Vérification des corrélations entre l’humeur et le fonctionnement cognitif

Vérification des corrélations entre l’humeur et le fonctionnement cognitif

Selon les statistiques démographiques, la majorité des pays occidentaux voit sa population vieillir rapidement (Gouvernement du Canada, 2010). Le vieillissement de la population implique un accroissement du nombre de personnes atteintes de diverses pathologies démentielles d’étiologies variées, telles que la démence d’Alzheimer, la maladie de Pick, les démences vasculaires, etc. (Gouvernement du Canada, 2010). L’évolution neuropsychopathologique de ces maladies, qui implique une perturbation du fonctionnement cognitif, a fait l’objet de plusieurs travaux afin de mieux en décrire les aspects essentiels et l’évolution. Dans ce contexte de détérioration évolutive progressive du fonctionnement cognitif avec l’âge chez certaines personnes, Petersen, Smith, Waring, Ivnik, Tangalos et Kokmen (1999) introduisent le concept de «mild cognitive impairment » ou encore « d’altération cognitive légère » (ACL). Ce concept de pathologie descriptive fait référence à une période bien précise. Elle débute lorsqu’un déclin du fonctionnement cognitif normal est observé (d’un point de vue psychométrique selon l’âge et la scolarisation) et se termine au moment où le diagnostic d’une démence proprement dite sans égard à son origine étiologique est posé (Petersen et al., 1999). Plus spécifiquement, selon Lopez et al. (2006), le concept d’ACL est utilisé afin de décrire un état neuropsychopathologique chez des personnes âgées de 60 ans et plus (Organisation mondiale de la santé, 2012) qui se caractérise par des perturbations cognitives, souvent des troubles de mémoire, dont l’insuffisante sévérité ne permet pas un diagnostic de démence tel que la maladie d’Alzheimer, par exemple, et la personne ne montre pas d’altération des activités de la vie quotidienne. Selon Decarli (2003), la prévalence des ACL fluctuerait entre 3 % et 20 % de la population âgée. L’évolution d’une ACL peut se manifester selon trois typologies évolutives. Une première considère que la personne atteinte puisse revenir à un niveau de fonctionnement cognitif normal en tenant compte de son âge et de sa scolarité; dans ce cas l’ACL est transitoire puisque suivie d’une récupération spontanée. Une seconde considère la stabilisation de l’état cognitif altéré de la personne, indiquant l’état d’ACL, durant plusieurs années. Ici l’état cognitif est chroniquement altéré, mais sans détérioration progressive marquée. Une troisième se caractérise par une situation d’ACL à laquelle s’ajoute une détérioration cognitive progressive jusqu’à ce qu’elle atteigne les critères diagnostiques essentiels sous une forme ou une autre de démence. Selon la revue des écrits scientifiques réalisée par Busse, Bischkopf, Riedel-Heller et Angermeyer (2003), les ACL sont associées à l’accroissement du risque de développer une démence, particulièrement de type Alzheimer. Effectivement, toujours selon cette même étude, l’évolution d’une ACL, parmi les personnes qui en manifestent les symptômes, vers la maladie d’Alzheimer est estimée à environ 10 % à 15 % par année alors que cette évolution est de 1 % à 2 % dans la population générale. Ces trois tangentes distinctes de l’évolution possible d’une ACL provoquent une controverse dans le milieu scientifique. En effet, certains auteurs considèrent les ACL comme une entité diagnostique spécifique (Petersen & Morris, 2005) et d’autres auteurs plutôt comme un prodrome à des maladies démentielles (Gauthier & Touchon, 2005).

