MERI-LL
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Historique du commerce mondial
Le commerce mondial a connu de grandes évolutions dans le temps et s’est toujours agrandi et amélioré :
De 1875 à 1913 : Grâce à la révolution des transports, c’est-à-dire l’apparition du chemin de fer et de la navigation à vapeur depuis 1840, le volume des échanges s’est accru et la nature de la matière commerciale s’est profondément modifiée : une très grande place est faite aux produits alimentaires et aux matières premières nécessaires à l’industrie. La vitesse de transport augmente considérablement alors que les prix s’abaissent au fils des années (de 20 à un en un siècle).
De 1920 à 1950 : Le commerce mondial a poursuivi sa progression, quoique la crise économique mondiale de 1929 ait eu des effets brutaux sur le commerce de grands pays industriels.
Depuis 1950 :L’expansion des échanges internationaux a succédé à la stagnation du commerce mondial entre les deux guerres. Exprimée en dollar, cette progression est plus forte encore en raison de la baisse du dollar (dévaluation de 1971 à 1973) et de la montée de l’inflation dans les années récentes : plus 11% de 1968 à 1972 et plus 34% en 1973.
Une des principaux conflits d’opinion dans la vie courante est quand on parle d’échanges internationaux, on pense que ces échanges se limitent seulement à l’échange de marchandises alors que ces dernières ne constituent qu’une infime partie de ces échanges. Donc pour dissiper ces genres d’idées préconçues conflits nous allons développer la notion de
Généralités sur l’étude
Pour l’obtention des données nécessaires, l’étude de la revue de la littérature et les matériels utilisés ont été indispensables. De ce fait, voyons la revue de la littérature et les matériels utilisent pour le recueil des informations.
Revue de la littérature
Cet ouvrage cherche à mettre en évidence : « L’impact des exportations sur la croissance économique de Madagascar ». Les deux (2) mots clés à relever sont : Exportation et la croissance économique. L’exportation c’est une action d’exporter ; c’est-à-dire transporter, vendre à l’étranger les produits de l’activité nationale. Exportateur c’est une personne physique ou une entreprise franche ou encore une entreprise de droit commun qui effectué la vente à l’étranger qui se trouve à Madagascar.
Tout au long de ce travail, il est nécessaire d’essayer de mettre en évidence la relation entre ces différents mots clés. Dans le monde entier, l’exportation est l’un des autres moteurs pour augmenter les taux de PIB. Et la croissance désigne l’évolution annuelle, exprimée en pourcentage, du PIB. Donc, le lien de ces deux mots est la couverture de macroéconomique dans un pays. Et pour le Madagascar, notre étude s’est base dans ces questions : quels sont les problèmes, les causes, les effets, les solutions dans l’exportation et économie malgaches. L’hypothèse de la croissance économique par les exportations repose sur l’idée qu’un accroissement de la production dans le secteur des biens d’exportation génère, en particulier dans le secteur manufacturier, des économies d’échelle statiques et dynamiques qui abaissent les coûts de production et qui se transmettent à l’ensemble de l’économie pour donner un taux de croissance plus élevé. Ces gains de productivité peuvent se produire au niveau des produits, des usines ou des entreprises. Vue dans cette perspective, la stimulation des exportations peut remplacer la substitution aux importations et les investissements publics en tant que moteur de la croissance. Le modèle Heckscher-Ohlin-Samuelson (HOS), avec ses hypothèses restrictives de rendements à l’échelle constants et de fonctions de production identiques d’un pays à l’autre, néglige les gains dynamiques de productivité découlant de l’expansion des exportations, même si les dotations relatives en ressources et les prix relatifs favorables pour les facteurs de production et pour les biens élèvent le bien-être général par les échanges internationaux. Ce qui est pris en considération est l’expansion des secteurs les plus productifs et le remplacement par des importations des secteurs les moins productifs. Quand plusieurs facteurs de production sont mobiles d’une économie à l’autre, cependant, l’offre de facteurs est une contrainte moins déterminante pour la croissance, même si les prix relatifs continuent d’influencer l’allocation intérieure des ressources et les flux commerciaux.
Dans ce contexte, Ricardo par sa théorie des avantages comparatifs a démontré que, plus un pays est ouvert à l’extérieur, plus cela permettrait au pays en question de réorienter ses ressources rares vers des secteurs plus efficients et d’améliorer son bien-être. Les théories qui suivirent ont confirmé ces réalités, et rajouté ceux liés à la rémunération des facteurs de production.
