mètre de drap et 40 litre d’alcool dans une heure de travail, alors, le pays Y possède un avantage comparatif pour le drap et le pays X possède un avantage pour l’alcool. Donc, les deux pays sont avoir le bénéfice s’ils sont commercés c’est-à-dire que le pays X vendant son alcool contre le drap du pays Y.
D’après David Ricardo, l’avantage absolue se mesurer par l’augmentation de la quantité des biens produit en minimum de cout pour s’assurer le marché au niveau des échanges commerciaux.
Les Néoclassiques :
Le théorème de HOS (Hecksher-Olhin-Samuelson) :
Ce modèle vise à expliquer la théorie de cout au 20ème siècle analysant la différence des couts comparatif entre les pays qui est mesuré par les écarts de productivité par le facteur travail. Ils expliquent l’échange internationaux par l’abondance ou la rareté des facteurs de production dont les pays sont dotés parce que à partir de l’abondance ou la rareté de ces facteurs permet de comparer la différence des couts entre deux pays. Les pays doivent spécialisés dans la production par l’utilisation maximum de leurs facteur de production pour qu’ils ont d’avantage en exporter leurs produits vers l’extérieur et d’importer des biens affirmant des facteurs de production.
On prend par exemple ; un pays était fortement en capitale et insuffisant de terre à cultiver, et un d’autre pays était le cas contraire ; selon HOS, le premier doit spécialiser sur le secteur agricole et l’autre doit produire de biens manufacturé. Donc, l’économie doit spécialiser l’activité qui utilise au maximum les facteurs de production.
Le paradox de Leontieff :
Wassily Leontieff est un économiste d’origine Russe émigré aux Etat-Uni, auteur du tableau d’entrés-sortis. Il vérifie le modèle néoclassique à propos du commerce extérieur des Etat-Uni qui est considérer comme des pays à fortement en capitale et de taux de production de travail plus élevés.
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Table des matières
Introduction
PREMIERE PARTIE : CADRAGE THEORIQUE
CHAPITRE I : NOTION SUR LE DEVELOPPEMENT ET COMMERCE INTERNATIONAL
I- DEVELOPPEMENT ET SOUS-DEVELOPPEMENT
1- LE DEVELOPPEMENT
2- LE SOUS-DEVELOPPEMENT
II- LES ENJEUX DE LA LIBERALISATION DES ECHANGES
1- DEFINITION ET BREFHISTOIRE DE LA LIB2RALISATION DES ECHANGES
2- ANALYSE THEORIQUE DES ECHANGES INTERNATIONAUX
CHAPITRE II : LES POLITIQUES DE DEVELOPPEMENT
I- LE DEVELOPPEMENT AUTOCENTRE
1- L’INDUSTRIALISATION PAR SUBSTITUTION QUX IMPORTATIONS
2- LES INDUSTRIES INDUSTRIALISANTES
3- L’ARGUMENT DE L’INDUSTRIE NAISSANCE
4- ECHEC D’ISI
II- LE DEVELOPPEMENT EXTRAVERTI
1- L’EXPOETATION DES PRODUITS PRIMAIRES
2- LA PROMOTION DES EXPORTATIONS
3- AVANTAGE DES EXPORTATIONS
CHAPITRE III : NOTION SUR LE DEVELOPPEMENT ET COMMERCE INTERNATIONAL
I- LA SITUATION ECONOMIQUE ET COMMERCIALE A MADAGASCAR
1- POLITIQUE ECONOMIQUE
2- POLITIQUE COMMERCIAL
II- LA DEPRECIATION DE « L’ARIARY » SUR LE COMMERCE INTERNATIONALE
1- POLITIQUE DE CHANGE
2- RELATION ENTRE TAUX DE CHANGE ET LE COMMERCE INTERNATIONALE
3- LE REGIME DE CHANGE A MADAGASCAR
CHAPITRE IV : OPPORTUNITES ET INCONVENIENTS DU COMMERCE INTERNATIONALE A MADAGASCAR
I- LES OPPORTUNITES
1- RELATION MULTILATERALE ET BILATERALE
2- INTEGRATION REGIONALE
II- INCONVENIENTS DE LA LIBERALISATION DES ECHANGES
1- LA DOMINATION DU PAYS DEVELOPPE
2- LE DESEQUILIBRE AU NIVEAU DE L’ECHANGE
3- LE DEVELOPPEMENT DES FIRMES MULTINATIONALES
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES
RESUME