Dans un autre ordre d’idées, Yetkin, Rosenberg, Weiner, Purdy & Cullum (2006) ont observé, auprès d’un groupe de personnes avec ACL, un accroissement de l’activité physiologique des régions cérébrales désignées comme étant impliquées dans le fonctionnement de la mémoire de travail (MdT). Cette augmentation de l’activité physiologique, toujours selon Yetkin et al. (2006), serait le reflet d’un processus de réorganisation, attribuable au déclin général du fonctionnement, mais possiblement aussi attribuable à un déclin de l’efficience de la MdT. Or, celle-ci réfère à la capacité d’emmagasinage temporaire et à la manipulation de l’information durant une très courte période (Belleville, Peretz, & Malenfant, 1996; Baddeley, 2003). La MdT semble être une composante essentielle dans les processus cognitifs de haut niveau comme la prise de décision, le raisonnement, la résolution de problème, l’apprentissage et le langage (Smith & Jonides, 1998). De ce fait, la formulation d’une « théorie de l’esprit » (TdE), peut être considérée parmi les processus cognitifs les plus complexes chez l’humain et faisant appel à la capacité d’inférer un ensemble d’états mentaux (p. ex., croyances, désirs, intentions, imaginations, émotions) aux autres et à soi-même (Baron-Cohen, 2000), et selon Oberauer (2005) serait fortement reliée au fonctionnement normatif de la MdT ainsi qu’à d’autres fonctions (p. ex., fonctions executives).

Plusieurs études ont évalué la TdE chez des personnes ayant la maladie d’Alzheimer, et plusieurs autres ont évalué la MdT ou encore la mémoire sémantique chez une population de personnes avec ACL, mais peu ont évalué la MdT de même que son implication sur des tâches de TdE auprès de personnes avec une ACL (Baglio et al., 2012; Kemp, Després, Sellai, & Dufour, 2012). Cette étude, de type exploratoire, se propose donc d’évaluer l’implication de la MdT, lors de tâches dites de TdE selon différents niveaux de complexité auprès de personnes sans et avec ACL. Cette méthodologie permettrait d’observer l’effet d’une altération du traitement de l’information en MdT lors de ce type particulier de tâche cognitive, soit la génération d’inférences relevant de la TdE. D’autre part, l’étude de la capacité de produire des inferences de type TdE permettrait aux proches et au personnel soignant de mieux comprendre certaines perturbations des comportements sociaux observées auprès de personnes avec une ACL chez qui une altération de la mémoire de travail est observable.

Altération cognitive légère 

Historique et évolution du concept des altérations cognitives légères 

Depuis 1960, plusieurs termes ont été utilisés afin de décrire ce concept et cet état caractérisé par le début de perturbations cognitives chez une personne âgée pouvant se terminer par l’établissement d’une démence formellement diagnostiquée. Tout d’abord, Kral (1962) a été le premier à utiliser une terminologie spécifique afin de qualifier cet état cognitif d’« oubli bénin du vieillissement » (benign senescent forgetfulness). En 1986, le National Institute of Mental Health (NIMH), aux États-Unis, propose comme descriptif « altération de la mémoire en fonction de l’âge » (traduction libre de age-associated memory impairment) (Crook et al., 1986). Par la suite, le terme « perte de mémoire du vieil âge » (late-life forgetfulness) été proposé par Blackford et Larue en 1989. Le descriptif « déclin cognitif en fonction du vieillissement » est par la suite proposé par l’International Psychogeriatric Association (Levy, 1994). Aussi, en 1994, F American Psychological Association propose de qualifier cet état d’« altération cognitive en fonction du vieillissement » (age-related cognitive decline) ainsi que « léger déclin neurocognitif » (mild cognitive decline). Quelques années plus tard, en 1997, la Canadian Study of Health and Aging propose le descriptif de « déclin cognitif sans démence » (cognitive impairment-no dementia) (Graham et al., 1997). Enfin, en 1999, Petersen, Smith, Waring, Ivnik, Tangalos et Kokmen proposent « altération cognitive légère » (ACL; de l’anglais mild cognitive impairment) qui est le descriptif le plus utilisé aujourd’hui pour caractériser la période entre la fin du fonctionnement cognitif normatif selon l’âge et la démence proprement dite sans égard à l’étiologie. Ce descriptif sera utilisé tout au long de cet essai. Kavé & Heinik (2004) ajoutent que le concept d’ACL décrit les troubles cognitifs d’une personne lorsque ces troubles ne satisfont pas les critères diagnostiques d’une démence et cela, le plus souvent en raison d’un fonctionnement intellectuel général préservé, mesure obtenue lors d’une évaluation avec un instrument reconnu qui permet d’évaluer le fonctionnement intellectuel, mais qui n’évalue pas spécifiquement les fonctions mnésiques et executives. De plus, aucun déficit substantiel des activités de la vie quotidienne (AVQ) ou des activités de la vie domestique (AVD) n’est observé chez les personnes qui présentent une ACL .