Par la théorie de Ricardo, l’exportation constitue la création d’un nouveau marché pour les producteurs. Prenons l’exemple des producteurs américains, avant la libéralisation commerciale, ils produisirent des ordinateurs pour leur marché local. Mais après la libéralisation, les producteurs ont conquis un nouveau marché, celui des consommateurs canadiens. Selon Thirwall, « si la production a comme objectif de se réinvestir, la croissance de l’exportation devient une source continuelle de la croissance de la productivité »
Feder considère que l’exportation a un rôle plus important que celle de la relation PIB – exportation. C’est pourquoi il a essayé d’étudier cette relation en précisant la nature de cette relation. Les auteurs cités précédemment font remarquer que l’exportation peut soutenir la croissance du PIB non pas par le simple changement de son volume. Feder commence son étude sur les sources même de la croissance. Une étude effectuée sur la période de 1964 à 1973. Par cela, il a pu conclure deux raisons sur lesquelles l’exportation peut influencer la productivité totale.
La première étant que, la productivité des facteurs des pays exportateurs est plus élevée que celle des pays non exportateurs. Et puisqu’en s’ouvrant au marché mondial, la concurrence devient rude et le rendement d’échelle existe, donc pour faire face à tout ceci, le pays en question doit avoir une main d’œuvre compétente et une technologie élevée.
La seconde consiste à ce que les externalités du secteur exportation touchent le reste de l’économie. Ce qui veut dire que, les investissements passés du secteur de production des biens exportables sont acquis par le secteur de production des biens locaux, grâce à la mobilité de la main d’œuvre ou plus précisément par le transfert de technologies ou de nouvelles connaissances.
Matériels utilisées
Le matériel est l’ensemble d’éléments susceptibles d’être exploités à un traitement des données permettant une étude. Avec la technologie, plusieurs outils peuvent être utilisés dans la réalisation de recherche.
Supports Matériels
Pour la réalisation de ce mémoire, la participation de divers outils a été indispensable. Donc, nous avons utilisé le SMARTPHONE pour conserver un fichier, pour prendre de note, pour trouver l’information à l’internet et pour enregistrer le vocale parce que le téléphone a été multifonction.
Documents de base
Notre méthode d’analyse consiste à étudier les documents pour pouvoir en tirer des idées pouvant aider à poursuivre notre recherche. L’analyse documentaire sera consacrée aux analyses des documents internes et externes à l’entreprise comme les livres qui donnent la présentation d’ensemble de la société, les rapports ou mémoires de stage des étudiants qui ont déjà effectués leur stage au sein de la société mais aussi les archives de la société. Sans oublier les livres qui se trouvent dans les bibliothèques qui ont apporté beaucoup d’aides au niveau de notre recherche. Pour ce faire, nous avons eu deux types de documents :
La lecture de livres et des articles qui offre une aide sur la recherche documentaire, mais surtout sur la délimitation de notre thème: sur le plan théorique reçus en classe et sur le plan pratique durant notre stage.
L’exploration de divers sites web permettant d’avoir un champ plus vaste et ouvert pour exploiter de plus amples informations, afin de réaliser cet ouvrage. En ce temps en pleine évolution, l’internet a indéniablement un rôle primordial surtout concernant la recherche d’information. En effet, la recherche des articles et de certains ouvrages a été effectuée via l’internet.
Logiciel de gestion
Le traitement d’un livre besoin toujours l’aide et le support d’un logiciel spécifique, à savoir : le Word pour la rédaction du devoir lui-même puis l’Excel pour certains tableaux chiffrés. Par exemple, la statistique des quantités des produits agricoles exportes est besoin d’Excel pour classer et calculer les donnes ; et le Word sert à commenter la statistique dans le tableau Excel.
Ce premier chapitre a été consacré à la présentation d’entreprise et la généralité sur l’étude. Le chapitre suivant exposera les méthodes pour mener l’étude.
MÉTHODES DE RECHERCHE
Dans ce chapitre, on va voire premièrement la méthode utilisé. Ensuite, nous avons essayés d’expliquer outil d’analyse.
Méthodes utilisées
Dans cela, on va déterminer simultanément la démarche de méthode, méthodes de collecte des données, chronogramme des activités et difficultés rencontrées.
