LA SITUATION DE L’ECONOMIE ET LES PERSPECTIVES D’AVENIRPOUR LE DEVELOPPEMENT DES EXPORTATIONS

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La théorie de l’ISI (Industrialisation par Substitution d’Importation) et ITE ou Industrialisation Tournée vers l’Exportation.

L’ISI ou l’industrialisation par substitution aux importations est une idée née en Amérique Latine à la suite de la crise des années trente. D’une manière générale, l’ISI1 est basée sur la théorie des industries naissantes2. Durant sa période d’enfance, la pratique du protectionnisme est devenue prioritaire pour avoir un avantage comparatif potentiel dans une industrie de fait de la jeunesse de son expérience, des faibles niveaux de fabrication (économies d’échelle) et de son manque d’expérience. Selon les études empiriques, cette maturité est atteinte au moins 8 ans et que les gains d’efficacité post-maturation devront être suffisamment élevés pour compenser les coûts de l’enfance. Si les industries sont capables de se concurrencer c’est-à-dire elles peuvent devenir exposées alors le processus suivant passe vers l’ITE.
Les politiques tournées vers l’exportation se traduisent par un meilleur résultat de la croissance que les politiques privilégient en la substitution des importations. Ceci est dû au fait que les politiques d’exportations qui stimulent de la même manière de vente sur la marché nationaux et internationaux, débouchent sur une allocation de ressource un avantage comparatif, ce qui permet une plus grande capacité de production ainsi que les économies d’échelle. Par ailleurs, elles engendrent des améliorations technologiques pour lutter contre les concurrences étrangers et également contribuent la main d’ouvre existant en surnombre. « L’île Maurice est considérée comme exemple de la réussite économique en Afrique et la substitution aux importations à la promotion des exportations1». Ce qui détermine la réussite, c’est la pratique de cette méthode. Il est donc, possible pour un pays qui veut accroitre son exportation de procéder à cette méthode d’où le développement des exportions passe de l’ISI vers l’ITE.

La théorie de cycle de produits de Vernon :(Investissement Direct Etranger)

Actuellement, cette théorie est la plus répandue sur les déterminants des investissements étrangers. Raymond Vernon de son livre intitulé « les entreprises multinationales » publié en 1973 a affirmé que la délocalisation d’une firme multinationale sur les pays en développement, sous forme d’investissement, peut se faire pendant la phase de maturation de production. En effet, selon Vernon, le produit est nécessairement vu sous divers étapes : la phase de lancement où le produit n’est pas encore standardisée, et il apparait comme un brin luxe, acheté par des consommateurs à revenu élevé. Puis vient la phase de croissance, une période où la concurrence par les prix entre firmes commence. Ensuite, la phase de maturation se caractérise par les productions en grande série, une forte intensité de capital et une rude concurrence. Cette phase permet au produit d’être fabriqué sur une vaste échelle. La délocalisation peut s’effectuer selon Vernon, dans des multiples raisons, mais la forte intensité de main d’œuvre est une des raisons importantes.
Dans son étude, Vernon applique le schéma aux firmes américaines : les produits sont vendus uniquement sur place. Puis, apparaissent les exportations mais avec une quantité à caractère infinie, c’est la phase de la croissance. Mais lors de la phase de maturité, des concurrents commencent à se manifester en mettant en vente sur le marché le même produit. Les firmes américaines vont installer les filiales de production en Europe pour contrarier la concurrence des entreprises sur place. Ce processus donne naissance à l’investissement étranger. En d’autres termes, pour Vernon, l’investissement à étranger est continu dans le cycle de vie du produit, chaque entreprise doit passer par cette phase pour que l’investissement atteigne son apogée2. En résumé de ce chapitre, tous ce que nous avons vu précédemment consiste d’expliquer les faits théoriques possibles en illustrant dans quelle mesure la production d’un pays remonte à l’augmentation des exportations. En général, ce sont les expériences des pays développés qui arrivent à vérifier la pertinence de ces théories. Madagascar peut, donc, déployer et profiter de ces avantages spécifiques en améliorant leur production et surtout en développant leur exportation. On va passer maintient au chapitre suivant pour voir l’essor de commerce des pays développé et ce qu’ils ont adopté dans leur succès.