Aujourd’hui encore, le diagnostic d’ACL fait l’objet d’une controverse importante. Cette controverse concerne principalement l’absence de consensus entourant à la fois ses caractéristiques fondamentales, sa définition formelle et ses critères diagnostiques essentiels. Elle divise la communauté scientifique selon trois conceptions. La première supportée par Dubois et Albert (2004), Gauthier et al. (2006) de même que Lambon Ralph, Patterson, Graham, Dawson et Hodges (2003) suggèrent que les ACL sont en fait des prodromes de la maladie d’Alzheimer, en somme l’équivalent d’un stade très précoce de la maladie. Lambon Ralph et ses collaborateurs (2003) ajoutent que les ACL et la maladie d’Alzheimer sont en fait deux points d’un même continuum et que la détérioration d’une ACL conduit, dans la majorité des cas, à la maladie d’Alzheimer.

La seconde conception propose que l’ACL soit une entité diagnostique en ellemême et que son évolution puisse prendre plusieurs formes et non pas seulement celle de l’évolution vers la maladie d’Alzheimer. Elle est supportée par Petersen (2004) de même que par Petersen et Knopman (2006). Cette seconde conception avance que l’ACL peut évoluer, par exemple, vers une maladie d’Alzheimer, se stabiliser ou régresser de manière telle que la personne retourne à un fonctionnement cognitif normal. La troisième et dernière conception, proposée par Visser et Brodaty (2006), concerne la notion même d’ACL. Elle suggère que l’ACL est un concept à la fois flou et ambigu dont les preuves empiriques de son existence ne sont pas clairement observées. Malgré cette dernière conception très critique de la réalité de l’entité diagnostique en elle-même, Petersen et al. (2001) mentionnent que l’ACL est un concept de plus en plus reconnu dans la communauté scientifique impliquée et cela, malgré l’ambiguïté même de sa définition .

Critères diagnostiques suggérés de Valtération cognitive légère et typologie 

En premier lieu, Busse et ses collègues (2003) mentionnent, comme évoqué plus haut, qu’il n’existe pas de consensus concernant les critères diagnostiques de l’ACL. Les premières observations cliniques conduisant au développement du concept d’ACL concernaient les plaintes de perturbations cognitives exprimées par les patients euxmêmes ou encore d’une personne de l’entourage (Purser, Fillenbaum, & Wallace, 2006). À l’origine, les travaux effectués auprès des personnes ayant une ACL étaient surtout axés sur les troubles de la mémoire à court terme et à long terme et la plupart, voire l’ensemble des ACL diagnostiquées, étaient de type amnésique simple (voir Figure 1 pour les différents types d’ACL selon Winblad, [2004]).

Prévalence, formes et évolution des ACL 

Selon Dawe et Procter (1998), la prévalence des ACL varie en fonction des différents critères diagnostiques appliqués. En élargissant le concept d’ACL à l’ensemble des altérations cognitives possibles, comme Winblad (2004) et ses collègues le suggèrent, le concept d’ACL passe d’une prévalence de 3,7 % à 23,8 % chez une population âgée de 75 à 76 ans, selon ce qui est rapporté dans l’étude de Jungwirth et al. (2005). De plus, comme il en a été mention lors de l’introduction, Decarli (2003) a relevé dans les écrits scientifiques que la prévalence fluctue entre 3 % et 20 % chez une population âgée, en fonction de la définition de l’ACL appliquée.