Démarche méthodologie
Une méthodologie est ensemble de règles ou procédure concernant les méthodes à utiliser (source : la Rousse). Elle est très importante pour bien organise d’un devoir ou d’une étude. La démarche adoptée pour le recueil des données peut être résume dans la figure ci-après :
SITUATION ACTUELLE DES PRODUCTIONS ET DES EXPORTATIONS
Madagascar est un pays riche en ce qui concerne les produits d’exportes. Dans ce chapitre, on va voir premièrement la description des exportations à Madagascar et après les problèmes sur les exportations.
Description des exportations à Madagascar
Madagascar est un pays réputé par la diversité et la richesse de ses ressources naturelles. De ce fait, Madagascar met plusieurs de ces richesses au service du développement du pays en les exportant. De plus, ces produits ne se limitent pas au niveau marchandises agricoles mais aussi des produits des zones franches, des produits du règne animal, des produits artisanaux, des produits industriels et enfin des matières brutes. Mais la grande majorité est effectivement des produits du règne végétal.
Mais avant d’entamer cette étude, il est à noter que les produits cités ci-dessous sont les principaux produits d’exportation à Madagascar. Mais chaque année, le nombre et le genre de produits exportés par Madagascar sont différents d’année en année, et dominés par des produits cibles. Ainsi, nous allons voir d’abord les principaux produits d’exportation de Madagascar et ensuite les principaux marchés de ces exportations c’est-à-dire les pays de destination et les partenaires commerciaux.
Principaux produits d’exportation de Madagascar
En effet, comme nous allons voir ci-après, Madagascar est immensément riche en ce qui concerne les produits d’exportations que ce soit du règne animal, végétal, des huiles essentielles, des produits artisanaux et même des produits industriels. Nous étudierons premièrement les produits phares de l’exportation à Madagascar. Par la suite, nous allons donc discerner successivement ces différents types de produits.
Produits phares
Madagascar, pour maximiser ses revenus au niveau des exportations, produit en plus grande quantité les produits les plus compétitifs au niveau du marché mondial. Ce sont les produits les plus prisés au niveau international et spécifiques à Madagascar. Nous avons entre autre :
Crevettes
Les crevettes constituent une des principaux produits exportés par Madagascar et constituent une des principales richesses de Madagascar. Son exploitation se fait surtout dans l’ouest de Madagascar, à 80% dans la côte Nord-Ouest, du cap Saint Sébastien jusqu’à Morombe, et à 164
20% dans l’Est du Baie d’Antongil jusqu’à Mahanoro. Le marché des crevettes est assez large étant donné que les principaux pays de destination sont : Belgique, Comores, France, Gibraltar, Italie, Japon, Maurice, Réunion, Seychelles, Pays-Bas, Afrique du Sud, Canada, France, et l’Île Maurice.
Graphite
L’exploitation se fait surtout dans les régions de Marovitsy, Anivorano Est, Brickaville, Ambatomitamba, Andasibe. Concernant le marché, les principaux importateurs de ce produit sont : Allemagne, Canada, Pakistan, Grande Bretagne, Italie, Royaume Uni, Belgique, Mexique, Etats-Unis, Brésil et les Pays Bas.
Girofle
Les zones de productions sont : Fénérive-Est, Mananara Nord et Sainte Marie. Et les pays de destination sont : Singapour, USA, Australie, Brésil, Canada, Taiwan, France, RFA, Inde.
Maïs
Ils sont produits surtout pour Antananarivo à Miarinarivo, Tsiroanomadidy, Soavinandriana,Antanifotsy, Antsirabe, Faratsiho. Quant à la province de Toliary, la production se fait surtout à Morombe, Ambovombe, Morondava. Et enfin dans la province de Fianarantsoa. Les principaux pays de destination du maïs sont : Comores, France, Réunion, Seychelles, Mexique, Chine, Iran, Japon, Afrique du Nord et Suisse.
Cacao
Produits dans la Vallée de Sambirano, dans le Nord-Ouest de Madagascar. Et dont le principal pays importateur est La Réunion.
Litchis
Le litchi constitue l’une des principaux produits qui fait l’exceptionnalité de Madagascar puisque ce produit est propre à Madagascar et ne se trouve pas partout ailleurs. La culture de ce produit se fait surtout dans la partie Sud-Est de Madagascar.