Le processus du développement des exportations des NPI de l’Asie

Cette fois-ci, nous tentons d’expliquer la base du développement des exportations des NPI dans les années 60 et 70.
Actuellement, comme les NPI, ont connu des taux de croissance des exportations de produits manufacturés très élevés dans vingt ans. En 2006, Coré du Sud et Hong Kong situés dans le 11 ème et le 12 ème rang après Belgique. Pour les deux, la part des exportations mondiales des marchandises est 2,7%1. Les NPI ont pratiqué la stratégie qui leurs sont permis de développer leurs exportations. Cette politique est une stratégie d’industrialisation nommé ITE, conditionnée préalablement par l’ISI ou industrialisation par substitution d’importation c’est-à-dire l’industrialisation est faite au profit du territoire national. La confirmation théorique de la thèse néo-classique prévoit selon laquelle les économies qui permettent aux mécanismes de marchés d’établir une structure d’équilibre des prix, pouvant se développer grâce a leur avantage comparatif, en dégageant des gains significatifs sur l’emploi et en obtenant une croissance économique plus rapide et des améliorations de la reparution de revenu. En fait, les politiques tournées vers l’exportation, de manière à stimuler les ventes sur les marchés nationaux et internationaux, débouchent une allocation des ressources en fonction de l’avantage comparative qui permet à une grande utilisation de capacité de production ainsi que des économies d’échelle qui engendrent des améliorations technologiques pour lutter avec la concurrence étrangère, ce qui donne l’idée de développement des exportations contribuant à la croissance économique.
De plus, la croissance reposant sur l’exportation des NPI d’Asie s’est accompagnée d’une intervention considérable du gouvernement beaucoup plus nette que les forces invisibles du marché1. Les politiques économiques adoptées par les NPI visent donc à encourager des changements structurels dans la production et de commerce conformément aux intérêts et aux prioritaires économique d’un pays. Dans ce cas, le gouvernement doit définir ses intérêts en fonction de sa perception de la nature de changement pour entretenir une croissance économique. Enfin, le développement des exportations des produits manufacturés, exige une main d’œuvre importante, est un facteur clé de la réussite rapide de la stratégie d’industrialisation tourné vers les exportations adoptées par les NPI2.
Face à cette expérience des NPI dans l’amélioration des exportations, on peut dire que, cette stratégie repose sur l’exploitation d’un avantage comparatif des biens manufacturés grâce à des salaires peu élevés. La réussite de cette stratégie dépend de la disponibilité d’une offre élastique et d’un climat économique stable. En adoptant cette stratégie, les NPI arrivent à diversifier et à développer leurs productions, d’ailleurs, une augmentation de production amène au développement des exportations, il serait donc, possible pour Madagascar de développer ses exportations en procédant à ce même méthode.

La puissance de la chine

En 1949, la Chine retrouve son unité et son indépendance, elle est encore l’un des pays les plus pauvres du monde à la fin des années 70. Le gouvernement communiste jette les bases de la modernisation du pays. Les progrès dans le domaine de l’éducation et de la santé sont remarquables
; l’adoption du modèle soviétique d’organisation économique va de pair avec la création d’une industrie lourde, qui est alors considérée comme la base du développement. De l’autre coté, l’agriculture, parvient à peine à nourrir une population en croissance rapide. Les dragons asiatiques dont deux sur quatre sont peuplés de Chinois ont fondé leur essor sur une forte insertion internationale, des industries exportatrices et l’importation de technologies étrangères.
L’histoire de la chine montre la croissance économique rapide de l’ordre de 9 % par an1. Les ressorts de cette croissance sont, ¾ d’une part, des réformes économiques internes très progressives et pragmatiques qui ont d’abord décollectivisés l’agriculture, puis fait place aux mécanismes de marché et aux initiatives décentralisées dans le reste de l’économie.
¾ d’autre part, une politique d’ouverture sur l’extérieur qui a délibérément tiré parti de la globalisation.
A cet égard, la situation géographique de la Chine, dans la région du monde a connu un plus grand dynamisme de l’économie.
Plus encore que la croissance économique interne, c’est l’ouverture de la Chine au commerce et aux investissements internationaux qui a été la plus spectaculaire et qui apparaît comme l’un des faits majeurs de l’économie mondiale. Depuis vingt-cinq ans, ses échanges extérieurs progressent au rythme de plus élevé. La chine est devenue une grande puissance commerciale qui bouleverse les hiérarchies régionales et mondiales.
En 2006, comme on a vu auparavant, la chine a été placée au troisième rang des puissances exportatrices: elle réalise plus de 8% des exportations mondiales, devancée par l’Allemagne (9,2 %) et les Etats-Unis (8,6%)2.
En effet, l’ouverture de la Chine a donc entraîné une profonde réorganisation de la production industrielle et des échanges en Asie. Actuellement, la moitié des exportations du Japon et des Dragons vers la Chine sont destinées à approvisionner en produits intermédiaires, en pièces et en composants, leurs filiales délocalisées en Chine. La moitié des exportations totales de la Chine provient de ces activités d’assemblage. Ce sont ces derniers qui constituent la partie la plus dynamique des exportations chinoises, qui assurent la progression des exportations sur les marchés américains et européens et également constituent le fruit de l’excédent commercial massif de la Chine avec ses deux grands partenaires occidentaux. Ce commerce triangulaire produit une nouvelle configuration des déséquilibres commerciaux : les pays avancés d’Asie n’exportent plus directement de produits finis vers les marchés occidentaux, mais utilisent la Chine comme plateforme de production et d’exportation. C’est désormais la Chine qui gagne des parts de marché aux Etats-Unis et en Europe.
En bref, on voit que le contexte des NPI et de la chine sont presque la même condition de développement. Donc, les méthodes qu’ils utilisent ne sont pas tout à fait différentes. Ce qui marque l’essor, c’est la politique de développement. Passons maintenant à la section suivante pour présenter la nécessitée pour un pays de s’exporter.