Comme évoqué plus haut, l’évolution d’une ACL peut prendre trois grandes orientations. La première est, somme toute, le retour à un fonctionnement cognitif normal. Selon Larrieu et al. (2002), entre 26 % et 32 % des personnes ayant reçu un diagnostic d’ACL ne présenteraient plus aucune altération cognitive à la suite d’un suivi de un an à cinq ans. Selon ces auteurs, ce retour à la norme serait le résultat d’un mauvais diagnostic, c’est-à-dire qu’une personne aurait été diagnostiquée avec une ACL alors qu’elle souffrait en réalité de dépression. En effet, une altération transitoire du fonctionnement cognitif est souvent rapportée comme étant un symptôme important lors de périodes dépressives chez les personnes âgées, altération pouvant varier de légère à sévère. Il est donc possible que certaines personnes âgées aient reçu un diagnostic d’ACL, mais souffraient en fait d’une dépression avec altération cognitive transitoire. Une fois la dépression traitée efficacement, les déficits cognitifs s’estompent .

La deuxième forme d’évolution d’une ACL est la stabilisation à long terme de l’état cognitif du patient, à ce stade légèrement altérée (Tierney et al., 1996). Il semble donc que cette forme serait l’essence même d’une pathologie distincte, qui serait stable, mais avec une chronicité des déficits cognitifs. Cependant, les travaux de recherche concernant cet aspect ne sont pas suffisamment avancés pour permettre une conclusion définitive .

La troisième forme concerne la détérioration du fonctionnement cognitif conduisant à une démence. Effectivement, selon Busse et al. (2003), les ACL sont associées à l’augmentation du risque de développer une démence. De plus, selon la revue des écrits scientifiques réalisée par Davis et Rockwood (2004), plusieurs études ont démontré l’accroissement du taux de maladie d’Alzheimer chez les personnes ayant une ACL comparativement à des individus n’ayant aucune ACL. Effectivement, l’évolution d’une ACL vers la maladie d’Alzheimer est d’environ 10% à 15% par année, par rapport à une incidence annuelle de 1 % à 2 % chez les personnes sans ACL (Shah, Tangalos, & Petersen, 2000). Selon les études menées par Petersen et Morris (2003), 80 % des personnes ayant une ACL développent une démence au cours des six années suivant le diagnostic, ce qui en fait une population à très haut risque de conversion démentielle. Donc, peu importe le type d’évolution, les ACL demeurent un concept important et pertinent qui mérite d’être étudié.

La mémoire de travail (MdT) 

La documentation scientifique consultée indique que la mémoire de travail (MdT) était elle aussi altérée dans les stades très précoces de la maladie d’Alzheimer (Belleville et al., 1996 ; Yetkin et al., 2006). Considérant que certains auteurs (Dubois & Albert, 2004; Lambon Ralph, Patterson, Graham, Dawson, & Hodges, 2003) affirment que les stades très précoces de la maladie d’Alzheimer et les ACL correspondent en fait à une période transitoire commune, la MdT peut être dans ce cas altérée chez des personnes ayant une ACL. Selon Belleville (1996) et ses collègues, la MdT permet l’emmagasinage temporaire et le traitement de l’information durant une très courte période. On peut définir par courte période une durée de rétention d’environ 1 à 2 secondes, mais l’information peut être réintroduite et maintenue à l’aide de mécanismes selon le modèle classique de Baddeley (1992). Ces mécanismes sont la récapitulation de nature spatiale, pour la tablette visuospatiale et la boucle articulatoire (contenu phonologique). C’est en 1974 que Baddeley a élaboré un modèle heuristique de la MdT se divisant en trois composantes (voir Figure 2). La première composante est un système principal nommé « administrateur central ». Les deux autres composantes sont des systèmes esclaves nommés tablette visuospatiale et boucle phonologique (Baddeley, Bressi, Delia Sala, Logie, & Spinier, 1991).