Nickel et de Cobalt
Ambatovy est le plus important investissement étranger jamais réalisé à Madagascar et l’un des plus grands en Afrique sub-saharienne et dans la région de l’Océan Indien. Elle compte parmi les plus importantes mines de nickel latéritique du monde.
Black Eyes
Il produit est avant tout destiné à l’exportation. Il y a peu de consommation locale et le marché intérieur est pour l’instant inexistant. Il y a deux marchés étrangers distincts : un premier marché se trouve en Asie, avec l’Inde et le Pakistan, et un second en Occident, avec l’Union Européenne (UE), les États-Unis et quelques pays du pourtour méditerranéen.
Normes pour l’exportation vers l’Union Européenne
Les producteurs du Sud doivent répondre à plusieurs aspects sanitaires, en réponse aux législations alimentaires européennes dont:
– La traçabilité : rendue obligatoire par le Règlement européen 178/2002 entré en application le 1er janvier 2005 (« Food Law »). Cette réglementation « de la fourche à la fourchette » donne à l’importateur la responsabilité d’assurer la traçabilité du produit aux différents stades de la filière. Les informations ne sont pas destinées aux consommateurs mais aux pouvoirs publics en cas de contrôle ou d’alerte sanitaire.
– Le contrôle de l’hygiène : rendu obligatoire par les modifications de la réglementation relative à l’hygiène entrée en application le 1erjanvier 2006. Cette réglementation met l’accent sur le système d’analyse des dangers et de leur maîtrise aux points critiques (méthode HACCP).
– Le respect des limites maximales de résidus de pesticides (directive 91/414/CE).
– Le respect des limites maximales de résidus d’aflatoxines (règlement CE2174/2003).
Les aflatoxines sont des substances très toxiques pour les mammifères qui apparaissent dans les noix, les céréales, les poivres séchés et d’autres aliments d’origine végétale.
– L’affichage des aliments allergènes (directive 2003/89 CE).
– La traçabilité des emballages. Elle sera rendue obligatoire à partir d’octobre 2006 (règlement 1935/2004).
Normes pour les produits porteurs
Les normes internationales sont strictes surtout au niveau des produits porteurs qui sont les plus demandées au niveau du marché. Ces normes concernent surtout les calibrages et l’emballage.
Crevettes
Le Produit doit respecter des normes sanitaires strictes.
Calibrage
Étêtées : nombre de crevettes
Par livre (= 0,653 kg)
Emballage :
– Emballage de Fond : Feuilles plastiques
– Emballage de Forme : Innet Carton 2 Kg
– Emballage de Transport : Master carton 12 Kg (6 boîtes de 2 Kg)
Graphite
– Classement : Suivant teneur en carbone
– Grosses Paillettes (large flakes)
– Moyennes Paillettes (médium flakes)
– Fines Paillettes (fine flakes)
– Extra fines Paillettes (Extra-fine flakes)
– Mélanges spéciaux (spécial blond)
– Emballages
– Sacs jute de 50 Kgs doublés polyéthylène
– Conteneurisés par lot de 18 tonnes
Pommes de terre
Les pommes de Terre exportées du Territoire de Madagascar doivent :
– Appartenir à l’espèce botanique « Solanum turberosum »
– D’une même variété horticole pour un même lot, avec une tolérance de 2% de tubercule
– d’autres variétés.
– Être constituées de tubercules aux yeux superficiels
– Ne pas renfermer de tubercules verdis ou violets, coupés ou blessés, meurtris, germés, parasités, terreux, pourris et fanés.
– Ne pas présenter en l’état ou après cuisson une odeur ou un goût anormal
– Ne pas contenir 1% en poids de matières étrangères (terres, délais de fanes, etc.…)
– Être constituées de tubercules d’un calibrage homogène
– Les pommes de terre sont emballées dans des sacs neufs grosse maille. Ces sacs sont uniformes pour un même lot. Toutefois, les poids des sacs ne peuvent dépasser 50 Kg.
Girofle
– Normes et calibrage :
– 1) Prima, type n°1
– 2) Supérieure, type n°2
– 3) Courante, type n°3
– 4) Tout venant, type n°4
Maïs
– Sains, entiers, pleins
– Récolté à complète maturité
– De couleur typique de la variété
– Exempts de toute odeur anormale, étrangère ou trahissant une indice de fermentation ou de moisissure
– Exempts d’insectes vivants ou morts, notamment charançons ou bruches.