Mesures recommandées au niveau national

Au niveau national, des mesures ont été recommandées particulièrement dans le secteur agricole, le renforcement des diverses organisations, la reforme de la commercialisation sont les plus importants.

Le développement de secteur agricole

En vue de favoriser le développement du secteur agricole, notamment la production de produits à forte valeur, il est fortement à recommandé l’amélioration de la qualité et le renforcement de la participation aux chaînes mondiales de création de valeur
De ce fait, quelques mesures devraient être adoptées par le gouvernement:
¾ Adopter des mesures fiscales et autres pour attirer les investissements et les technologies vers de nouveaux domaines.
¾ mettre au point des politiques visant à faire face à la détérioration des termes de l’échange entre les produits agricoles et les produits manufacturés.
¾ appuyer le secteur agricole par des mesures qui soient acceptables par l’OMC, notamment dans les domaines de la recherche-développement et de l’assurance qualité.
¾ défendre avec fermeté leurs intérêts nationaux et commerciaux à l’OMC; faciliter la diffusion de l’information commerciale.
¾ favoriser la formation de groupements propres à renforcer les réseaux au sein de l’économie.
¾ mettre en place des structures juridiques et institutionnelles adaptées aux nouvelles formes de financement, comme les récépissés d’entrepôts, et encourager les banques à accorder un financement aux entreprises qui se diversifient.

Le renforcement des organisations

Dans le cadre du renforcement des groupements et des associations, le gouvernement devrait s’efforcer en collaboration avec les associations d’agriculteurs, les organisations non gouvernementales et les autres parties prenantes, de promouvoir l’agriculture et le commerce des produits qui en sont issus.
Pour cela, il devrait notamment :
¾ faire mieux connaître les avantages écologiques, économiques et autres (en termes de subsistance et de qualité de vie.
¾ recenser et reconnaître les organisations de la société civile représentant les producteurs locaux du secteur et faire en sorte que celles-ci participent à l’élaboration de politiques relatives à l’agriculture.
¾ organiser des formations et fournir des conseils techniques sur les pratiques en matière d’agriculture dans le cadre des services de vulgarisation agricole et renforcer les réseaux d’information des agriculteurs
¾ élaborer et appliquer des normes nationales et régionales reposant sur les normes internationales telles que les normes de base de la Fédération internationale des mouvements d’agriculture.
¾ favoriser l’adoption de stratégies commerciales et la formation de partenariats adéquats.
¾ encourager le développement du marché intérieur des produits agricoles .
¾ apporter si possible un appui financier aux agriculteurs, notamment pendant les périodes de reconversion.
¾ adopter des politiques de soutien.
¾ contribuer à la mise au point des mesures de subvention ou d’incitation propres à renforcer la production dans les pays en développement, notamment en aidant les agriculteurs à se reconvertir dans cette production.