Théorie de l’esprit 

Présentation et définition générale de la théorie de l’esprit 

La théorie de l’esprit (TdE) est considérée essentiellement comme la capacité d’inférer un ensemble d’états mentaux (p. ex., croyances, désirs, intentions, imaginations, émotions) aux autres et à soi-même (Baron-Cohen, Leslie, & Frith, 1985). En fait, lorsqu’une personne a accès aux processus cognitifs, quels qu’ils soient, permettant l’élaboration d’une TdE, elle est alors en mesure d’inférer l’état psychologique d’une autre personne. De plus, une personne possédant les habiletés cognitives qui lui permettent l’accès à l’élaboration d’inférences de type TdE est aussi en mesure de faire abstraction de certaines informations qu’elle dispose afin de se « mettre à la place » d’autrui tout en sachant qu’elle possède des informations que l’autre ignore. L’attribution d’états mentaux à autrui permet d’améliorer la compréhension des comportements humains et permet ainsi une meilleure adaptation sociale (Adolphs, 2001 et Baron-Cohen, Ring, Bullmore, Wheelwright, Ashwin, & Williams, 2000).

Conclusion

En somme, cette étude avait pour objectif de vérifier l’implication de la MdT sur des tâches de TdE chez une population âgée ayant une ACL. Le contexte théorique avait permis de faire ressortir trois hypothèses de recherche pour lesquelles l’expérimentation a tenté d’apporter des réponses. La première hypothèse stipulait que les personnes avec une ACL démontreraient une faiblesse du fonctionnement de la MdT comparativement à la norme de test appropriée. La seconde mentionnait que les personnes avec ACL, comparativement aux personnes sans ACL, démontreraient une faiblesse du fonctionnement de la MdT, et la troisième avançait que les personnes avec une ACL, comparativement aux personnes sans ACL, obtiendraient des résultats inférieurs aux tâches de TdE .

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Table des matières

Problématique 
Contexte théorique 
Altération cognitive légère
Historique et évolution du concept des altérations cognitives légères
Critères diagnostiques suggérés de l’altération cognitive légère et typologie
Prévalence, formes et évolution des ACL
La mémoire de travail (MdT)
Théorie de l’esprit
Présentation et définition générale de la théorie de l’esprit
Théories sur le développement de la TdE et le système neurocognitif
Théorie modulaire
Théorie de la simulation
Théorie du développement
Théorie basée sur le fonctionnement exécutif
Relations entre les ACL, la MdT et la capacité d’inférence de type TdE
Hypothèses de recherche
Méthode 
Participants
Instruments de mesure et variables considérées
Le questionnaire sociodémographique
Le Montreal Cognitive Assessment (MoCA)
Évaluation de la « théorie de l’esprit » (TdE)
Test de détection des fausses croyances de premier ordre
Test de reconnaissance des émotions par l’expression faciale (PoFA)
Test de détection des fausses croyances de second ordre
Autres variables en lien avec l’évaluation de la TdE
Évaluation de la mémoire de travail (MdT)
Évaluation des variables confondantes
La dépression gériatrique
L’estimation du fonctionnement intellectuel
La motricité
Autres aspects
Procédures et déroulement
Procédures
Déroulement de l’expérimentation
Résultats 
Première section
Schemes de recherche et description des méthodes d’analyse
Scheme de recherche
Méthodes d’analyse des données
Deuxième section
Caractéristiques sociodémographiques
Troisième section
Vérification des scores obtenus par le groupe contrôle sur les différents
tests de MdT en fonction des normes attendues selon l’âge
Vérification de l’équivalence des groupes comparés sur les scores de
dépression et de l’estimation du fonctionnement intellectuel
Vérification des corrélations entre le fonctionnement intellectuel estimé
par les matrices de Raven et le MoCA, les variables MdT et les variables
TdE
Vérification des corrélations entre l’humeur et le fonctionnement cognitif
Quatrième section
Vérification des hypothèses
Première hypothèse
Deuxième hypothèse
Troisième hypothèse
Quatrième hypothèse
Discussion 
Première section
Bref rappel des buts et des objectifs de la recherche
Deuxième section
Discussion des hypothèses de recherche
Première hypothèse
Deuxième hypothèse
Troisième hypothèse
Quatrième hypothèse
Discussion concernant certains points spécifiques
Troisième section
Apports et limites de la recherche
Limitations
Forces et faiblesses du scheme
Quatrième section
Retombées et recommandations pour des recherches futures
Implications cliniques directes et indirectes
Implications pour des recherches ultérieures
Conclusion

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