– Secs Calibrage :
Types Supérieur Type courante Type Limite
Emballage à l’Exportation :
Sacs neufs en fibres naturelles offrant une garantie suffisante pour le transport et la Conservation des produits ;
Ces sacs doivent être de poids uniforme pour un même lot
Chaque lot doit être constitué d’un produit de même variété et de même campagne de récolte.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : MATÉRIELS ET MÉTHODES
CHAPITRE I : MATÉRIELS
Section 1 : Zone d’études
1.1 Avantages de l’exportation
1.2 Freins à l’export
1.3 Historique du commerce mondial
Section 2 : Généralités sur l’étude
2.1 Revue de la littérature
2.2 Matériels utilisées
2.2.1 Supports Matériels
2.2.2 Documents de base
2.2.3 Logiciel de gestion
CHAPITRE II : MÉTHODES DE RECHERCHE
Section 1 : Méthodes utilisées
1.1 Démarche méthodologie
1.2 Méthode de collecte des données
1.2.1 Documentations
1.2.2 Enquête
1.3 Chronogramme des activités
Tableau I : Chronogramme des activités
Section 2 : Outils d’analyse
2.1 Matrice SWOT
2.2 Méthode de résolution QQOCQP
Conclusion partielle
PARTIE II : RÉSULTATS
CHAPITRE III : SITUATION ACTUELLE DES PRODUCTIONS ET DES EXPORTATIONS
Section 1 : Description des exportations à Madagascar
1.1 Principaux produits d’exportation de Madagascar
1.1.1 Produits phares
1.1.2 Produits exportés de Madagascar
Tableau II : Evolution des exportations de Madagascar 2011 – 2016
1.2 Principaux marchés
1.2.1 Pays de destination
Tableau III : Les dix (10) principaux clients de Madagascar
Tableau IV : Evolution du commerce spécial d’exportation selon le pays ou la région (valeur en million d’Ariary)
Section 2 : Problèmes sur l’exportation
2.1 Normes et Qualités
Tableau V : Total des exportations de crevettes en poids nets (en kilogramme)
2.1.1 Normes pour l’exportation vers l’Union Européenne
2.1.2 Normes pour les produits porteurs
2.2 Méconnaissance des règlements des exportations
CHAPITRE IV : Obstacles qui freinent la croissance
Section 1 : Problèmes au niveau politique et économique
1.1 Instabilité politique
Figure n°2 : Productions vers Amérique (AGOA) en kilogrammes
1.2 Fortes dépréciations de l’Ariary
Figure n°3 : Evolution de taux de change 2011-2017
1.3 Effet de la libéralisation des échanges
Section 2 : Contraintes aux niveaux des producteurs et exportateurs
2.1 Niveaux producteurs
2.1.1 Manque de financement
Tableau VI : Taux d’emprunt pratiqué par les banques
2.1.2 Accès au progrès techniques
2.1.3 Problèmes foncier
2.2 Niveaux exportateurs
Conclusion partielle
PARTIE III : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
CHAPITRE V : DISCUSSIONS
Section 1 : Diagnostic de SWOT
1.1 Facteurs internes
1.1.1 Forces
1.1.2 Faiblesses
1.2 Facteurs externes
1.2.1 Opportunités
1.2.2 Menaces
Section 2 : Validation des hypothèses
2.1 Confirmation de l’hypothèse n°1
2.2 Confirmation de l’hypothèse n°2
CHAPITRE VI : RECOMMANDATIONS
Section 1 : Suggestions relatives sur le thème
1.1 Suggestions relative à l’hypothèse 1
1.1.1 Encourager l’adoption et la diffusion des normes de qualité et d’hygiène
1.1.2 Amélioration et application du cadre légal et réglementaire
1.2 Suggestions relative à l’hypothèse 2
1.2.1 Formation pour les producteurs
1.2.2 Augmentations des crédits
1.2.3 Propriété foncière
1.2.4 Réduction des coûts liés aux procédures douanières
1.2.5 Réduction des coûts liés aux activités de transitaires
1.2.6 Réduction des coûts liés au transport domestique
1.2.7 Renforcement d’accès à des nouveaux marchés internationaux
Section 2 : Solutions personnelle
2.1 Politique basée vers les industrialisations
2.2 Application de politique protectionnisme
Conclusion partielle
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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