Le secteur de la commercialisation

En ce qui concerne le secteur de la commercialisation, il faut :
¾ mettre l’accent sur les organisations professionnelles et la coopération entre producteurs et exportateurs.
¾ renforcer la coopération entre ces organisations et les pouvoirs publics en créant des groupes de pression efficaces et crédibles.
¾ ne pas se contenter de produire des biens mais fournir aussi des idées et des services .
¾ veiller, par des efforts conjugués, à assurer un approvisionnement suffisamment abondant et régulier pour répondre aux exigences des importateurs et améliorer l’accès aux moyens de financement.
¾ accorder toute l’attention voulue aux marchés locaux et régionaux.
¾ contribuer à mettre sur pied et à financer les activités de recherche et de perfectionnement technologique, notamment en ce qui concerne les opérations après récolte.
Le ciblage fait au niveau national est proposé par les Nations Unies qui vise en générale de rendre le pays à satisfaire leur demande interne et de surtout d’augmenter la part de leur exportation à rendre compétitifs en termes de prix et surtout de la qualité. Des mesures ne seront pas tous simplement requièrent au niveau national mais aussi au niveau international.

Historique de commerce de Madagascar

Depuis les années 1990, le Gouvernement Malgache a pris des mesures importantes pour réformer et libéraliser l’économie, et encourager l’investissement intérieur et étranger. La plupart des secteurs économiques ont été libéralisé plus particulièrement dans les secteurs qui contribuent directement au développement des échanges commerciaux à l’échelle mondiale. Par conséquent, des mesures ont été prises en vu de la facilitation des échanges afin d’accélérer le processus de développement économique.
Actuellement, les orientations de la politique commerciale sont axées sur la poursuite de la libéralisation économique au niveau mondial. Madagascar a signé certains accords au niveau de ses partenaires commerciaux comme :

a-OMC (organisation Mondiale de commerce)

L’OMC est nu système multilatéral qui concrétise la volonté des gouvernements membres de fournir un environnement propice aux échanges tout en étant soumis à certaines disciplines. Madagascar étant membre originel de l’OMC depuis 1995, elle accorde le traitement NPF ou un traitement de la Nation la plus favorable1 à tous les partenaires commerciaux. Elle est classée parmi les pays les moins avancés et bénéficie du traitement spécial ce qui le différencie aux pays en développement.
Les principaux domaines d’activités de l’OMC sont :
• Assistance aux pays en développement et en transition .
• Aides spéciales à la promotion des exportations .
• Arrangements commerciaux .
• Coopération avec le Fonds monétaire international, la banque mondiale et les autres l’élaboration  de la politique mondiale .
• Surveillance des politiques commerciales nationales .

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Table des matières

PARTIE I. LES THEORIES DE COMMERCE INTERNATIONAL, LES NECESSITES ET LES MOYENS POUR ACCROITRE LES EXPORTATIONS
CHAPITRE I. CADRE THEORIQUE DE COMMERCE INTERNATIONAL
Section 1. La théorie Mercantiliste
Section 2 : La théorie classique
I-2-1. La théorie des avantages absolus
1-a-.Adam Smith
1-b-.La théorie des avantages comparatifs (Ricardo)
I-2-2.La théorie de HOS (Heckser, Ohlin, Samuelson)
I-2-3. La nouvelle théorie de commerce international (les économies d’échelles)
Section 3 : Industrialisation
I-3-1.La théorie de l’ISI (Industrialisation par Substitution d’Importation) et ITE ou
Industrialisation Tournée vers l’Exportation
I-3-2. La théorie de cycle de produits de Vernon :(Investissement Direct Etranger)
CHAPITRE II. ESSOR DE COMMERCE DES PAYS DEVELOPPES
Section1 : Les évolutions de commerce mondial
II-1-1. La croissance continue des échanges mondiaux depuis 1945
II-1-2. Le rang des pays exportateurs mondiaux de 1948 à 1990
II-1-3. Le rang des pays exportateurs mondiaux et la valeur des exportations en 2006.13
II-2-1. Le processus du développement des exportations des NPI de l’Asie
II-2-2. La puissance de la chine
2-a-.Bref historique de la chine
2-b- L’émergence d’une grande puissance économique et l’essor des exportations.
CHAPITRE III L’IMPORTANCE DES EXPORTATIONS.
Section 1 : La nécessité d’exporter : le cas de CANADA
III-1-1. Bref historique de l’économie de Canada
III-1-2. L’importance des exportations
III-1-3. Le rôle du gouvernement
III-1-4. Développement du commerce international
CHAPITRE IV. LES MOYENS POUR ACCROITRE LES EXPORTATIONS
Section 1 : Mesures recommandées au niveau national
IV-1-1. Le développement de secteur agricole
IV-1-2. Le renforcement des organisations
IV-1-3. Le secteur de la commercialisation
Section 2 : Les Mesures recommandées au niveau international
IV-2-1. Actions de communautés internationales
IV-2-2. Accords en faveurs des PMA
Section 3 : Mesures recommandées à la CNUCED
Section 4 : L’intégration économique régionale
IV-4-1. Importances de l’intégration économique
IV-4-2. Les avantages et risques de l’intégration économique
2-a- .Les avantages de l’intégration régionale
2-b-.Les risques
PARTIE II. LA SITUATION DE L’ECONOMIE ET LES PERSPECTIVES D’AVENIRPOUR LE DEVELOPPEMENT DES EXPORTATIONS A MADAGASCAR
CHAPITRE V. L’ÉCONOMIE ET LES ÉCHANGES COMMERCIAUX
Section 1 : Généralité de Madagascar
V-1-1. La présentation géographique
V-1-2. Le contexte économique et social
V-1-3. Les caractéristiques de l’économie
3-a- Une économie sous développée
3-b- Une économie dépendante
V-1- 4. Le secteur d’activité
4-a- Le secteur primaire :
4-b- Secteur secondaire
4-c- Le secteur tertiaire
Section 2 : Les échanges commerciaux
1-a-OMC (organisation Mondiale de commerce)
1-b- Union Africaine
1-c- Accords régionaux
1-d- Les accords bilatéraux
V-2-2. Les principaux produits des exportations de Madagascar
V-2-3. Structure de commerce extérieur
V-2- 4 La performance des exportations
CHAPITRE VI LES PRINCIPAUX CONTRAINTS AUX DEVELOPPEMENTS DES EXPORTATIONS A MADAGASCAR
Section 1 : blocage de la production agricole
VI-1-1. Problème des infrastructures
V-1-2. Crédit rural
V-1-3. Sécurisation foncière
V-1-4.L’accès au progrès techniques
V-1-5.Disfonctionnement incitatif
V-1-6.Irrigation
V-1-7.La vulgarisation agricole
V-1-8. Le programme d’investissement public pour le secteur Agricole
Section 2 : Autres blocages au développement des exportations
V-2-1. Contrainte au niveau des politiques-aspects juridiques et judiciaires
V-2-2. Les problèmes généraux sur la fiscalité
2-a. Absence de politique fiscale claire
2-b. Insuffisance de mesures concrète d’incitation à l’investissement
2-c. Absence d’équité fiscale
2-d. Les problèmes des exonérations
2-e. Le déséquilibre dû au secteur informel
2-f. La capacité institutionnelle de l’administration
V-2-3. Contraintes affectant à des infrastructures physiques
V-2-4. Contrainte au niveau de financement
4-a- Financement des entreprises :
4-b- Le financement bancaire :
4-c- Les obstacles du crédit
4-d- La microfinance
Section 3 : Problèmes liés à l’environnement des affaires
V-2-1. Le retard de Madagascar sur la mise en place de l’environnement des affaires
2-a- Problème de l’instabilité politique
2-b- Problème de l’inflation
2-c- Problème d’incitation à l’investissement
CHAPITRE VII. STRATEGIES DE DEVELOPPEMENT DES EXPORTATIONS A MADAGASCAR
Section 1 : Le levé des contraintes
VII-1-1. Production agricole
VII-1-2. Investissement public
VII-1-2. Décentralisation et changement institutionnel
Section 2 : Promotion de secteur privé
VII-2-1. La Compétitivité du secteur privé
VII-2-2. Promotion de secteur privé
VII-2-3. L’établissement d’un guichet Unique
Section 3: Faire attirer beaucoup d’investissement
VII-3-1. Avantage des IDE
VII-3-2. Des mesures à prendre
Section 4: La règlementation du commerce extérieur
VII-4-1. Libéralisation de commerce extérieur
VII-4-2.Promotion des exportations
VII-4-3. Incitation à l’exportions
VII-4-4. Les nouvelles orientations de la politique commerciale de Madagascar.
Section 5 : Cadre d’appuis aux exportations
VII-5-1. Amélioration de l’information économique
VII-5-2. Création des groupements professionnels et associations
CHAPITRE VIII. LE COMMERCE DE MADAGASCAR FACE AUX BLOCS REGIONAUX
Section I : Importance de l’intégration économique
VIII-1-1. La nécessité pour Madagascar
VIII-1-2. L’objectif de l’intégration économique
Section 2 : Les échanges commerciaux de Madagascar face à certains groupements régionaux
VII-2-1. Résultats de quelques échanges commerciaux
VII-2-2.Tableau des exportations et importations effectuées par Madagascar avec les pays membres de commerce régionaux
VII-2-3. Analyse de l’Insertion Madagascar dans les groupements régionaux
CONCLUSION

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